Autres prophéties de Marie-Julie Jahenny


Commentaires (2)

Catégorie : Prophéties et révélations privées

Auteur : marie-julie-jahenny.fr

Nombre de consultations : 1.295

Les prophéties suivantes nous aident à comprendre les causes et les remèdes des événements en cours, à travers le monde et plus particulièrement en France, qui, rappelons-le, est la Fille aînée de l'Eglise et, à ce titre, a une plus grande responsabilité. Si la France tombe, les autres nations en Occident tomberont à sa suite. Si la France se relève et revient vers Dieu, les autres nations occidentales se repentiront et reviendront vers Dieu.

Le serviteur qui, connaissant la volonté de son maître, n'a rien préparé et n'a pas accompli cette volonté, recevra un grand nombre de coups... À qui l'on a beaucoup donné, on demandera beaucoup ; à qui l'on a beaucoup confié, on réclamera davantage.

Luc 12: 47-48

L'intégralité de ces messages peut être lue sur le site marie-julie-jahenny.fr. Je mets ci-dessous les messages les plus importants qui me semblent rejoindre l'actualité de la France en cet été 2021 et ce qui s'annonce pour la rentrée et les mois et années à venir. A ce sujet je vous invite aussi à écouter d'urgence la dernière émission de la Une TV avec Richard Boutry.

Un élément en particulier qui me fait penser que ces messages concernent notre époque est ce message du 18 mai 1881 relatif à la reine d'Angleterre (qui aujourd'hui a 95 ans) :

L'Angleterre : "À cette époque, l'Angleterre aura trahi son peuple sous l'empire d'une reine ; à sa descente du trône, les choses ne se feront pas comme le Seigneur l'exige."

La France divisée dans l'attente du Sauveur

La Sainte Vierge dit :

Mes chers enfants, mon coeur maternel est brisé de plus en plus ; mon royaume de France devient le centre de tous les abîmes du mal et, pour le sauver, que de victimes, que de sang répandu !... Mon royaume, sous peu, sera divisé...

25 mars 1895

Saint Michel dit :

Mes bien-aimés fidèles, courage ! Encore un peu de temps, et vous verrez tout l'Enfer se déchaîner pour tout renverser. Vous verrez des choses abominables, des violations épouvantables. La malice des hommes va encore grandir en fureur et en méchanceté. La fille aînée de l'Église sera divisée, partagée, déshonorée, souillée de crimes. [...]

2 juillet 1895

Le grand Coup de la main de Dieu ne sera pas de longue durée, mais il sera si terrible que beaucoup en mourront de peur. C'est après ce grand Coup qu'arrivera le triomphe de l'Église et de la France...

19 mai 1898

Quant je verrai en souffrance la vie des victimes, ma main qui bénit et qui frappe, fendra le firmament et apparaîtra aux regards de mes justes pour les diriger, comme une étoile mystérieuse, vers la terre du repos (refuges ?). Ensuite cette main armée de traits de vengeance, après tant de patience et de bonté, touchera la terre ; et le coup sera le grand coup de ma justice.

Un peu plus tard, sous une belle aurore d'un matin plein d'espérance, sortira un Sauveur [le Roi de France] qui sera choisi par moi pour rendre la paix à mes enfants exilés. Il bénira mes oeuvres; il favorisera mes desseins; il sera l'ami de Dieu.

Si les hommes ne font pas ce qu'ils doivent, je prendrai leur place et je ferai mon oeuvre sans les hommes et malgré les hommes.

1er décembre 1896

Sur un fond général de confusion et de désordre, se détachent des "époques", qui sont comme les degrés d'une progression. C'est d'abord comme un orage qui gronde, puis éclate pour se terminer sur un "grand coup" qui ramène la paix. (Les prophéties pour la France)

Ne vous découragez pas, dit Jésus, je laisse faire l'ennemi de vos âmes, car il est à la dernière limite de son effort. Il sent qu'approche l'heure de la grande Justice. Je suis las de tant de péchés, de tant d'offenses. Je n'ai plus qu'à laisser sortir de ma bouche un souffle pour que la terre entière soit remuée jusque dans ses fondements.

Je m'effraie cependant de ce grand Coup annoncé depuis tant et tant d'années et qui n'est plus éloigné. J'aime tant la France. Je me la suis choisie pour l'accomplissement de mes grands desseins.

1er mars 1923

Les secrets de la Salette confirmés

Lire Que disent les terribles prophéties de Notre-Dame de La Salette ?

Le docteur Imbert-Gourbeyre a rassemblé divers textes, tirés des extases de Marie-Julie, qui confirment expressément les révélations de La Salette. Les voici :

J'ai prié, dit la Sainte Vierge; j'ai pleuré ; j'ai souffert. Je suis descendue sur la terre pour les avertir. J'ai promis le salut si l'on faisait pénitence.

J'ai annoncé au clergé de fatales perditions ; j'ai fait entendre pour lui mes menaces, s'il faiblissait dans l'orage et la tempête. J'ai pleuré sur la France. J'y ai tracé le chemin de la Croix. J'ai ouvert des fontaines pour laver les malades. J'ai consolé mon peuple, lui promettant de le sauvegarder. Tout cela n'a pas touché le [peuple] coupable. Il est resté dans le crime ; son châtiment est proche.

29 novembre 1877

Rappelez-vous mes graves paroles sur la montagne de la Salette. Le prêtre n'est plus humble et n'est plus respectueux.

19 septembre 1896

J'ai encore à mes yeux, dit la Sainte Vierge, la trace des larmes que j'ai répandues en pareil jour, en voulant apporter à mes enfants la bonne nouvelle, s'ils se convertissaient, mais la triste nouvelle s'ils persistaient dans leur iniquité. On a fait peu de cas de ce que j'ai révélé.

Mes enfants, quand je me rappelle, depuis le jour où, sur la sainte montagne, j'ai apporté mes avertissements à la terre menacée... quand je me rappelle la dureté avec laquelle on a reçu mes paroles ; pas tous, mais beaucoup. Et ceux qui auraient dû les faire passer dans le coeur de mes enfants, avec une confiance immense et une pénétration profonde, ils n'en ont pas fait cas. Il les ont méprisées et, pour la plus grande part, ont refusé leur confiance.

Eh bien ! je vous assure que toutes ces promesses, mes secrets intimes, vont se réaliser. Il faut qu'ils passent visiblement. Quand je vois ce qui attend la terre, mes larmes coulent encore.

Quand la terre aura été purifiée, par les châtiments, de ses crimes et de tous les vices dont elle est revêtue, de beaux jours reviendront..

29 septembre 1901

Dernièrement j'ai bien souffert. Quand de saints Pasteurs prêtres ont voulu que les dernières lignes de mes secrets, sur la montagne des douleurs, soient connues de tout mon peuple, d'autres pasteurs se sont révoltés.

J'ai eu la douleur de voir remisées, sous scellés, ces dernières pages qui auraient dû être livrées au monde. (cf. aussi 3è secret de Fatima)

C'est parce qu'il y est grandement question des pasteurs et du sacerdoce qu'on s'est révolté, et qu'on a replié les dernières pages de ce secret divin. Comment voulez-vous que les châtiments ne tombent pas sur la terre ?

On va jusqu'à envelopper mes dernières paroles sur la sainte montagne, et à les faire disparaître, jusqu'à faire souffrir ceux qui se sont dévoués pour cette sainte cause...

4 août 1904 ; cf. Message de Notre-Dame d'Akita (1973 - 1981) Un terrible avertissement : « Les prêtres qui me vénèrent, seront méprisés et combattus par leurs Confrères.  »

Depuis Fatima

Ces messages doivent dater des années qui ont précédé 1938 :

Les hommes n'ont pas écouté les paroles prononcées par ma très Sainte Mère à Fatima. Malheur à ceux qui n'écoutent pas maintenant mes paroles... Beaucoup d'hommes vivent dans le péché, le plus souvent dans le péché d'impureté. Malheur à ceux qui séduisent les innocents.

Vous ne devez pas en vouloir à ceux qui ne veulent pas croire, car ils ne savent pas ce qu'ils font. Mais malheur à tous ceux qui se permettent de juger avant de s'être informés.

Les apparitions fréquentes de ma bonne Mère sont l'oeuvre de ma miséricorde. Je l'envoie, par la force du Saint-Esprit, pour prévenir les hommes, et pour sauver ce qui est à sauver... Je dois laisser arriver cela, sur le monde entier, afin que soient sauvées beaucoup d'âmes qui, sans les cela, seraient perdues. Pour toutes les croix, pour toutes les souffrances et pour tout ce qui surviendra encore de plus terrible, vous ne devez pas maudire, mais remercier mon Père du ciel.

C'est l'oeuvre de mon amour. Vous ne le connaîtrez que plus tard. Je dois venir dans ma Justice, parce que les hommes n'ont pas reconnu le temps de ma grâce. (*) La mesure du péché est comble, mais à mes fidèles il n'arrivera aucun mal.

(*) cf. Jésus à Sainte Faustine, Petit Journal, n° 1146, 1160 : « J'ai l'éternité pour les punir, et donc je prolonge le temps de ma miséricorde pour le compte des pécheurs. Mais malheur à eux s'ils ne reconnaissent pas le temps de ma visite. Que les plus grands pécheurs placent leur confiance en ma miséricorde. Avant que je ne vienne comme un juste juge, j'ouvre large les portes de ma miséricorde. Celui qui refuse de passer par la porte de ma miséricorde devra passer par la porte de ma justice. »

(...)

Le genre humain devra reconnaître qu'au-dessus de lui se trouve une volonté qui fera tomber, comme une maison de cartes, les plans audacieux de son ambition. L'Ange destructeur anéantira pour toujours la vie de ceux qui auront dévasté mon royaume.

Vous, âmes qui profanez le nom du Seigneur, gardez-vous de vous moquer de moi ; gardez-vous du péché contre l'Esprit.

(...)

Je veux vous protéger, mes fidèles, et vous donner les signes qui vous indiqueront le commencement du Jugement :

Quand, par une froide nuit d'hiver, le tonnerre grondera à faire trembler les montagnes, alors fermez très vite portes et fenêtres... Vos yeux ne doivent pas profaner le terrible événement par des regards curieux... Réunissez-vous en prières devant le Crucifix. Placez-vous sous la protection de ma très Sainte Mère... Ne laissez aucun doute s'installer en vous, au sujet de votre salut : plus vous serez confiants, plus sera inviolable le rempart dont je veux vous entourer. Brûlez des cierges bénits, récitez le chapelet.

Persévérez trois jours et deux nuits. La nuit suivante, la terreur se calmera. Après l'horreur de cette longue obscurité, avec le jour naissant, le soleil paraîtra dans toute sa lumière et sa chaleur.

Ce sera une grande dévastation. Moi, votre Dieu, j'aurai tout purifié. Les survivants devront remercier la Sainte Trinité de leur protection. Magnifique sera mon royaume de paix et mon nom sera invoqué et loué, du lever au coucher du soleil.

Priez, priez, priez, convertissez-vous et faites pénitence. Ne dormez pas comme mes disciples au Jardin des Oliviers, car je suis très proche. La colère du Père envers le genre humain est très grande. Si la prière du Rosaire et l'offrande du Précieux Sang n'étaient si agréables au Père, il y aurait déjà sur terre, une misère sans nom. Mais ma Mère intercède auprès du Père, de Moi-même et du Saint-Esprit. C'est pour cela que Dieu se laisse attendrir. Remerciez donc ma Mère de ce que le genre humain vive encore. Honorez-la avec un respect d'enfant - je vous en ai donné l'exemple - car elle est Mère de Miséricorde.

N'oubliez jamais de renouveler continuellement l'offrande du Précieux Sang [*]. Ma Mère me supplie inlassablement et, avec elle, beaucoup d'âmes pénitentes et expiatrices. Je ne peux rien lui refuser. C'est donc grâce à ma Mère, et à cause de mes élus, que ces jours seront raccourcis.

Soyez consolés, vous tous qui honorez mon Précieux Sang, il ne vous arrivera rien.

[*] Cette prière est très puissante : « Père Eternel, je vous offre le Corps et le Sang, l'Âme et la Divinité de Votre Fils bien-aimé, Notre Seigneur Jésus-Christ, en réparation de nos péchés et de ceux du monde entier. »

Quelques-uns de mes prêtres voudraient-ils être plus papes que le Pape ? Ils me crucifieront, car ils retarderont l'oeuvre de ma Mère. Priez beaucoup pour les préférés de mon Cœur, les prêtres. Un temps viendra où mes prêtres aussi comprendront tout cela...

On est déçu parce que beaucoup de ce que j'avais ordonné d'annoncer pour inviter les hommes à se convertir n'est pas encore arrivé. On croira pouvoir outrager des âmes élues parce que, à cause d'elles, j'aurai retardé un peu le terrible événement. Si, dans ma bonté et à cause des expiations qui me sont offertes, je retarde le désastre, je ne le supprime pas. Cela ne dépend pas du jugement des hommes ignorants. Dois-je encore, moi-même, rendre des comptes à ceux qui ne veulent rien savoir ?

Alors que le monde se croira en sûreté, je viendrai comme un voleur dans la nuit. Comme l'éclair, je suis là.

C'est encore le temps de mon immense Miséricorde, pour donner le temps de se repentir. Soyez prêts, en état de grâce, alors vous serez en sécurité sous ma protection et celle de ma Mère.

Le Sacré-Coeur l'avait révélé à Marguerite-Marie

Le Coeur Sacré de Jésus laisse échapper des rayons si multipliés que leur nombre dépasse celui des étoiles du firmament.

Le Seigneur dit :

Sous peu, à l'époque marquée, il ne restera debout, en France, aucune maison religieuse ; pas un cloître n'échappera aux tyrans de l'époque. Il y aura une multitude de massacres, depuis le Centre (Paris) à Lyon, de Lyon sur le midi et jusqu‘aux bords de la Bretagne qui est encore catholique, mais plus comme autrefois. [...] En ces massacres, aux mois froids, la terre deviendra un déluge de sang, comme au temps de Noé elle devint un déluge d'eau. Tous ceux qui ne seront pas dans l'arche de mon Coeur périront, comme au temps du déluge.

Moi-même, je choisirai ; je ferai nommer le véritable consolateur de mon peuple et de l'Église : celui qui reconstruira mes temples incendiés sous la violence d'une grande guerre civile, bien qu'elle ne sera pas longue. Je ne peux, dit-il, nommer autrement que guerre civile cette guerre à laquelle la France sera livrée.

Lire : « La loi sanitaire est loin d'être la seule à lever la colère populaire, mais ses conséquences n'ont rien de comparable aux autres lois. Sa mise en œuvre jetterait par milliers, par millions des Français hors de la société créant une foule d'individus n'ayant tout simplement plus rien à perdre et donc toutes les raisons de vouloir la fin de cette même société. »

Mes enfants, aujourd'hui si peu d'âmes me demandent mon amour, si peu de coeurs me servent fidèlement. Jusque dans les cloîtres, je trouve indifférence, oubli et faiblesse. Je me plains amèrement. Si les bons chrétiens sont si lâches, que seront donc les coupables qui veulent tout détruire et renverser jusqu'à mon Règne Éternel.

Le Sacré-Coeur de Jésus dit encore :

Il se lèvera soudain sur la France de grands fléaux et des calamités que rien ne pourra ni arrêter ni amoindrir. Passeront, sur la France, une mortalité innombrable que jamais le monde n'aura vue et des maladies qui seront inconnues. C'est surtout au Centre que cette mortalité lancera son fléau... [...] mais ne craignez rien, mon Coeur sera une demeure pour vous protéger.

Sombres perspectives : confidences de la Vierge en deuil

Ma Mère, dans peu de temps, il n'y aura plus de paix ni de repos ; dans peu de temps, il n'y aura plus que la liberté pour le mal, pour l'incendie, le sang et la mort.

(...)

O France ! pour toi j'ai tant de fois pleuré et intercédé. Je ne te demande qu'un seul acte de charité épargne au berceau l'innocence ; laisse la vie aux anges de la terre [les enfants], afin qu'ils puissent attirer sur toi le commencement de la miséricorde.

(...)

Mes enfants, c'est par bonté que je vous préviens de l'approche de ces calamités mortelles et de tous les grands malheurs.

Mes enfants, bien près de ce lieu où vous resterez paisibles, au commencement de ce grand et dernier orage qui amènera ensuite de beaux jours, vous verrez tomber de bien près des fléaux si grands et si nombreux que vous serez bien angoissés de voir tant souffrir jusqu'autour de vous.

Mes enfants, vous verrez tomber sur le monde des maladies mortelles qui ne laissent pas même le temps de se disposer à paraître devant mon Fils.

(...)

Mes enfants, pendant trois jours le ciel sera en feu, sillonné de frayeur par la colère divine. Ce qui m'attriste, c'est que cette colère n'arrêtera pas la force de l'Enfer. On ne craint ni mon Fils ni l'Enfer.

(...)

Mes enfants, priez pour l'Église ; priez pour tous ses ministres priez pour le Pape, car on attentera à ses jours. [...]

Le mal, que j'entrevois si proche, laisse à mon coeur une blessure qui durera toujours: une perte d'âmes considérable, la foi ruinée, le baptême souillé. Toutes ces lâchetés, que je vois, changeront en mauvais chrétiens beaucoup de mes enfants.

La France périra - pas toute, mais beaucoup périront – Elle sera sauvée avec un nombre bien petit... O France, on apportera, jusque dans tes lieux, la poussière de l'étranger. Tu ne pourras renvoyer ces étrangers. Tu fus si noble, ta noblesse sera perdue.

J'ai vu tout passer sur terre. Jamais - je vous le dis avec un coeur de mère - jamais je n'ai eu sous les yeux l'attente de pareils crimes, de pareils malheurs : violations, sacrilèges, attentats. C'est dès aujourd'hui que je vois toutes ces peines. Oh ! priez, mes enfants !

30 novembre 1880 ; lire La France tombera très bas, plus bas que les autres nations...

Les Sanctuaires désertés

Notre Seigneur dit :

Mes enfants, quand je regarde sur terre vos demeures mortelles, mes yeux se mouillent de larmes.

Désormais mon heure n'est plus loin.

Ma miséricorde est si large, pour mes amis véritables, que je ne peux vous en exprimer la grandeur ; mais aussi ma Justice est si effrayante que, si je vous en développais une étincelle, je vous causerais une douleur inguérissable.

Mes enfants, ne vous effrayez pas. Désormais je ne puis plus attendre.

Plus je fais pour mon peuple, plus il m'offense et me fait souffrir. Jamais il n'y aura de paix, d'union, de charité et de bonheur, tant que ma Justice ne sera pas venue sur la terre. Tout est méprisé partout : mon amour, ma bonté, ma Croix, mon Tabernacle.

Mon peuple semble rentrer dans l'incrédulité. Ce qui déchire mon divin Coeur, c'est la guerre que l'on déclare au saint temple dans lequel je fais ma résidence pour consoler et fortifier les âmes.

Mes enfants, ce n'est pas seulement une guerre, c'est un acharnement épouvantable. L'esprit de la plupart des hommes est gâté, corrompu jusqu'à la dernière fibre.

La religion, chaque jour, s'affaiblit. Bientôt elle sera désertée presque par toute la terre ; mais elle régnera dans des âmes isolées, poursuivies, frappées cruellement et sans pitié.

Bientôt, dans de grands endroits de cette terre des morts, il n'y aura plus de Sanctuaires. Les apôtres auront pris la fuite. Les âmes saintes pleureront sur les ruines et les abandons. La route qui s'ouvre va conduire là, en peu de temps. Voyez combien on m'insulte et combien on m'offense.

Oh ! bientôt, terre de ma création, oh ! bientôt combien contiendras-tu de victimes sans vie ! Bientôt, terre de ma création, tu auras une parure frémissante : le sang des apôtres et des chrétiens restés dans la foi !

J'ai assez attendu ; j'ai assez invité ; j'ai assez supplié. Les ingrats ont eu leur triomphe ; il est temps que le juste entre dans la joie. Je n'ai plus qu'une parole, pour vous dire de n'être point surpris, jusqu'au jour où je viendrai vous proclamer : entrez maintenant dans la paix de la terre qui est venue pour vous du ciel.

N'attendez rien des hommes ici-bas - je dis rien de bien - mais attendez tout en mal. Ils n'ont plus que cette force, que ce pouvoir. Les pécheurs de la terre n'ont plus qu'un désir: se repaître du mal, se nourrir de tous les sacrilèges...

10 juillet 1879

La flamme qui s'éteint

La Flamme du Saint-Esprit dit :

29 septembre 1879

Le Seigneur a prévenu son peuple, depuis des années et des années. Il lui a prédit le terrible et douloureux événement. Mon vrai peuple attend, sans effroi, la grande menace de Dieu et des hommes. Tous ceux qui ne sont plus à Jésus-Christ n'attendent que l'heure du grand déchirement pour tremper leurs mains dans le sang des innocents.

Elle dit encore :

Sur la terre du royaume de la Mère de Dieu s'élèveront des luttes entre les hommes. En ces combats, il n'y aura ni coeur ni pitié.

Une terrible épreuve de captivité et de dépouillement pour les apôtres de Dieu passera prochainement dans l'esprit des hommes.

Tout ce qui, jusqu'ici, était considéré comme justice sur la terre sera violé.

La Sainte Flamme dit encore :

Toutes les âmes qui se seront consacrées au Seigneur pour l'éducation chrétienne vont se voir tout retirer, n'ayant pour pain et soutien que la Providence du Seigneur qui n'a jamais abandonné personne.

Il ne faut pas s'arrêter sur les écoles d'aujourd'hui où règne satan. Sa parole et sa puissance vont augmenter encore les iniquités déjà commencées.

La Flamme dit :

Partout, la France presque entière sera soulevée contre L'Église. On répandra sans repos, sur la foi et l'Église, des articles abominables que le monde, sans l'Enfer, n'aurait jamais su inventer.

Les indignes ennemis du Dieu-Sauveur, qui s'assemblent dans les loges et les remplissent, sentent le moment approcher. Ils vont se lever, pleins d'espoir, pour jeter boue et scandale sur les apôtres de Dieu et sur son Église. C'est par eux que la jeunesse finira d'oublier son Créateur et Rédempteur. Ce temps fait frémir, au sujet de ceux des chrétiens dont la foi se trouvera inébranlable.

(...)

1° Toute la terre, excepté la Bretagne, ne sera qu'un tombeau sans vie.

2° L ‘Église va souffrir des persécutions telles que l'Enfer n'en aura jamais inventé de plus cruelles.

3° Le Centre [Paris] deviendra une terre imbibée de sang. Le dernier qui y coulera sera celui de l'homme que le ciel maudit à cause de ses crimes.

(...)

Maintenant, mon peuple, que rien ne t'épouvante. Si, demain, tes oreilles entendent des bruits nouveaux ; si tes yeux parcourent des lignes qui font frémir, que rien ne t'étonne ! C'est l'Enfer qui se met à l'oeuvre.

II faut que la terre périsse : pas toute, mais plus de la moitié de la moitié. La terre deviendra le désert, mais Dieu la repeuplera dans la paix et la tranquillité.

15 mars 1882

Le triomphe sera douloureux

France, écoute ma parole :

Tu auras beaucoup à souffrir... Ah ! si mon peuple savait comme il est à la veille d'un si beau triomphe, il ne pourrait contenir sa joie ! Il prierait chaque jour et, par ces prières, recevrait des consolations : ce serait, même avant la victoire, une marque de reconnaissance.

France, en ces jours de combat, tu ne t'attristeras pas ; tu ne perdras pas courage.

Quand l'étranger viendra fondre sur la France, c'est par une prière révélée qu'il sera refoulé et dispersé. Il viendra fondre sur la France comme un lion furieux, avec toute sa rage, avec toutes les armes de l'impiété, pour faire plier le peuple français et l'immoler.

Ma main, invisible, le foudroiera.

France, sans ma Mère, tu ne te serais jamais relevée de tes forfaits. Si le triomphe t'est accordé si vite, c'est grâce à Marie, à ses supplications, à ses larmes.

1er octobre 1875

Depuis que la France est fille aînée de l'Église, elle a versé beaucoup de sang et fait beaucoup de victimes. Le jour de sa délivrance sera le plus fatal, le plus terrible, le plus triste, le plus douloureux qui ait passé. Oui, beaucoup d'âmes seront moissonnées par l'effroi et la terreur.

Où es-tu, pauvre France, brebis perdue, égarée ? Pourtant, c'est toi qui dois espérer la première, puisque c'est toi qui dois délivrer l'Église.

France, France, tu n'as encore rien vu, rien éprouvé. Si, aujourd'hui, ton coeur manque de courage, que seras-tu dans ce grand jour ? [...] Tu n'auras pas à souffrir longtemps, mais ces jours si courts te seront pénibles, douloureux, épineux, déchirants.

Place-toi, pauvre France, droit au milieu de la Croix.

18 février 1876

(...)

Ne rien attendre du poteau de boue

Première crise Internationale

L'heure de Dieu n'est pas loin, dit Saint Michel, cette terreur profonde fera ressortir le triomphe de la nouvelle France. Mais ce triomphe ne peut venir avant que la Justice ne se soit appesantie sur cette terre gâtée.

N'attendez rien de celui qui règne comme roi et qui, aujourd'hui, est assis dans le même fauteuil que les autres - fauteuil qui ne porte aucune marque d'un pouvoir spécial et plus grand.

Sa pensée est accordée à la pensée des autres, sa parole à leur parole, sa volonté à leur volonté.

Lire La soeur de Bernard Henri Lévy "ne mâche pas" ses mots

Sa puissance et ses pouvoirs ne sont pas plus que ceux de celui qui est le dernier. N'attendez rien de ce côté : il ne mérite pas plus de respect que tout le reste.

Dans la tempête, sa voix criera aussi fort que les autres, contre tout ce que Dieu a établi. Il n'y a pas de fermeté en lui : ils l'ont mené ; ils l'ont dirigé. Voilà le portrait de cet homme : c'est un poteau de boue. Plaignons-le, mais n'y pensons guère.

Pour ramener le Roi choisi et destiné par Dieu, il faut que tous ceux qui sont à présent soient balayés.

29 septembre 1878

Lire la suite sur le site marie-julie-jahenny.fr

Prendrais-je donc plaisir à la mort du méchant – oracle du Seigneur Dieu –, et non pas plutôt à ce qu'il se détourne de sa conduite et qu'il vive ? (...) Et pourtant vous dites : “La conduite du Seigneur n'est pas la bonne”. Écoutez donc, fils d'Israël : est-ce ma conduite qui n'est pas la bonne ? N'est-ce pas plutôt la vôtre ? (...) C'est pourquoi – oracle du Seigneur Dieu – je vous jugerai chacun selon sa conduite, maison d'Israël. Retournez-vous ! Détournez-vous de vos crimes [...]. Rejetez tous les crimes que vous avez commis, faites-vous un cœur nouveau et un esprit nouveau. Pourquoi vouloir mourir [...] ? Je ne prends plaisir à la mort de personne, – oracle du Seigneur Dieu – : convertissez-vous, et vous vivrez. »

Ez 18: 23- 32

« La République mourra dans l'opprobre général... »

Vénérable abbé Souffrant (1755-1828)

Source : chretiensmagazine.fr

Voici enfin d'autres messages prophétiques qui me semblent actuels (alors qu'on nous parle déjà aujourd'hui de mettre fin à la 5ème République pour en inaugurer une 6ème). Ils furent donnés par l'intermédiaire de l'Abbé Souffrant (XVIIIè - XIXè siècles). Les prophéties de l'Abbé Souffrant rejoignent en bien des points celles de Marie-Julie Jahenny.

Toutes ces prophéties dérangent beaucoup de catholiques français en particulier à cause de l'annonce relative au « Grand Monarque ». Pourtant ces messages, s'ils sont bien compris, devraient réjouir tout chrétien de bonne volonté qui comprend que le régime français actuel — qui n'a de cesse de vouloir éloigner Dieu de Son Peuple et détruire l'Église catholique — ne peut être voulu du Seigneur.

L'identité républicaine est tellement ancrée dans la conscience française — et l'Histoire de France (d'avant la Révolution Française) a tellement été salie et déformée dans les livres d'Histoire — que les Français ont aujourd'hui, majoritairement, une vision complètement erronée et négative de leur Histoire et de ce qu'est une monarchie et qu'il leur est difficile d'envisager une France non républicaine et le retour à une monarchie. Pourtant d'après plusieurs prophéties, l'intention de Notre Seigneur est bien de reprendre le cours de l'Histoire de France là où elle s'est arrêtée avec la Révolution Française et la mort du dernier Roi. Les racines de la République française sont maçonniques et athées ; la République française est le fruit des Lumières — de la Renaissance, de la Réforme et de la Révolution qui ont cherché à détruire l'identité chrétienne et catholique de la Fille aînée de l'Eglise pour la remplacer par une identité laïcisiste et humaniste. Le but ultime étant, non content de se limiter à la France, et en se servant d'elle, de créer d'autres Républiques à travers le monde (ce à quoi se sont acharnés les derniers présidents français), pour ensuite toutes les fusionner en une République universelle sous le gouvernement mondial de l'Antéchrist. Tout ceci fut très bien expliqué par Mgr Delassus :

Dans La Conjuration Antichrétienne ou le Temple Maçonnique voulant s'élever sur les ruines de l'Église Catholique, Henry Delassus nous propose une exploration historique, philosophique et religieuse à travers les étapes de la destruction de l'Église catholique par ceux qui, de la Renaissance à la Réforme, puis par les différentes Révolutions, ont programmé l'avènement d'une République universelle judaïque et maçonnique. Nées dans les loges, elles-mêmes instruments d'une petite élite aux visées oligarchiques, les idées humanistes et naturalistes, puis le protestantisme et enfin le libéralisme des Lumières n'ont été que les manifestations d'un long combat pour imposer une vision unifiée de l'homme menant à un mondialisme qui n'est que l'avènement d'un messianisme matérialiste. Pour y arriver, il a fallu et il faut encore écraser le catholicisme, universalisme dont la réalisation concerne un autre plan, le plan céleste, et qui pourtant est un obstacle absolu au projet terrestre de la franc-maçonnerie. [...] Ce combat peut ainsi se résumer en une seule phrase : celui du Christ contre Satan.

La Conjuration antichrétienne de Mgr Delassus

Voici les messages de l'Abbé Souffrant :

L'année des deux printemps [*], la République mourra dans l'opprobre général... Les mauvais se disputeront entre eux et s'entretueront, les bons n'auront pour ainsi dire rien à faire.

L'envahisseur Russe viendra par l'Italie... l'envahisseur voudra massacrer tout sur son passage mais il n'en aura pas le temps...

[...]

A ce moment-là, notre Grand Roi se lèvera...

[*] "printemps" selon cette définition : Période pendant laquelle se manifestent, de manière plus ou moins pacifique, des aspirations d'un peuple ou d'une nation à plus de liberté, de démocratie et de justice sociale. (Larousse)

Autres messages où il est question du Triomphe de l'Eglise catholique et de l'avènement d'une ère de paix :

La terre connaîtra des températures excessives…

Dans ces événements, les bons n'auront rien à faire, car ce seront les républicains, les méchants qui s'écharperont entre eux… Les bouleversements seront épouvantables. La religion sera persécutée et ses ministres seront obligés de se cacher dans bien des endroits, au moins momentanément, les églises seront fermées encore un peu de temps…

Le sang coulera dans les villes par torrents au nord et au midi.
Ensuite, une nouvelle république sera proclamée, mais qui durera peu, vous verrez trois partis en France, deux mauvais et un bon.

Paris sera détruit au milieu de toutes ces calamités, tellement détruit que la charrue y passera… Le bouleversement sera grand en Europe et partout on établira des républiques.

L'Ouest (Bretagne), qui a été rudement traité sous la première révolution, sera épargné dans les événements.

Mais si comme Dieu le désire, nous entrons dans ses vues et celles de l'Église, nos maux seront allégés…

Des puissances étrangères s'armeront et marcheront contre la France. Ils voudront massacrer tout sur leur passage mais ils n'en auront pas le temps.

(...)

Le succès qui sera le triomphe de l'Église [...] prendra sa principale source dans la dévotion au Sacré Cœur. Cette dévotion sans arrêter les événements, peut diminuer de beaucoup l'étendue et l'intensité des maux annoncés. Ce sera le commencement d'une ère nouvelle de paix et de triomphe pour l'Eglise, ère de conversions innombrables.
La France sera pacifiée la première, rendra le calme et la prospérité aux autres nations.

La république aura mis les finances de la France dans un tel état qu'il faudra trois ans à notre Grand Roi pour y voir clair.

Avec l'Empereur de Russie [*], il mettra fin à la confusion, à l'usurpation et à l'injustice dans toute l'Europe. Tous deux rétabliront le règne de la religion et l'autorité de l'Église.

L'empereur de Russie se convertira à la foi catholique. [*]


— Extraits de Vie et prophéties de l´Abbé Souffrant par l'Abbé Cerisier

[*] Ceci sera certainement le résultat de la Consécration de la Russie qui finira par se faire comme demandé par Notre Dame de Fatima.

Gare à la Révolution qui Vient et à la 6ème République

L'année des deux printemps, la République mourra dans l'opprobre général... Les mauvais se disputeront entre eux et s'entretueront, les bons n'auront pour ainsi dire rien à faire. (...) Ensuite, une nouvelle république sera proclamée, mais qui durera peu...

— Abbé Souffrant (1755-1828)

On peut imaginer, rêver d'un Jérusalem devenant capitale de la planète qui sera un jour unifiée autour d'un gouvernement mondial...

— Jacques Attali (Attali et ses pairs seraient-ils en train de nous préparer l'avènement de l'Antéchrist qui sègerait, depuis Jérusalem, à la tête du gouvernement mondial, après avoir un terme aux nations souveraines ?)

Notez cet article :
(1 note reçue)
10/1012345678910

Cet article m'inspire...


de la joie
7


du courage
26


de la tristesse
3


de la peur
0


de la colère
1

Commenter Imprimer

Commentaires des internautes

Remarque : Les commentaires ci-dessous n'engagent que leurs auteurs et ne reflètent pas nécessairement l'opinion de l'auteur de ce blog.

Partagez votre opinion

Commentaire laissé par Vélaska le

j'en ris d'avance de cette révolution qui n'arrive pas ou qui n'arrivera jamais !

Il y a plus de deux ciel un peuple a renversé la Monarchie et exécuté la famille royale. Au jour d'aujourd'hui en France un seul homme au pouvoir a écrasé tout un peuple et fini par le soumettre à sa volonté et le covid est passé depuis alors les gens trop poltron sont resté chez eux.

Les prophéties prédisent un Grand Monarque va venir mais pour l'instant il ne fait rien. Quelqu'un dit que ce serait le fils d'un prétendant dit Louis XX. Son fils serait Henri de Jésus le duc de Touraine né le 1er février 2019. On a encore le temps d'attendre en attendant et on a le temps de mourir.

Ce commentaire vous a-t-il été utile ? (1 internaute sur 1 a trouvé ce commentaire utile)

Répondre

Commentaire laissé par Gilles TISSOT le

Combien de fois dans le passé et dans le présent avons-nous été prévenu de la situation catastrophique de l'église et du genre humain. Qu'avons-nous fait ? Rien !
Avons-nous maintenant un peu de sagesse pour réagir dans le sens des nombreux appels de Notre Sainte-Mère et du Sacré-Cœur de Jésus. Prions tous ensemble et du fond du cœur pour répondre à ces appels angoissés !
Jésus, Marie, Joseph venez à notre secours sans vous, nous ne pouvons rien ...

Ce commentaire vous a-t-il été utile ? (1 internaute sur 1 a trouvé ce commentaire utile)

Répondre

Ecrire un commentaire

Veuillez utiliser le formulaire suivant pour nous soumettre votre commentaire.

Veuillez noter que pour éviter tout abus, votre adresse IP sera enregistrée lors de la validation de ce formulaire. Nous la conserverons pendant maximum 12 mois.

 Champs obligatoires

Votre adresse e-mail ne sera pas visible sur le site et ne servira pas à vous envoyer de publicité. Elle sert uniquement à vous prévenir en cas de réponse. Votre adresse e-mail restera confidentielle.
@

Souhaitez-vous être tenu informé des réponses apportées à votre commentaire ?

Veuillez résoudre le calcul suivant : 4 - 1 = ?
Vous pouvez vous aider de la calculatrice ci-contre.

Recommander cet article

Le formulaire ci-dessous vous permet de recommander l'article Autres prophéties de Marie-Julie Jahenny.

 Champs obligatoires

@
@
Veuillez résoudre le calcul suivant : 4 - 1 = ?
Vous pouvez vous aider de la calculatrice ci-contre.

Articles similaires

Les prophéties d’hier se réalisent aujourd’hui – l'émission complète

Revue "En Route" - le

2.953 lectures 7 commentaires

Depuis des siècles, au travers de différentes apparitions la Vierge Marie parcourt l'Univers pour réveiller le monde et l'inviter à se convertir alors qu'il continue à demeurer dans sa torpeur. Et pourtant, le temps de la Miséricorde tire à sa fin et le moment est maintenant arrivé où les prophéties d'hier sont en train de se réaliser.

Lire la suite

Les Prophéties pour la France, l'Eglise et le monde - Marie-Julie Jahenny

marie-julie-jahenny.fr - le

1.683 lectures 0 commentaire

Nous ignorons la date de ces jours où la Justice et la Miséricorde se manifesteront avec tant d'éclat. Les prophéties de Marie-Julie sont constantes, cohérentes, conformes à d'autres sources sûres. Même si notre génération n'était pas concernée par ce déluge purificateur, nous devons transmettre les informations reçues, nous préparer et préparer le prochain, en remerciant Dieu d'être si patient.

" J'ai voulu prévenir mon peuple, pour qu'il ne soit pas surpris. Attendez dans la confiance et l'espérance... Douter, ce serait M'offenser... Sois sûre, France, les jours et les heures sont marquées dans Mon Coeur ; encore un peu de temps et J'accomplirai Mes promesses !

— Le Sacré-Coeur, le 26 novembre 1874

Lire la suite

La France tombera très bas, plus bas que les autres nations...

le

3.855 lectures 3 commentaires

« Pour que la France, Fille aînée de l'Église, se redresse spirituellement et moralement, il faut qu'elle touche le fond. Le renouveau viendra du Ciel, il sera extraordinaire. »

« Vous n'imaginez pas jusqu'où l'on descendra ! Mais le renouveau sera extraordinaire, comme une balle qui rebondit ! Non, cela rebondira beaucoup plus vite et beaucoup plus haut qu'une balle ! »

— Marthe Robin

« Je suis sidéré par ce que je viens d'entendre, c'est d'une violence inouïe. L'extension du pass sanitaire aux trains, aux restaurants, aux centres commerciaux, aux hôpitaux, etc., c'est unique au monde. Il a également clairement dit qu'il y aurait la vaccination obligatoire pour certaines professions. La prochaine étape, ce sera pour tout le monde. Il y aura également une troisième dose au mois de septembre. Ceux qui disent, aujourd'hui, qu'on n'est pas dans une dictature, ce sont des sots. On est dans une dictature très violente.

J'ai vu, ce soir, non pas un président de la République mais un psychopathe. Son regard, ses annonces… J'ai vu un fou furieux, inquiétant et dangereux. Nous basculons dans autre chose. Je connais des gens très en colère, sidérés et en pleurs. Je leur dis : « Ne sombrez pas. »

(...)

Les gens qui trouvent cela normal sont comme la grenouille dans l'eau que l'on fait bouillir : ils ont été ramollis. C'est anormal et cela doit appeler à la plus vive résistance, par le boycott. Je n'ai rien contre les restaurateurs, mais tant pis, on n'ira plus... »

— Florian Philippot, homme politique français, le 12 juillet 2021 ; bvoltaire.fr

[Florian Philippot] nous révèle que nous serions les seuls en UE (et dans le monde) à prendre cette folle initiative. On peut craindre qu'il ait raison... On sent qu'il y a la volonté de jouer au meilleur élève de l'Europe, de laver plus blanc que blanc, pour apparaitre comme champion mondiale de la crise, là où celle-ci semblait à juste titre, prendre fin... Et dire qu'en même temps, Boris Johnson a annoncé la « suppression de toutes les mesures sanitaires » pour le 19 [juillet] prochain ; il faudrait donc savoir où se situe le camp de la raison et du bien !

— Ibid. Commentaire d'un lecteur

Lire la suite