Le Don


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Catégorie : L'Ère de Paix et la Vie dans la Divine Volonté

Auteur : Mark Mallett

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« L'ère des ministères touche à sa fin. »

Ces paroles qui résonnèrent dans mon cœur il y a plusieurs années avaient quelque chose d'étrange, bien que leur sens fût en même temps très clair : nous arrivons à la fin, pas du ministère en tant que tel ; mais plutôt la fin des divers moyens, méthodes et structures auxquels l'Église moderne s'est progressivement habituée et qui ont finalement individualisé, affaibli et même divisé le Corps du Christ. Il s'agit d'une « mort » nécessaire pour l'Église, afin qu'elle puisse expérimenter une nouvelle résurrection, un nouvel épanouissement de la vie, de la puissance et de la sainteté du Christ, selon un mode entièrement nouveau.

Dieu lui-même avait prévu, dans Sa Providence, de faire advenir cette « nouvelle et divine » sainteté dont le Saint-Esprit désire enrichir les chrétiens à l'aube du troisième millénaire, avec pour finalité de « faire du Christ le coeur du monde. »

— Pape Jean-Paul II, Message aux Pères Rogationnistes, n° 6, Vatican.va

Mais on ne peut mettre du vin nouveau dans une vieille outre. Aussi, les « signes des temps » aujourd'hui nous indiquent clairement, non seulement que Dieu est prêt à verser un vin nouveau... mais que la vieille outre s'est desséchée, qu'elle fuit et qu'elle n'est plus à même de recevoir une nouvelle Pentecôte.

Nous arrivons à la fin de la chrétienté... La chrétienté au sens de la vie économique, politique et sociale inspirée des principes chrétiens. Cela est en train de se terminer — nous la voyons mourir. Regardez les symptômes : la rupture au sein de la famille, le divorce, l'avortement, l'immoralité, la malhonnêteté générale... Seuls ceux qui vivent par la foi comprennent vraiment ce qui se passe dans le monde. Les grandes masses qui n'ont pas la foi n'ont pas conscience des processus destructeurs en cours.

— Vénérable archevêque Fulton Sheen (1895 - 1979), lors d'une émission radiophonique du 26 janvier 1947 ; cf. ncregister.com

Jésus a comparé ces processus destructeurs aux « douleurs du travail d'enfantement » dont l'aboutissement sera une nouvelle naissance...

La femme qui enfante est dans la peine parce que son heure est arrivée. Mais, quand l'enfant est né, elle ne se souvient plus de sa souffrance, tout heureuse qu'un être humain soit venu au monde.

Jn 16: 21

Nous possèderons tout

Ici, nous ne parlons pas d'un simple renouvellement. Il s'agit plutôt de l'apogée de l'histoire du salut, le couronnement et l'achèvement d'un long cheminement du Peuple de Dieu — et donc aussi du choc des deux royaumes (ndtr, la confrontation finale de notre ère, entre le Royaume du Christ et le royaume de Satan). Voilà l'accomplissement et la finalité mêmes de la Rédemption : la sanctification de l'Épouse du Christ en vue du repas des Noces de l'Agneau (Ap 19: 8). Ainsi, tous les enfants du Père, rassemblés en un unique troupeau, prendront possession de tout ce que Dieu a révélé dans le Christ. Comme Jésus l'a expliqué à la servante de Dieu Luisa Piccarreta,

A un groupe de personnes il a montré la manière d'arriver jusqu'à son palais ; à un second groupe il a indiqué la porte ; à un troisième il a montré la cage d'escaliers ; au quatrième la pièce principale ; et au dernier groupe [la dernière génération] il a donné accès à toutes les pièces …

— Jésus à Luisa Piccarreta, extrait du journal de Luisa, vol. XIV, 6 novembre 1922; Saints in the Divine Will par le Père Sergio Pellegrini, avec l'approbation de l'archevêque de Trani, Giovan Battista Pichierri, p. 35

Mais nous en sommes encore loin. [...] L'Église n'a jamais été plus riche qu'aujourd'hui, mais en même temps elle n'a jamais été plus pauvre. Elle est riche de nombreuses grâces et connaissances accumulées sur plus de deux milles ans... mais la plupart de ces richesses ont soit été cadenassées par la peur et l'apathie, soit été cachées sous les cendres du péché, de la corruption et de la division. [...]

Par quelle tempête nous faudra-t-il passer avant que ne nous soient accessibles ces dons ! Quel ouragan sera nécessaire pour souffler ces immondices dans lesquels nous suffoquons !

Aussi, le Peuple de Dieu dans l'ère de paix qui s'en vient sera pour ainsi dire entièrement catholique. Pensons à une goutte de pluie tombant dans un étang. Dès l'instant où elle touche la surface de l'eau, des ondulations concentriques commencent à se propager de tous côtés. Aujourd'hui, l'Église est dispersée le long de ces cercles de la grâce, dérivant dans toutes les directions ; précisément parce que son centre ne se trouve plus en Dieu mais en l'homme. Nous avons ainsi ceux qui pratiquent des œuvres de justice sociale, mais coupées de la vérité. D'autres qui s'accrochent à la vérité mais négligent le devoir de charité. [...] Le Christ aspire tellement à voir Son Église pleinement catholique, pleinement [unifiée], pleinement vivante !

C'est ainsi que l'Église de demain, après sa résurrection, émergera du centre même de la Divine Volonté pour ensuite s'étendre jusqu'aux extrémités de la terre, en faisant onduler chaque grâce, chaque charisme et chaque don que la Sainte Trinité avait prévu d'accorder à l'humanité depuis la création d'Adam jusqu'à nos jours... Ce que l'Église a perdu, elle le retrouvera ; ce qui est pourri sera restauré ; ce qui bourgeonne déjà s'épanouira dans toute sa plénitude.

Voilà en quoi consiste tout particulièrement le « Don de la Vie dans la Divine Volonté ».

Le centre divin

Le cœur, le centre même de la vie de l'Église est la Divine Volonté. Et par cela, je ne pense pas à une simple liste de « choses permises et défendues ». Au contraire, la Divine Volonté est la vie intérieure et la puissance mêmes de Dieu exprimées dans les « fiats » de la Création, de la Rédemption et à présent, de la Sanctification. Jésus disait à la servante de Dieu Luisa Piccarreta :

Par ma descente sur terre, en assumant votre condition humaine, mon but était précisément d'élever à nouveau votre humanité [vers ma divinité] et de donner à ma Divine Volonté le droit de régner dans cette humanité [restaurée]. Car en régnant dans mon Humanité, je fis que les droits de chaque côté — humain et divin — soient pleinement rétablis.

— Jésus à Luisa Piccarreta, 24 février 1933

C'était là le sens ultime de la vie, de la mort et de la résurrection de Jésus : faire en sorte que ce qui fut accompli en Lui puisse désormais s'accomplir en nous. Voici la clé pour comprendre le « Notre Père » :

Nous pouvons encore, sans [nous écarter de] la vérité, traduire ces paroles : « Que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel » par celles-ci : « dans l'Église comme dans notre Seigneur Jésus Christ  » ; [ou] « dans l'Épouse qui lui a été fiancée, comme dans l'Époux qui a accompli la volonté du Père.  »

Catéchisme de l'Église catholique, n° 2827

Ceci n'a pas encore été accompli dans le temps ni dans les limites de l'histoire.

Car les mystères de Jésus ne sont pas encore dans leur entière perfection et accomplissement. Bien qu'ils soient parfaits et accomplis dans la personne de Jésus, ils ne sont pas néanmoins encore accomplis et parfaits en nous qui sommes ses membres, ni en son Église qui est son corps mystique.

— St Jean Eudes, traité “Sur le royaume de Jésus”, Liturgie des heures, Vol IV, p. 559 ; adoratioiesuchristi.blogspot.com

Ainsi, nous vivons en ce moment les douleurs de l'enfantement qui sont nécessaires pour que l'Église soit purifiée, de sorte qu'elle retrouve son centre dans la Divine Volonté et qu'elle puisse être couronnée du Don de la Vie dans la Divine Volonté... De la sorte, seront restaurés les « droits » que l'homme a perdus au jardin d'Eden tout comme l'harmonie de l'homme avec Dieu et avec la création qui « gémit encore à ce jour dans les douleurs de l'enfantement ». [1] Ceci n'est pas réservé pour l'éternité seulement, comme nous le dit Jésus, mais il s'agit de l'accomplissement et de la destinée de l'Église dans le temps ! C'est pourquoi, au matin de Noël, nous sommes appelés à élever nos regards au-delà du chaos et des souffrances du temps présent, au-delà des cadeaux posés au pied du sapin, pour les tourner vers le Don que Dieu attend de pouvoir nous révéler, et dont nous pouvons dès aujourd'hui avoir un avant-goût.

... dans le Christ s'accomplit l'ordre parfait de toutes choses, l'union du ciel et de la terre, comme Dieu le Père l'a voulu depuis le commencement. C'est l'obéissance de Dieu le Fils Incarné qui rétablit et restaure la communion originelle de l'homme avec Dieu et, par conséquent, la paix dans le monde. Son obéissance réunit à nouveau toutes choses, « les choses du ciel et celles de la terre ».

— Cardinal Raymond Burke, discours à Rome ; 18 mai 2018, lifesitnews.com

C'est donc en partageant Son obéissance, dans la « Divine Volonté », que nous recouvrerons notre véritable filiation — avec toutes ses ramifications cosmologiques :

Ainsi se dessine la pleine réalisation du projet originel du Créateur : celui d'une création où Dieu et l'homme, l'homme et la femme, l'humanité et la nature sont en harmonie, en dialogue, en communion. Ce projet, bouleversé par le péché, est repris d'une manière plus admirable encore par le Christ qui le met en œuvre mystérieusement mais efficacement dans la réalité présente, dans l'attente de le mener à son achèvement.

— PAPE SAINT JEAN-PAUL II, Audience générale, 14 février 2001 ; la-croix.com

Demander à recevoir ce don

En ce temps de Noël, nous nous souvenons que Jésus s'est vu offrir trois présents : de l'or, de l'encens et de la myrrhe. Dans ceux-ci est préfigurée la plénitude des dons dont Dieu entend combler Son Église. L'or est le « dépôt de la foi », autrement dit la « vérité », solide et immuable ; l'encens est le doux parfum de la Parole de Dieu, autrement dit le « chemin » ; et la myrrhe est le baume des sacrements et des charismes qui donnent la « vie ». Mais tout cela doit à présent être enchâssé dans le coffret ou « l'arche » de la Divine Volonté. Notre Dame, « l'arche de la nouvelle Alliance » est en effet une préfiguration de tout ce que l'Église est destinée à devenir — Marie qui fut la première créature, après Adam et Eve, à recevoir cette vie nouvelle dans la Divine Volonté, à vivre en son centre même.

Ma fille, ma Volonté est le centre, les autres vertus sont le cercle. Imagine une roue dont le centre concentre tous les rayons. Que se passerait-il si l'un de ces rayons décidait de se détacher du centre ? Premièrement, ce rayon serait dans un piètre état ; deuxièmement, il demeurerait inerte et finirait par tomber tandis que la roue se mettrait en mouvement. Telle est ma Volonté pour l'âme. Ma volonté est le centre. Tout ce qui n'est pas fait dans ma Volonté, et uniquement pour accomplir ma Volonté — même les choses saintes, les vertus ou les bonnes œuvres — sont comme des rayons détachés du centre de la roue : des œuvres et des vertus dépourvues de vie. Cela ne pourra jamais me plaire ; au contraire, Je fais tout pour m'en débarrasser...

— Jésus à Luisa Piccarreta, livre 11, 4 avril 1912

Le but de cette Tempête n'est donc pas seulement de purifier le monde, mais d'attirer dans le cœur de l'Église le Règne de la Divine Volonté afin qu'elle ne vive plus de sa propre volonté — comme un esclave obéissant à son maître — mais comme une fille qui possèderait la Volonté même de son Père — et tous les droits qui y sont rattachés. [2]

Vivre dans la Divine Volonté, c'est régner en elle et avec elle ; c'est posséder la Volonté Divine et toutes ses Richesses. La Volonté Divine devient sienne comme lui appartenant ; l'âme dispose de la Vie Divine comme elle l'entend. C'est vivre avec une seule volonté qui est Celle de Dieu qui règne dans l'âme. Tout est Paix profonde, Sainteté Divine sans aucune passion humaine. La Volonté Divine donne à la créature l'ordre divin qui la vide de tout ce qui est humain, de ses tendances, de ses passions et de ses inclinations. C'est vivre comme un fils, où tout ce qui appartient au Père, appartient également au fils. Ce fils est choyé par le Père de ses caresses et de ses baisers et il commande aux serviteurs comme le fait son Père. Le lien filial ne peut être brisé et il a droit de posséder dès maintenant tout l'héritage du Père. C'est la vie qui se rapproche le plus de celle des bénis au Ciel. Ce fils vit dans la maison de son Père, dans son intimité. C'est la vraie Vie en Dieu, la Présence Réelle de Jésus Glorifié dans l'âme, un Paradis Terrestre.

Faire la Volonté de Dieu, c'est [au contraire] être aux ordres de Dieu, recevoir les dispositions de sa Volonté Divine, exécuter ses ordres. C'est considérer la Volonté Divine comme appartenant à Dieu et non [également] à soi ; c'est vivre avec deux volontés séparées : la sienne et celle de Dieu. L'âme ne peut pas disposer de la Volonté Divine comme elle l'entend, et elle est sujette aux inconstances, à la faiblesse humaine, aux passions, aux fragilités humaines. Elle vit dans l'ordre humain et ressent le poids de sa volonté humaine, le poids de sa nature rebelle, de ses passions et de ses inclinations parce que sa volonté lui fait la guerre. C'est vivre comme un serviteur qui vit de la vie mystique et de la grâce sanctifiante. Ce serviteur est obligé à de plus grands sacrifices et accomplit des travaux plus durs, plus humbles. Il reçoit un petit salaire seulement pour le travail accompli sans autre compensation.

— Jésus à Luisa Piccarreta, Le Don de la vie dans la Divine Volonté ; luisapiccarreta.ca

Si ce que je dis semble confus ou difficile à comprendre, ne vous inquiétez pas, vous n'êtes pas seul. Dans des mots réellement sublimes adressés à la Servante de Dieu Luisa Piccarreta, Jésus a dévoilé progressivement, tout au long de 36 volumes, la « théologie » de la Divine Volonté. [3] Je sens par contre aujourd'hui que le Seigneur veut que la petite armée de Marie lui demande humblement ce Don du Règne de la Divine Volonté. Tendez simplement les mains à Jésus et dites-lui : « Oui, Seigneur, oui ; je souhaite recevoir la plénitude de ce Don, préparé pour notre temps, pour lequel j'ai prié toute ma vie dans le Notre Père. Même si je ne comprends pas pleinement cette œuvre que Tu accomplis à notre époque, je dépose devant Toi en ce temps de Noël tous mes péchés — ma propre volonté — pour que je puisse en échange posséder ta Divine Volonté, et que nos deux volontés ne fassent plus qu'une. » [4]

Tout comme l'enfant Jésus n'a pas ouvert la bouche pour demander de l'or, de l'encens et de la myrrhe, mais s'est simplement fait tout petit, nous de même, si nous devenons petits et nous mettons dans cette disposition qui nous pousse à désirer la Divine Volonté, c'est là le plus beau des départs. C'est suffisant pour aujourd'hui.

En effet, quiconque demande reçoit ; qui cherche trouve ; à qui frappe, on ouvrira. Ou encore : lequel d'entre vous donnera une pierre à son fils quand il lui demande du pain ? ou bien lui donnera un serpent, quand il lui demande un poisson ? Si donc vous, qui êtes mauvais, vous savez donner de bonnes choses à vos enfants, combien plus votre Père qui est aux cieux donnera-t-il de bonnes choses à ceux qui les lui demandent !

Mt 7: 8-11

Mark Mallett
The Gift


[1] Rm 8: 22
[2] cf. True Sonship
[3] cf. On Luisa and Her Writings
[4] cf. The Single Will

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