Réponses à des questions récurrentes au sujet du Pape François


Commentaires (2)

Catégorie : Église et papauté

Auteur : Mark Mallett

Nombre de consultations : 1.603

Il y a beaucoup d'émotions qui secouent l'Église en ces temps de confusion et d'épreuves. Ce qui est primordial, c'est que nous restions en communion les uns avec les autres — que nous soyons patients et portions le fardeau les uns des autres — y compris vis-à-vis du Saint-Père. Nous sommes aujourd'hui criblés comme le froment, or beaucoup ne le réalisent pas (lire La mise à l'épreuve - Partie 1).

L'époque actuelle nous appelle, si j'ose dire, à choisir notre camp. Choisir de mettre notre confiance dans le Christ et dans les enseignements de Son Église... ou en nous-mêmes et en nos propres "calculs" humains. Car Jésus a placé Pierre à la tête de Son Église en lui confiant les clés du Royaume, lui demandant par trois fois : « Sois le berger de mes brebis ». [1] Ainsi, l'Église nous enseigne :

Le Pape, évêque de Rome et successeur de St Pierre, "est principe perpétuel et visible et fondement de l'unité qui lie entre eux soit les évêques, soit la multitude des fidèles."

— Catéchisme de l'Église catholique, n° 882

Perpétuel signifie : jusqu'au point culminant de l'histoire de l'humanité, non pas jusqu'aux temps des tribulations. Soit nous acceptons cette affirmation dans l'obéissance de la foi, soit nous ne l'acceptons pas. Et dans ce cas, nous commençons à glisser sur une pente très glissante. Cela peut sembler mélodramatique, car après tout, être troublé par le Pape ou le critiquer n'est pas un acte schismatique. Cependant, nous ne devrions pas pour autant sous-estimer les violents courants qui, à notre époque, assaillent le Saint Père.

Voici donc certains mails que je reçois de la part de mes lecteurs et la réponse que je leur donne afin d'apporter, je l'espère, plus de clarté, et recentrer notre réflexion sur [le véritable combat de notre temps] : La Contre-Révolution, à savoir le plan stratégique que Notre-Dame est en train de mettre en oeuvre pour écraser le prince des ténèbres.

Vos questions...

Critique inacceptable ?

En tant que prêtre, je suis de plus en plus alarmé par les déclarations, homélies et actes ambiguës, ainsi que la piètre théologie du Saint-Père... Le problème tel que je le perçois face à votre dernière réflexion sur « l'Oint de Dieu » est qu'elle semble supposer que toute critique da la piètre théologie du Saint Père, de ses actions pastorales douteuses et des changements qu'il a apportés à une tradition bimillénaire est inacceptable.

Cher Padre, je comprends la frustration de devoir clarifier les paroles du Pape — j'y ai moi-même consacré une grande partie de mon temps ces dernières années !

Cependant, je dois rectifier respectueusement votre postulat selon lequel j'insinuerais que « toute critique » du Pape est « inacceptable ». Dans mon article Frapper l'Oint de Dieu, j'ai commencé par faire référence aux « critiques irrévérencieuses et grossières », puis j'ai dit ceci : « je ne parle pas de ceux qui ont légitimement remis en question ou critiqué avec douceur la façon souvent familière qu'a le Pape d'approcher les questions dogmatiques, ou son manque de prudence en ce qui concerne son soutien à la théorie du "réchauffement climatique". » Je vous placerais dans cette catégorie. En fait, je me suis également et ouvertement montré en désaccord avec la position du Pape sur le changement climatique, du fait qu'il ne s'agit pas d'une question dogmatique, mais scientifique, qui n'entre pas dans les compétences de l'Église. [2]

Manque de clarté !

Le Pape, comme n'importe quel Pape, devrait parler avec clarté. Les blogueurs catholiques ne devraient pas avoir à écrire « Les dix choses que le Pape François voulait vraiment dire ».

C'est un bon conseil — un conseil que Jésus lui-même n'a pas suivi. Son ambiguïté et Ses actions et paroles « peu orthodoxes » l'ont conduit à se voir accuser d'être un faux prophète et un rebelle (cherchant à abolir la loi de Moïse. Tout comme Jésus, l'intuition de François est que nous sommes arrivés à une époque où la doctrine catholique doit, non pas être abolie mais accomplie et transformée en actes, une fois encore à travers notre devoir de charité et de miséricorde, que le respect rigoureux envers la lettre de la loi fait trop vite oublier, ndt). C'est vrai : le Pape François ne semble pas trop se soucier de la précision, du moins lors de ses discours improvisés. Mais prétendre qu'il n'a jamais été clair tout au long de son pontificat est une totale contre-vérité. William Doino Jr., biographe pontifical, souligne ceci :

Depuis qu'il a été élevé à la Chaire de Saint-Pierre, François n'a pas faibli dans son engagement à défendre la foi. Il a exhorté les pro-vie à "rester concentrés" sur la défense du droit à la vie, il a soutenu les droits des pauvres, réprimandé les lobbies gays qui promeuvent les relations entre personnes de même sexe, exhorté ses frères évêques à lutter contre l'adoption homoparentale, réaffirmé le mariage traditionnel entre un homme et une femme, fermé aux femmes l'accès au sacerdoce, salué Humanae Vitae, loué le Concile de Trente et l'herméneutique de la continuité, en lien avec Vatican II, dénoncé la dictature du relativisme... il a souligné la gravité du péché et la nécessité de la confession, mis en garde contre Satan et la damnation éternelle, condamné la mondanité et le « progressisme adolescent », défendu le Dépôt de la foi [comme unique dépôt sacré de la parole de Dieu] et a exhorté les chrétiens à porter leur croix y compris jusqu'au martyre. Ce ne sont pas là les mots et les actes d'un moderniste laïcisant.

— 7 décembre 2015, Premières choses

L'ambiguïté du Christ suscitait par moments la rage des pharisiens, la perplexité de sa mère et l'embarras de Ses Apôtres. Aujourd'hui, nous comprenons mieux Notre Seigneur, mais néanmoins, Ses commandements tels que « Ne jugez pas » ou « Tendez l'autre joue » nécessitent une explicitation du contexte plus large. Chose intéressante, ce sont les paroles du Pape François en lien avec la miséricorde qui suscitent, tout comme pour Jésus, la controverse. Mais malheureusement, les médias laïcs et certains catholiques peu rigoureux ne prennent pas le temps de faire des recherches et de réfléchir à la fois sur ce que le Pape a dit et sur le véritable sens de ses propos. Lire, par exemple, Who Am I to Judge ?

Vous pourriez vous rappeler par ailleurs que le Pontificat de Benoît XVI fut également marqué par la controverse, en raison d'une succession d'apparentes maladresses lors de certaines de ses prises de paroles publiques.

François est méchant !

Jorge Bergoglio continue à dénigrer les gens et à traiter, dans ses paroles, les catholiques avec dureté. Combien de fois n'a-t-il pas réprimandé ceux qui, comme moi, « refusent de changer » ? Qui est-il pour juger ?

La grande question est la suivante : vous et moi refusons-nous vraiment de changer, auquel cas nous méritons d'être sermonnés. Le rôle du Saint-Père consiste, en partie, non seulement à nourrir les brebis, mais aussi à les éloigner des eaux saumâtres de la mondanité et des falaises de l'apathie et de la paresse. Après tout, les Écritures disent :

Exhortez et réfutez avec autorité.

Tite 2: 15

Tel est le rôle d'un père. De plus, je me souviens que Jean-Baptiste avait qualifié les pécheurs impénitents d' « engeances de vipères » (Mt 3: 7, cf. aussi Mt 23: 33) et Jésus avait traité les religieux de Son époque de « sépulcres blanchis à la chaux » (Mt 23: 27). Le langage du Pape François n'a pas été moins coloré, pour le meilleur ou pour le pire, à tort ou à raison. Il n'est pas personnellement infaillible. Il peut dire des choses irritables comme vous et moi. Le devrait-il ? En tant que chef de ma propre famille, il y a des moments où j'ai ouvert la bouche alors que j'aurais dû me taire. Mais mes enfants me pardonnent et passent ensuite à autre chose. Ne devrions-nous pas faire la même chose dans la famille de l'Église ? Nous voudrions que le Pape soit parfait dans chacun de ses propos, mais nous sommes peu nombreux à avoir la même exigence envers nous-mêmes. Bien que le Pape ait une responsabilité de "clarté" beaucoup plus grave, nous pouvons parfois constater que Pierre est non seulement « un roc », mais aussi une « pierre d'achoppement ». Que cela nous serve de rappel quant au fait que notre foi est en Jésus-Christ, non pas dans un homme.

L'indifférentisme ?

La vidéo interreligieuse du Pape François donne clairement l'impression d'indifférentisme (lire Did Pope Francis Promote a One World Religion ?), c'est-à-dire qu'il insinue que toutes les religions sont un chemin tout aussi valide vers le salut. Le travail du Pape est de protéger et de proclamer clairement l'enseignement moral et dogmatique de la foi catholique, de manière à protéger l'âme des fidèles en évitant tout risque de confusion.

Comme je l'ai indiqué dans cette réflexion [3], bien que les images [de cette vidéo] soient quelque peu trompeuses, les paroles du Pape François sont en accord avec le dialogue interreligieux (et nous ne savons tout simplement pas si le Pape a vu [et même eu son mot à dire] sur la façon dont a été utilisé son message vidéo pour « la justice et la paix » par la société de production à l'origine de cette vidéo).

En déduire que le Pape enseigne que toutes les religions sont égales ou qu'il appelait à une « religion mondiale unique » est une extrapolation totalement infondée — et le genre de jugement qui nécessite une défense (même si l'on n'est pas fan de cette vidéo, et je ne le suis pas.)

Quoi qu'il en soit, le rôle du Saint-Père ne se limite pas à faire écho à « l'enseignement moral et dogmatique » de l'Église, comme vous dites. Il est appelé, avant tout, à incarner l'Évangile. « Heureux les artisans de paix », a déclaré le Christ. Le Pape est-il dispensé de cette béatitude ?

Défendre la dignité de son prochain

L'essentiel n'est-il pas ceci : vous ne défendez pas du tout le Pape François — vous défendez le Christ. Vous défendez ce que le Christ a dit à propos de l'Église et comment l'Enfer ne prévaudra pas contre elle. N'est-ce pas ce que vous faites ?

Bien sûr, en premier lieu, je défends les promesses pétriniennes du Christ et la garantie qu'Il a donnée selon laquelle l'Église perdurerait. À cet égard, il importe peu qui occupe [légitimement] la Chaire de Saint Pierre.

Mais je défends aussi la dignité d'un frère en Christ qui se fait calomnier. Il est de notre devoir de défendre quiconque voit ses propos transformés ou mal interprétés lorsque la justice l'exige. Juger et jeter publiquement et de façon obsessionnelle la suspicion sur tout ce que dit ou fait le Pape, sur ses motivations et intentions, cela s'appelle de la calomnie.

Correction spirituelle ?

Le politiquement correct a imposé le silence à nombre de prêtres et de laïcs catholiques. Mais il reste quelques fidèles brebis qui refusent de s'incliner devant le politiquement correct. D'où les tentatives de Satan de tromper ces chrétiens d'une manière plus subtile et "spirituelle" — c'est-à-dire, à travers ce que j'appelle le « spirituellement correct ». Et l'objectif final est le même que celui du politiquement correct... censurer et faire taire la libre expression de la pensée.

Il est une chose d'être en désaccord avec une opinion ou un acte du Saint-Père — il en est une autre de supposer que ses motivations sont mauvaises ou d'émettre des jugements téméraires, en particulier lorsque des vérifications préalables n'ont pas été entreprises pour comprendre ses intentions. Voici une règle simple : chaque fois que le Pape enseigne, il est de notre devoir de le comprendre par défaut à la lumière de la Sainte Tradition — non pas d'orienter notre façon de le comprendre dans un esprit de conspiration anti-papale.

Ici, le catéchisme apporte une précieuse sagesse en ce qui concerne les murmures souvent sans fondement dirigés contre le Vicaire du Christ :

Quand il est émis publiquement, un propos contraire à la vérité revêt une particulière gravité... Le respect de la réputation des personnes interdit toute attitude et toute parole susceptibles de leur causer un injuste dommage. Se rend coupable :

  • de jugement téméraire celui qui, même tacitement admet comme vrai, sans fondement suffisant, un défaut moral chez le prochain.
  • de médisance celui qui, sans raison objectivement valable, dévoile à des personnes qui l'ignorent les défauts et les fautes d'autrui (cf. Si 21, 28).
  • de calomnie celui qui, par des propos contraires à la vérité, nuit à la réputation des autres et donne occasion à de faux jugements à leur égard.

Pour éviter le jugement téméraire, chacun veillera à interpréter autant que possible dans un sens favorable les pensées, paroles et actions de son prochain : Tout bon chrétien doit être plus prompt à sauver la proposition du prochain qu'à la condamner. Si l'on ne peut la sauver, qu'on lui demande comment il la comprend ; et s'il la comprend mal, qu'on le corrige avec amour ; et si cela ne suffit pas, qu'on cherche tous les moyens adaptés pour qu'en la comprenant bien il se sauve.

— Catéchisme de l'Église catholique, n° 2476-2478

Encore une fois, je ne censure pas les critiques légitimes et justes. Le théologien Joseph Iannuzzi a rédigé deux solides documents au sujet de la critique du Saint-Père. Lire On Criticizing the Pope et aussi Can a Pope become a Heretic ?

Prions-nous pour nos bergers plus que nous les critiquons ?

Discerner les temps que nous vivons

Vous devez discerner ce que nous pressentons tous. Ne voyez-vous pas ce qui se passe aujourd'hui ?

J'ai plus d'un millier d'articles sur mon blog dont l'objectif sous-jacent est d'aider le lecteur à se préparer aux épreuves auxquelles nous faisons face aujourd'hui, et à la gloire à venir. Et cela inclut la préparation à l'effondrement économique, aux bouleversements sociopolitiques, à la persécution, aux faux prophètes et, surtout, à la « Nouvelle Pentecôte. »

Mais la conclusion que tirent certains catholiques selon laquelle un pape validement élu s'avère être le faux prophète de l'Apocalypse qui égarera les fidèles, est une hérésie. C'est tellement simple : cela voudrait dire que le roc de l'Église se serait liquéfié et que tout l'édifice serait sur le point de s'effondrer et de se diviser en diverses sectes schismatiques. Chacun de nous aurait dès lors à choisir quel pasteur, quel évêque, quel cardinal — chacun prétendant appartenir au « vrai » catholicisme — est le bon. En un mot, nous deviendrions des "protestants". Tout le génie de l'Église catholique, telle que l'a établie le Christ, est précisément que le Pape demeure un signe perpétuel et visible d'unité et est garant de l'obéissance à la Vérité. Les bourrasques ont soufflé contre elle, les révolutions, les [nations et royaumes] l'ont ébranlée... mais l'Église est toujours debout, et la vérité qu'elle enseigne est la même qu'il y a 2000 ans. En effet, l'Église catholique n'a pas été fondée par Martin Luther, le Roi Henri, Joseph Smith (fondateur du mormonisme) ou Ron Hubbard (fondateur de la Scientologie), mais par Jésus-Christ.

Guerre spirituelle ?

Dans la prière, j'ai réfléchi à quelque chose. Au début, il semblait que ces critiques du pape étaient des inquiétudes légitimes basées sur le style du Pape François, les infos transmises par les médias, etc., mais je commence maintenant à comprendre qu'il y a probablement des démons spécifiquement affectés à cela. Des démons du schisme, de la suspicion, de l'accusation, du perfectionnisme et de la calomnie (« l'accusateur de nos frères » [Ap 12: 10]). Par le passé, lorsque les légalistes, et ceux qui n'étaient pas capables d'entrer en profondeur dans la parole de l'Esprit Saint, faisaient néanmoins de leur mieux pour faire Sa volonté, le Seigneur, dans Sa miséricorde, leur accordait le bénéfice du doute et les bénissait. Parce qu'ils [étaient de bonne volonté] ... Aujourd'hui, alors que le Seigneur semble être en train de retirer ce qui retient le mal d'agir dans toute sa furie (cf. 2 Th 2: 6), Dieu veut nous purifier et que nous ayons une foi authentique. Il permet donc à l'Enfer de se déchaîner contre [ces catholiques trop rigides] (François, en prenant lui-même conscience de ce problème, a en quelque sorte ouvert la voie).

Ces démons ont été libérés sur [...] l'Église. A quoi donc pensions-nous que ressemblerait ce criblage (dont parle Jésus en Lc 22: 31) ? Comment pensions-nous que ce tout petit reste — les élus — se formerait (cf. Mt 24: 24) ? Par un tirage au sort lors d'un dîner festif ? Non, ce serait douloureux, méchant et cela impliquerait un schisme. Et l'on y débattrait sur ce qu'est la vérité (comme ce fut le cas avec Jésus — "Qu'est-ce que la vérité?" demanda Pilate.)

Je pense qu'il y a un nouvel appel dans l'Eglise : un appel à une sérieuse prière de délivrance et d'intercession, pour que chacun de nous dans l'Église reçoive de Dieu la grâce de la sagesse, de l'intelligence, de l'unité et de l'amour, au risque qu'il ne reste bientôt plus personne (cf. Mt 24: 24). Comprenons que nous sommes en guerre. Ce n'est pas un problème de sémantique. Il s'agit d'une bataille. Pas d'un problème de bonne ou mauvaise communication.

Je pense vraiment que vous avez saisi quelque chose dans ce message que peu de gens comprennent : le fait que la confusion, la division et les spéculations sans fin sont une ruse de l'ennemi. Il veut que nous nous disputions, nous divisions et nous jugions les uns des autres. Puisqu'il ne peut détruire l'Église, détruire son unité est aujourd'hui sa meilleure carte.

D'autre part, Notre-Dame nous appelle à entrer davantage dans la prière et le recueillement, elle nous appelle à la conversion, au jeûne et à l'obéissance. Si nous faisons cela, les faiblesses du Pape commenceront à prendre moins d'importance et retrouveront leur juste perspective. Parce que nos coeurs auront commencé à aimer comme celui de Marie.

Soyez donc sages et sobres dans un esprit de prière. Avant tout, conservez entre vous une grande charité, car la charité couvre une multitude de péchés.

1 Pierre 4: 7-8

Mark Mallett
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Commentaire laissé par Mizuki le

En rapport avec le sujet, pour comprendre et agir/réagir efficacement contre tout ces loups qui sont en train de sortir de leur trou pour tuer "l'amour" sur cette terre, il serait vraiment intéressant d'observer les tenants et aboutissants de ce que l’Église catholique vit depuis plus de 2000 ans; De deviner - par le cœur - en vérité où se cache l'authentique et unique "grand méchant loup". Pour cela je voudrais proposer d'écouter/réécouter (éventuellement) le récit du "Rêve de don Bosco" par le Père René-Luc, un prêtre et aumônier français auprès des jeunes de la ville d’Albi dans le Sud de la France, Chef-lieu du département du Tarn.

Il s'agit d'une magnifique prédication concernant ce Songe - des trois piliers de l’Église catholique - . C'est vraiment à partager largement en familles, entre amis, des plus petits aux plus grands, partout où c'est possible de se réunir pour écouter. Quelque soit les convictions religieuses car c'est une histoire d'amour qui touche toute notre humanité.
Qui aime l’Église, Dieu, la Bienheureuse Vierge marie - Mère de tous les Peuples -, et le Pape, les aimeront encore plus, d'autres comprendront mieux les tenants et aboutissants, et combien d'autres encore auront - en connaissance de cause - envie peut-être de se battre pour protéger les trois piliers de l’Église Catholique reconnaissant le rôle hyper important de chacun pour l'avenir de toute notre humanité.

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Commentaire laissé par Anne Le Nud le

MERCI MERCI MERCI !!! Je ne doute pas que, lorsque vous écrivez vos articles, l'Esprit souffle intensément... Car c'est puissant, clair et très bien documenté . Ne lâchez pas : on a besoin de vous et le Seigneur vous à choisi pour cela. De tout coeur dans la prière.

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