Commentaire laissé par Peyo brebis le
Dans une conférence de presse, le 17 février 2016, le Pape François avait déjà déclaré : « L'avortement n'est pas un moindre mal, c'est un crime. Abattre un individu pour en sauver un autre, c'est ce que fait la mafia, c'est un crime, un mal absolu. ». Sa dénonciation n'a pas changé, pourquoi les médecins avorteurs réagissent-ils aujourd'hui ?
Le bébé est un être humain. Son élimination se fait sans jugement, sans aucun avocat pour le défendre. Les tueurs professionnels veulent faire taire ceux qui essaient de parler au nom des bébés éliminés de sang-froid. Si l'avortement est un choix, c'est un choix qui tue un bébé. C'est la vie du bébé qui est l'enjeu de ce choix.
Et en outre, ces tueurs sont financés par l'argent de la Sécurité Sociale, l'argent destiné aux malades. Or, tomber enceinte n'est pas tomber malade. C'est un signe de bonne santé. Pourquoi forcer tout le monde à financer un choix individuel, que beaucoup réprouvent mais sont obligés de payer malgré eux ?
L'avortement est le seul événement violent qu'on ne montre jamais dans les médias. Car si les médias montraient la réalité terrible de l'avortement, l'opinion publique ne croirait plus aux mensonges des avorteurs.
Tant que l'on montrera aux enfants que l'on peut tuer un bébé dans le ventre de sa mère, comment pourra-t-on leur apprendre qu'il est mal de tuer un être humain, qu'il soit bébé, enfant, adulte ou vieillard ? On montre aux enfants que le fort peut tuer le faible, si le faible le gêne.
Décidément, la violence n'est pas du côté du Pape. Elle est du côté de ceux qui sont payés pour participer à ce génocide terrible qu'est l'avortement. Une population dont on assassine les enfants est une population qu'on assassine.