Qu'est-ce que la vérité ?


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Catégorie : Réflexions et méditations diverses

Auteur : Mark Mallett

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« Qu'est-ce que la vérité ? » Telle fut la question rhétorique de Ponce Pilate en réponse aux paroles de Jésus :

Moi, je suis né, je suis venu dans le monde pour ceci : rendre témoignage à la vérité. Quiconque appartient à la vérité écoute ma voix.

Jean 18: 37

Illustration : Le Christ devant Ponce Pilate, par Henry Coller

Ceux d'entre vous qui êtes habitués à mes articles savent qu'ils oscillent à la fois entre encouragement et "avertissement" ; espérance et réalité ; la nécessité de garder les deux pieds sur terre tout en restant vigilants, face à cette puissante tempête qui tourbillonne autour de nous. « Restez sobres » écrivaient Pierre et Paul. « Veillez et priez » nous dit le Seigneur. Non pas dans un esprit morose, ni dans un esprit de peur, mais plutôt dans une joyeuse anticipation de tout ce que Dieu peut et veut accomplir, aussi sombre que soit cette nuit dans laquelle s'engouffre notre monde.

La question de Pilate est le point de jonction, de transition vers l'ultime Passion du Christ. Jusque-là, Pilate avait résisté, refusant de livrer Jésus à la mort. Mais après que Jésus se soit identifié comme étant la source de la vérité, Pilate céda sous la pression populaire, céda au relativisme, et décida de mettre le sort de la Vérité entre les mains du peuple. Oui, Pilate se lava les mains de la Vérité elle-même.

Si le corps du Christ doit suivre la Tête dans sa Passion — ce que le Catéchisme appelle « l'épreuve finale qui ébranlera la foi de nombreux croyants » [1] —, alors, je crois que nous verrons nous aussi ce temps où nos persécuteurs rejetteront la loi morale naturelle et diront : « Qu'est-ce que la vérité ? » ; un moment où le monde se lavera les mains du « sacrement du salut » [2], c'est-à-dire de l'Église [et réclamera sa mise à mort].

Dites-moi, frères et soeurs, cela n'a-t-il pas déjà commencé ?

La Vérité

Les quatre cents dernières années ont marqué le développement des structures philosophiques humanistes et des idéologies sataniques qui ont jeté les bases d'un nouvel ordre mondial sans Dieu. [3] Si l'Église a posé les fondements de la vérité, l'objectif du dragon a été de jeter les bases de « l'anti-vérité ». C'est précisément le danger signalé par les papes au cours du siècle dernier (lire Why Aren't the Popes Shouting ?). Ils nous ont mis en garde contre le fait qu'une société humaine qui n'est pas fermement enracinée dans la vérité risque de devenir inhumaine :

... la fermeture idéologique à l'égard de Dieu et l'athéisme de l'indifférence, qui oublient le Créateur et risquent d'oublier aussi les valeurs humaines, se présentent aujourd'hui parmi les plus grands obstacles au développement. L'humanisme qui exclut Dieu est un humanisme inhumain.

—PAPE BENOÎT XVI, Encyclique Caritas in Veritate, n° 78

Cet inhumanisme se révèle aujourd'hui à travers une "culture de mort" qui ne cesse d'élargir sa mâchoire non seulement pour dévorer la vie, mais la liberté elle-même.

Cette lutte est en corrélation avec le combat apocalyptique décrit dans (Ap 11: 19-12: 1-6). Les luttes de la mort contre la vie : une « culture de mort » cherche à s'imposer à notre désir de vivre et de vivre pleinement... De vastes secteurs de la société ne sont plus capables de discerner ce qui est bien de ce qui est mal, et sont à la merci de ceux qui ont le pouvoir de "créer" l'opinion et de l'imposer aux autres...

—PAPE JEAN-PAUL II, Homélie au Parc d'État de Cherry Creek, Denver, Colorado, 15 août 1993 ; vatican.va

C'est la conséquence, bien sûr, du problème qui tourmentait Pilate lui-même : l'aveuglement spirituel.

Le péché du siècle est la perte du sens du péché.

—PAPE PIE XII, Allocution radiophonique à l'occasion de la clôture du Congrès catéchétique national des États-Unis à Boston ; 26 octobre 1946 : AAS Discorsi e Radiomessaggi, VIII (1946), 288 ; Vatican.va ; La perte du sens du péché résulte de la négation de Dieu

La vraie tragédie aujourd'hui est que le renoncement au sens de ce qui est "bien" ou "mal", tout en donnant un faux sentiment de "liberté" aux individus — celui de "faire tout ce qu'ils veulent, tant que cela leur paraît subjectivement bon" — aboutit en vérité à une forme intérieure, voire extérieure, d'esclavage.

Amen, amen, je vous le dis : qui commet le péché est esclave du péché.

Jean 8: 34

(...)

Il y a aussi quelque chose de sinistre qui découle du fait que la liberté et la tolérance sont très souvent séparées de la vérité. Cela est alimenté par la notion, largement diffusée aujourd'hui, selon laquelle il n'existe aucune vérité absolue qui puisse guider nos vies. Le relativisme, en donnant une valeur indistincte à presque toute chose, a fait de l'« expérience » un objectif absolu. Pourtant, les expériences, détachées de toute considération de ce qui est bon ou vrai, peuvent conduire non pas à une authentique liberté, mais au contraire, à une confusion morale ou intellectuelle, à un affaiblissement des principes, à la perte de l'estime de soi, et même au désespoir.

—PAPE BENOÎT XVI, discours d'ouverture des Journées mondiales de la jeunesse, 17 juillet 2008, Sydney, Australie ; Vatican.va ; traduction libre depuis l'anglais.

Néanmoins, les architectes de cette culture de mort et leurs collaborateurs tentent activement de persécuter toute personne ou toute institution défendant des absolus moraux. Ainsi, une « dictature du relativisme », comme la qualifiait Benoît XVI, se matérialise en temps réel devant nos yeux. [4]

Atteindre la masse critique

Pourtant, il y a une réalité de plus en plus palpable aujourd'hui, bien que vraisemblablement imperceptible pour de nombreuses personnes ; certains refusent de la voir, tandis que d'autres la nient tout simplement : l'Église entre dans une phase universelle de persécution. Celle-ci est provoquée en partie par un déluge de faux prophètes, agissant tant de l'intérieur que de l'extérieur de l'Église, et semant le doute, non seulement vis-à-vis des enseignements de la foi catholique, mais de l'existence même de Dieu (et de l'Enfer ou de Satan, ndt).

Dans son livre, The Godless Delusion - A Catholic Challenge to Modern Atheism, l'apologiste catholique Patrick Madrid et son co-auteur Kenneth Hensley soulignent le véritable danger auquel notre génération est confrontée aujourd'hui alors qu'elle emprunte un chemin coupé de la lumière de la vérité :

... l'Occident dévale avec constance et depuis un certain temps maintenant l'escarpement de la Culture du doute qui le mène vers le précipice de l'athéisme, au-delà duquel ne reste plus que l'abîme de l'impiété et toutes les horreurs qu'il renferme. Il suffit de penser à ces athées modernes, auteurs d'assassinats de masse, tels que Staline, Mao, Planned Parenthood [5] et Pol Pot (et certains autres fortement influencés par l'athéisme, tels que Hitler). Pire encore, il y a de moins en moins de "casses-vitesses" dans notre culture qui soient suffisamment solides pour ralentir cette descente dans les ténèbres.

—Patrick Madrid et Kenneth Hensle, The Godless Delusion - A Catholic Challenge to Modern Atheism, p. 14

Depuis la publication de cet ouvrage en 2010, la majorité des pays à travers le monde ont poursuivi leurs efforts de "légalisation" à tout-va, depuis le "mariage" homosexuel jusqu'à l'euthanasie, en passant par tout ce que les idéologues du genre cherchent à nous imposer parmi les tendances du moment.

Le cardinal Ratzinger (Benoît XVI) nous a sans doute laissé entrevoir ce que pourrait être le tout dernier "casse-vitesse" avant l'acceptation généralisée — voire l'instauration par la force — d'une culture athée dont Dieu serait définitivement exclu :

Abraham, le père de la foi, est par sa foi le rocher qui retient le chaos, l'assaut du flot destructeur primordial, et également le soutien de la création. Simon, le premier à confesser Jésus comme étant le Christ ... devient maintenant en vertu de sa foi abrahamique, renouvelée dans le Christ, le rocher qui tient ferme face à la marée d'impureté et d'incrédulité et son anéantissement de l'homme.

—Cardinal Joseph Ratzinger, (PAPE BENOÎT XVI), Called to Communion, Understanding the Church Today, Adrian Walker, Tr., p. 55-56

Ce n'est qu'après que Jésus, le Bon Berger, ait été frappé, que les brebis furent dispersées (cf. Mt 26: 31) et que la Passion de notre Seigneur commença. C'est Jésus qui, d'un mot, dit à Judas de faire ce qu'il avait à faire, avec pour conséquence l'arrestation du Seigneur. [6] De la même façon, le Saint-Père (François ou son successeur, ndt) va-t-il tracer une dernière ligne dans le sable (une ligne de démarcation claire et sans ambiguïté entre l'Évangile et l'anti-Évangile, entre l'Église et l'anti-Église) qui finira par aboutir à la "lapidation" du berger de l'Eglise universelle, et la persécution finale des fidèles ?

En 1909, en pleine audience avec des membres de l'ordre des franciscains, le Pape Pie X (1903-1914) sembla tomber dans un sommeil mystérieux et, une fois revenu à lui, prophétisa ceci :

Ce que je viens de voir est terrifiant ! Sera-ce moi ou l'un de mes successeurs ? Ce qui est certain, c'est que le Pape quittera Rome et, en quittant le Vatican, il devra enjamber les cadavres de ses prêtres !

Peu de temps avant sa mort, il aurait eu une autre vision :

J'ai vu l'un de mes successeurs, portant le même nom (Giuseppe Melchiorre Sarto — à savoir Joseph, ndt), qui devait fuir en passant par-dessus le corps de ses frères. Il aura à se réfugier dans un lieu secret ; mais après un bref répit, il mourra d'une mort cruelle. Le respect envers Dieu a disparu du coeur des hommes. Ils souhaitent effacer jusqu'au souvenir de Dieu. Cette perversité n'est rien de moins que le début des derniers jours du monde.

—Cf. ewtn.com

Vers le totalitarisme

Dans une conférence du Père Joseph Esper, ce dernier décrit les étapes de la persécution :

Les experts s'accordent pour identifier cinq phases d'une persécution à venir :

  1. Le groupe ciblé est stigmatisé ; sa réputation est attaquée, éventuellement par la dérision et par le rejet de ses valeurs.
  2. Ensuite, le groupe est marginalisé, ou mis au ban de la société, avec des efforts délibérés pour limiter et annuler son influence.
  3. La troisième phase consiste à diffamer le groupe, à l'attaquer violemment et à le blâmer pour de nombreux problèmes de société.
  4. Ensuite, le groupe est criminalisé, avec des restrictions croissantes imposées à ses activités et même, pour terminer, à son existence.
  5. La dernière phase est celle de la persécution ouverte.

De nombreux commentateurs pensent que [l'Occident] en est aujourd'hui à la troisième phase et commence à basculer vers la quatrième.

stedwardonthelake.com

Lors de la première publication de cet article en 2010, une persécution ouverte de l'Église semblait isolée à quelques points chauds du monde, comme la Chine et la Corée du Nord. Mais aujourd'hui, des chrétiens sont chassés violemment hors de vastes régions du Moyen-Orient ; la liberté d'expression est en train de s'évaporer en Occident et dans les médias sociaux. Suivra ensuite la liberté de religion. En Amérique, nombreux sont ceux qui ont cru que le Président Donald Trump rendrait sa grandeur à l'Amérique. Cependant, sous son mandat présidentiel (et par le biais de plusieurs mouvements populistes à travers la planète) est fomenté, voire scellé, une grande division entre les nations, peuples et familles. En fait, la même chose est à peu près en train de se produire au sein de l'Église sous le pontificat de François. C'est-à-dire que Trump et ses collaborateurs préparent peut-être involontairement le terreau d'une révolution mondiale telle que le monde n'a jamais connu. [Il ne suffirait plus que d'une] crise majeure pour déstabiliser un monde qui déjà chancelle tel un château de cartes (lire The Seven Seals of Revolution).

Il est intéressant de noter qu'après que Ponce Pilate ait posé cette question tristement célèbre : « Qu'est-ce que la vérité ? », le peuple a choisi de rejeter la vérité qui les aurait rendu libres, et de libérer un révolutionnaire :

Ils répliquèrent en criant : « Pas lui ! Mais Barabbas ! » Or ce Barabbas était un [révolutionnaire].

Jean 18: 40

Les avertissements

Les mises en garde des derniers papes et les appels de la Sainte Vierge à travers ses apparitions ne nécessitent que peu d'interprétation. À moins que nous, les créatures, nous tournions vers Jésus-Christ, Auteur de la création et Rédempteur de l'humanité, venu « rendre témoignage à la vérité », nous risquons de tomber dans une révolution athée qui provoquera non seulement la Passion de l'Église, mais donnera également pouvoir à une "force mondiale" athée de déclencher une destruction d'une ampleur inconcevable. Tel est l'incroyable pouvoir de notre "libre arbitre", apporter la paix ou la mort.

... sans l'orientation de l'amour dans la vérité, cet élan planétaire risque de provoquer des dommages inconnus jusqu'alors ainsi que de nouvelles fractures au sein de la famille humaine... l'humanité court de nouveaux périls d'asservissement et de manipulation...

—PAPE BENOÎT XVI, Encyclique Caritas in Veritate, n° 33, 26

Si tout cela vous semble difficilement croyable, voire même exagéré, il suffit de jeter un oeil aux informations et de voir comment le monde est en train de se désagréger d'une façon particulièrement dramatique. Non, je n'ignore pas les bonnes et souvent belles choses qui se passent dans le monde. Des signes d'espoir, tels des bourgeons de printemps, apparaissent tout autour de nous. Mais il nous faut aussi reconnaître notre insensibilité face à l'ampleur du mal qui déchire l'humanité. Terrorisme, massacres, fusillades dans les écoles, haine, actes barbares... nous finissons par nous y habituer. En réalité, non seulement les nations commencent à trembler, mais aussi l'Église elle-même. Ce qui me réconforte est que Notre Dame nous prépare depuis si longtemps pour cette époque, sans oublier Notre-Seigneur lui-même :

Je vous parle ainsi, pour que vous ne soyez pas scandalisés... Quand l'heure sera venue, vous vous souviendrez que je vous l'avais dit.

Jean 16: 1-4

Mise en perspective

La Passion est toujours suivie de la Résurrection. Si nous sommes nés pour ces temps, alors nous devons chacun prendre notre place dans l'histoire dans les limites des desseins de Dieu et y participer en ouvrant la voie au renouvellement futur de l'Église et à sa propre résurrection. Dans l'attente de cette heure, je considère chaque nouveau jour comme une bénédiction. Le temps que je passe sous les rayons du soleil avec mon épouse, mes enfants et mes petits-enfants et avec vous, mes lecteurs, n'est pas un temps de morosité, mais d'action de grâces. Le Christ est ressuscité, alléluia ! Il est vraiment ressuscité!

Ainsi, aimons et avertissons, exhortons et encourageons, corrigeons et bâtissons jusqu'à ce que, peut-être, comme le Christ, la seule réponse qu'il nous restera à donner soit le silence.

Dans l'un de mes précédents articles j'écrivais : Il est curieux de constater comment ceux qui accusent les chrétiens de haine et d'intolérance sont souvent les plus virulents dans leur ton et leur intention. C'est la plus évidente —et souvent la plus négligée des hypocrisies de notre siècle.

Jésus a prophétisé, au tout début de son ministère, sur ces jours où nous sommes :

« Et le Jugement, le voici : la lumière est venue dans le monde, et les hommes ont préféré les ténèbres à la lumière, parce que leurs oeuvres étaient mauvaises. Celui qui fait le mal déteste la lumière : il ne vient pas à la lumière, de peur que ses oeuvres ne soient dénoncées. »

Jean 3: 19-20

The Silent Answer

Nous devons être prêts à subir de grandes épreuves dans un avenir pas trop éloigné ; des épreuves qui nécessiteront que nous soyons prêts à abandonner jusqu'à nos vies, dans un don total de nous-mêmes au Christ et pour le Christ. Par vos prières et les miennes, il est possible d'atténuer cette tribulation, mais il n'est plus possible de l'éviter, c'est seulement ainsi que l'Église pourra être efficacement renouvelée. Combien de fois, en effet, le renouveau de l'Église ne s'est-il pas fait dans le sang ? Cette fois encore, il n'en sera pas autrement. Nous devons être forts, nous devons nous préparer, nous devons nous confier au Christ et à Sa Mère et nous devons être attentifs, très attentifs, à la prière du Rosaire.

—PAPE JEAN-PAUL II, entretien avec des catholiques à Fulda, Allemagne, novembre 1980 ; www.ewtn.com

Pourquoi dormez-vous ? Relevez-vous et priez, pour ne pas entrer en tentation.

Luc 22: 46

Les plus remarquables des prophéties portant sur les "derniers temps" semblent avoir un but commun : annoncer de grandes calamités qui menacent l'humanité, le triomphe de l'Église, et la restauration du monde.

—Encyclopédie catholique , Prophecy, newadvent.org

Mark Mallett
« What is Truth ? »


[1] CEC 675
[2] CEC 776, 780
[3] cf. Living the Book of Revelation
[4] cf. Fake News, Real Revolution
[5] L'un des principaux regroupements de planification familiale aux États-Unis. Elle milite en faveur de l'éducation sexuelle, l'accès aux soins de santé et la santé reproductive. Elle est également l'une des principales associations pro-choix aux États-Unis. Wikipedia
[6] cf. La secousse de l'Eglise

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Commentaire laissé par Peyo brebis le

Seul un créateur connaît la vérité de sa création.
Dieu est le Créateur de l'Univers, de la vie et de l'homme.
Lui seul connaît l'Univers, la vie et l'homme en Vérité.
Il connaît et Il aime sa Création.
L'athéisme est l'orgueil humain poussé jusqu'à la folie.
C'est l'homme, simple créature, qui se veut égal à son Créateur, voire supérieur à son Créateur.
Dieu a créé l'ordre naturel du monde, cet ordre est bon.
L'athéisme veut remplacer cet ordre par un "nouvel ordre mondial", une création purement humaine.
Les promoteurs de cet athéisme veulent être les seuls maîtres de ce nouvel ordre mondial.
Il ne manque qu'une chose à cette analyse : désigner ceux qui sont les promoteurs de ce nouvel ordre mondial satanique.
Ils aiment agir dans l'ombre.
Pourquoi ne pas les mettre dans la lumière qu'ils redoutent ?

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Lorsque la loi naturelle et la responsabilité qu'elle implique sont niées, on ouvre de façon dramatique la voie au relativisme éthique sur le plan individuel et au totalitarisme de l'Etat sur le plan politique.

— PAPE BENOÎT XVI, Audience générale, 16 juin 2010, Vatican.va

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