Une nation de lâches - partie 2


Commentaires (3)

Catégorie : Vie, Famille & Mariage

Auteur : Mark Mallett

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Le silence des Canadiens, associé aux faux espoirs qu'ils mettent dans les chefs du gouvernement, conduit notre société vers un État totalitaire. Voici pourquoi ce n'est pas une exagération…

S'agenouiller devant le politiquement correct

La semaine dernière, le Premier ministre Justin Trudeau a annoncé que le Canada consacrerait 1,4 milliard de dollars par an, à compter de 2023, pour appuyer des programmes de « santé » pour les femmes et les filles dans le monde. Dans le cadre de ce plan, une partie de cette somme, à savoir 700 millions de dollars, seront consacrés aux « droits en matière de santé sexuelle et reproductive ». Il s'agit bien entendu du langage utilisé par les Nations Unies pour parler du droit à « la contraception et à l'avortement ». Au même moment, le chef du parti conservateur, Andrew Scheer, a annoncé des coupes budgétaires dans les aides étrangères. Cependant, que dit-il par rapport à ces 700 millions de dollars affectés à la promotion de l'avortement à l'étranger ?

« [Les organisations financées par les dollars canadiens pour promouvoir l'avortement dans le monde entier] ne seront pas affectés par cette annonce. »

Global News, 1er octobre 2019

Ainsi, non seulement Scheer luttera activement pour mettre un terme au débat sur l'avortement au Parlement (voir partie 1), mais il continuera également à financer le meurtre d'enfants non encore nés à l'étranger. Et quelle est la réponse des Canadiens ? Silence. Silence de l'Église. Silence des politiciens. Silence des électeurs, à l'exception de quelques-uns. En effet, Trudeau finance l'avortement à l'étranger depuis quelques années maintenant en ne rencontrant pratiquement aucune résistance.

A présent, je comprends. Tout politicien qui n'ose pas s'incliner devant le dieu du statu quo, ou devant la déesse du politiquement correct se fera déchiqueter sur la place publique. Contrairement aux États-Unis où les politiciens prennent ouvertement position et discutent de questions morales, au Canada, il s'agit d'un péché politique mortel. La chaîne CBC financée par l'État les transformerait en viande hachée. Les médias sociaux et les éditoriaux de gauche deviendraient fous furieux. Les politiciens se verraient harcelés et les conservateurs accusés de maintenir un « agenda caché ». Nous voyons se jouer cela depuis des décennies maintenant, tel des rediffusions de mauvais feuilletons télévisés. Ainsi, comme me le disent certains de mes lecteurs, les conservateurs doivent se montrer rusés. Une fois qu'ils seront au pouvoir, l'avortement pourra être débattu et des progrès seront accomplis sur ce sujet tragique.

Faux. Voyez-vous, avant l'élection de Justin Trudeau, le Parti conservateur était au pouvoir et il avait en outre une majorité. Ayant avec eux des Députés pro-vie des quatre coins du pays, ils ont eu l'opportunité de soulever publiquement la question de cet holocauste. Et qu'a dit, à cette époque, le Premier ministre conservateur Stephen Harper ?

Tant que je suis Premier ministre, nous ne rouvrirons pas le débat sur l'avortement. Le gouvernement ne présentera aucun projet de loi de ce type et si de tels projets de loi sont présentés, nous les rejetteront. Ce n'est pas la priorité du peuple canadien ni de ce gouvernement. La priorité est l'économie. C'est ce sur quoi nous allons nous concentrer.

National Post, le 1er avril 2011

C'est l'argent qui compte, pas les bébés. Les billets de banque, pas le sang innocent versé. La position de Scheer est fondamentalement une copie conforme de celle de Harper. Ainsi, ce n'est pas moi qui suis naïf en ce qui concerne la politique de mon pays (comme le suggèrent certains lecteurs), mais ceux qui s'attendent à ce qu'un gouvernement "conservateur" défende, non seulement les enfants à naître, mais la liberté d'expression et de conscience ; qu'il soutienne ceux qui rejettent l'idéologie du genre, la redéfinition du mariage et le renversement de la loi naturelle qui, jusqu'à ce jour, pendant des milliers d'années, fut tenue pour acquise au sein de presque toutes les cultures.

Le monde, avec toutes ses nouvelles espérances et possibilités, est, en même temps, tourmenté par l'impression que le consensus moral est en train de se dissoudre, un consensus sans lequel les structures juridiques et politiques ne fonctionnent pas ; en conséquence, les forces mobilisées pour la défense de ces structures semblent être destinées à l'échec.

C'est seulement s'il existe un tel consensus sur l'essentiel, que les constitutions et le droit peuvent fonctionner. Ce consensus de fond provenant du patrimoine chrétien est en péril... En réalité, c'est un aveuglement de la raison pour ce qui est essentiel. Combattre cet aveuglement de la raison et lui conserver la capacité de voir l'essentiel, de voir Dieu et l'homme, ce qui est bon, et ce qui est vrai, est l'intérêt commun qui doit unir tous les hommes de bonne volonté. L'avenir du monde est en jeu.

— PAPE BENOÎT XVI, Discours à la curie romaine, le 20 décembre 2010 ; Vatican.va

Où tout cela va-t-il très vite nous conduire ?

Nous constatons que l'avertissement de Benoît XVI a été ignoré alors que l'Occident poursuit sa descente dans le totalitarisme.

De fait, c'est ce qui se produit aussi dans le cadre politique proprement dit de l'Etat: le droit à la vie originel et inaliénable est discuté ou dénié en se fondant sur un vote parlementaire ou sur la volonté d'une partie — qui peut même être la majorité — de la population. C'est le résultat néfaste d'un relativisme qui règne sans rencontrer d'opposition: le « droit » cesse d'en être un parce qu'il n'est plus fermement fondé sur la dignité inviolable de la personne mais qu'on le fait dépendre de la volonté du plus fort. Ainsi la démocratie, en dépit de ses principes, s'achemine vers un totalitarisme caractérisé. L'Etat n'est plus la « maison commune » où tous peuvent vivre selon les principes de l'égalité fondamentale, mais il se transforme en Etat tyran qui prétend pouvoir disposer de la vie des plus faibles et des êtres sans défense, depuis l'enfant non encore né jusqu'au vieillard, au nom d'une utilité publique qui n'est rien d'autre, en réalité, que l'intérêt de quelques-uns.

— PAPE JEAN-PAUL II, Evangelium Vitae, “L'Évangile de la vie”, n° 20

En fait, l'imposition par l'État de ses propres constructions morales, la vertu ostentatoire (virtue-signalling en anglais, ndtr) de ses partisans et la « rééducation » des jeunes à cette fin suggèrent, non pas le rejet de la religion traditionnelle, mais son remplacement :

... on fait d'une religion négative et abstraite une [norme] tyrannique [à laquelle] chacun doit se plier.

— Pape Benoît XVI, Lumière du monde, Le pape, l'Eglise et les signes des temps, Conversation avec Peter Seewald, page 78

À titre d'exemple (dans un geste qui en a surpris beaucoup pour son audace folle), le gouvernement libéral de Justin Trudeau rendra obligatoire, pour toute personne ou organisation souhaitant bénéficier de subventions pour l'embauche d'étudiants pour des emplois d'été, la signature d'une "attestation" selon laquelle ils ne s'opposent pas à l'avortement ni aux "droits" des transgenres. » [1]

Le libellé de la nouvelle attestation

« Les demandeurs d'EEC (Emplois d'été Canada) devront attester que l'emploi et le mandat principal de l'organisme sont conformes aux droits de la personne au Canada, y compris les valeurs sous-jacentes à la Charte canadienne des droits et libertés ainsi que d'autres droits. Ceux-ci incluent les droits en matière de procréation et le droit de ne pas faire l'objet de discrimination fondée sur le sexe, la religion, la race, l'origine nationale ou ethnique, la couleur, les déficiences mentales ou physiques, l'orientation sexuelle ou l'identité ou l'expression de genre. »

ici.radio-canada.ca

En conséquence, de nombreux programmes, y compris des festivals et des événements d'été laïcs, n'ont pas eu lieu parce que leurs organisateurs ont refusé d'aller contre leur conscience en signant le nouveau "credo" de Justin Trudeau (non, tout le monde n'est pas lâche ici). Et pourtant, Trudeau reste fort dans les sondages — preuve en est que la déesse du politiquement correct est plus séduisante qu'on ne le réalise. Au cas où certains penseraient qu'aussi grave que cela paraisse, ça n'ira pas beaucoup plus loin, je dois malheureusement les contredire.

Au Royaume-Uni, un médecin [chrétien] a été licencié parce qu'il pensait que « le sexe est déterminé biologiquement et génétiquement... Si quelqu'un possède des chromosomes mâles XY et des organes génitaux masculins, je ne peux pas en toute conscience les considérer comme des femmes. » [2] Bien entendu, sa position est celle de la science, de la biologie, de la psychologie et de la médecine depuis l'aube de la création — jusqu'à cette génération. Ce qui est le plus troublant, cependant — et annonciateur de ce qui va suivre ailleurs — est que les juges du tribunal du travail du Royaume-Uni ont jugé cette semaine que...

... son point de vue biblique était « incompatible avec la dignité humaine ». « Notre conviction est que la croyance en Genèse 1: 27 ["Dieu créa l'homme à son image, à l'image de Dieu il le créa, il les créa homme et femme."], l'absence de croyance dans le [transgendérisme] et l'objection de conscience [qu'ils opposent au transgendérisme] sont incompatibles avec la dignité humaine et en conflit avec les droits fondamentaux d'autrui, en particulier des transgenres. »

www.evangeliques.info, 3 octobre 2019

En substance, un tribunal a statué que la vision de l'Église catholique en matière de sexualité humaine était « incompatible avec la dignité humaine ». Ne prétendons plus que le totalitarisme arrive. Il est déjà là. L'idéologique du hasard (ce que Jean-Paul II appelait le « relativisme ») prônée par les hommes politiques et le pouvoir judiciaire menace les fondements mêmes de la liberté en Occident.

Au moment même où cette décision de justice suscitait des frissons dans toute la chrétienté, un autre reportage est paru aujourd'hui révélant l'ironie, voire la folie derrière tout cela.

Une femme nommée Charlie Evans s'est identifiée comme un homme pendant dix ans avant de décider de "redevenir" une femme. Cela lui a valu des persécutions de la part de la communauté LGTB (comme si être une femme était une mauvaise chose, j'imagine). En effet, il est politiquement correct non seulement de vous choisir un genre, voire même de vous en inventer un, tant que vous ne choisissez pas « votre sexe biologique ». Depuis que cette affaire a été rendue publique, Charlie Evans a été contactée par « des centaines » de personnes qui, après avoir subi une opération chirurgicale de réassignation sexuelle, aujourd'hui le regrettent. [3] Voici l'ironie : il est devenu presque illégal pour elle ou pour les multitudes qui vivent la même souffrance de chercher de l'aide et des conseils. En effet, le gouvernement libéral au Canada a promis que, s'il était réélu, il amenderait « le Code criminel pour interdire les thérapies de conversion [ou thérapies de réorientation sexuelle] qui ciblent les personnes LGBTQ ». [4] Trudeau est effectivement prêt à qualifier de crime le fait de conseiller toute personne cherchant à être elle-même. Pourquoi cette menace à la liberté ne rencontre-t-elle pas la moindre opposition ferme, en particulier de la part de l'Église ?

Pour le dire autrement, si les Canadiens continuent à laisser cette expérimentation sociale radicale se poursuivre sans que personne ne s'y oppose, ils devraient commencer à s'habituer à l'idée que leurs paroisses perdent le statut d'organisme de bienfaisance, voire ferment leurs portent, et que leurs voisins se voient imposer une amende ou emprisonné pour avoir échoué au test des "valeurs libérales". Je peux presque imaginer les conversations qui auront lieu derrière les barreaux, peut-être dans un avenir pas si lointain...

« Alors, pourquoi es-tu en prison ? »

« Meurtre. Toi ? »

« Pour avoir utilisé le mauvais pronom personnel. »

« Vraiment ? Et on ne t'a pas mis en isolement cellulaire ? Oh mec, tu pourrais provoquer le soulèvement de toute la prison. »

« Je sais, je sais. »

« Surveille ton langage ici, mon gars, si tu veux vivre. »

« Compris. Merci mec... Euh... c'est bien "mec", non ? »

« Comme je t'ai dit, surveille ton langage. »

Veillez à ne pas suivre la majorité et la masse du troupeau,
tant d'entre eux se sont égarés.
Ne vous laissez pas tromper ; il n'y a que deux chemins :
celui qui mène à la vie et qui est étroit ;
l'autre qui mène à la mort et qui est large.
Il n'y a pas de chemin intermédiaire.

— [Parole attribuée à] Saint Louis-Marie Grignion de Montfort (sources en français requises)

Mark Mallett
Canadian Cowards – Part II


[1] ici.radio-canada.ca cqv.qc.ca ; lactualite.com
[2] evangeliques.info, 3 octobre 2019
[3] cf. nouvelles-du-monde.com, 5 octobre 2019
[4] ici.radio-canada.ca, 9 juillet 2019

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Commentaire laissé par Simon le

Bonjour Ginette, vous ne faites que dire ce que Mark explique dans son article, je ne comprends donc pas trop ce qui vous déçoit dans ce qu'il dit étant donné que votre réflexion va peu ou prou dans le même sens que la sienne ?

"c'est vrai que nous sommes tous des lâches"

"Même étant personnellement pro-vie, Scheer parle de ne pas ouvrir le débat sur l'avortement"

"on doit absolument se débarrasser de Trudeau !"

"L'Église se tait face à l'avortement, ce sujet est tabou" (et ne devrait pas l'être !!)

"Si les gens de l'Église vivaient vraiment l'Évangile de Jésus, si ils cessaient d'être politiquement corrects, et affirmaient leur foi en Dieu, le monde serait différent !"

Quant à penser que Scheer agit par ruse et fera ensuite tout pour lutter contre l'avortement s'il est élu, Mark y a également répondu en citant un précédent (avec Stephen Harper) ...

Quant à ce que vous dites par rapport aux opinions politiques du Saint Père, insistons bien sur le mot "opinions" qui en tant que telles sont forcément subjectives et n'engagent pas l'Eglise qui n'est compétente qu'en matière de foi et de morale.

L'erreur consiste à penser que le Pape doit être infaillible y compris dans ses opinions politiques et scientifiques, ce qui évidemment n'est pas le cas !

Si nous sommes dans la confusion, rouvrons notre catéchisme et relisons les encycliques de nos derniers Papes.

Simon

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Commentaire laissé par Ginette Major le

Je considère que ces commentaires sont décevants... Oui, c'est vrai que nous sommes tous des lâches... Même étant personnellement pro-vie, Sheer parle de ne pas ouvrir le débat sur l'avortement... Si il se prononce officiellement contre l'avortement, il ne sera jamais élu... Et on doit absolument se débarrasser de Trudeau ! L'Église se tait face à l'avortement, ce sujet est tabou... Le gouvernement et le candidat parfait n'existe pas !... Si les gens de l'Église vivaient vraiment l'Évangile de Jésus, si ils cessaient d'être politiquement corrects, et affirmaient leur foi en Dieu, le monde serait différent !
Les opinions politiques du Saint Père sont erronées... Ses conseillers politiques font partie des Illuminatis... Comment voulez-vous que les gens soient éclairés quand notre Église est dans les ténèbres. Habituellement j'apprécie vos articles, mais celui-ci me déçoit.
Ginette Major

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Commentaire laissé par Simon le

Que chaque responsable politique se demande lors d'un sérieux examen de conscience s'il est davantage au service de l'homme et du bien commun, ou au service de l'argent et du pouvoir. Au service de Dieu ou de Mammon.

Car qu'ils comprennent bien une chose : qu'ils croient ou non en Dieu, à la fin de leur vie ici-bas, ce n'est pas par des banques qu'ils seront jugés mais par le Créateur de l'homme ; c'est à Lui et Lui seul qu'ils auront à rendre compte de ce qu'ils auront accompli au cours de leur mandat, du sang innocent versé, et du dieu (ou Dieu) qu'ils auront servi.

Assurément, le jugement sera bien plus rigoureux sur ceux qui auront exercé le pouvoir.

Votre vie éternelle est en jeu !

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