Pour bien se préparer à Pâques, Divine Miséricorde et Sacrement de pénitence


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Catégorie : Encouragements spirituels

Auteur : Père Vidal

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Voici en quels termes le Seigneur Jésus a demandé à Sainte Faustine l'institution de la Fête de la divine miséricorde :

"Ma fille, Je désire que la Sainte Miséricorde soit le recours et le refuge pour toutes les âmes et surtout pour les pauvres pécheurs. (...) Je déverse tout un océan de grâces sur les âmes... Toute âme qui s'approchera de la confession et de la sainte Communion recevra le pardon complet de ses fautes et leur rémission. En ce jour sont ouvertes toutes les sources divines par lesquelles s'écoule la grâce. Qu'aucune âme n'ait peur de s'approcher de Moi, même si ses péchés sont comme l'écarlate. Ma Miséricorde est si grande que, pendant toute l'éternité, aucun esprit ni humain, ni angélique, ne saurait approfondir tout ce qui est sorti des profondeurs de Ma Miséricorde. Chaque âme en relation avec Moi méditera Mon amour et Ma miséricorde durant toute l'éternité. La Fête de la Miséricorde est issue de Mes entrailles. Je désire qu'elle soit fêtée solennellement le premier dimanche après Pâques. Le genre humain ne trouvera pas la paix tant qu'il ne se tournera pas vers la source de Ma Miséricorde".

Par un décret du 29 juin 2002, Saint Jean-Paul II précisait les conditions d'obtention de cette grâce de l'indulgence :

« On accorde l'indulgence plénière aux conditions habituelles, confession sacramentelle, communion eucharistique et prière aux intentions du Souverain Pontife, au fidèle qui, le deuxième dimanche de Pâques, c'est-à-dire de la Divine miséricorde, dans chaque église ou chapelle, l'âme totalement détachée de tout péché, même véniel, participe à des pratiques de piété accomplies en l'honneur de la Divine Miséricorde, ou tout au moins qui récite, en présence du Très Saint Sacrement de l'Eucharistie, publiquement exposé ou conservé dans le tabernacle, le Notre Père et le Credo, en ajoutant une pieuse invocation au Seigneur Jésus miséricordieux (par exemple Jésus miséricordieux, j'ai confiance en vous) ».

Le coeur du bon larron

La Divine Miséricorde a trouvé la seule solution possible au problème : l'incarnation rédemptrice. Puisque le péché, commis par les hommes, doit être expié par les hommes, mais qu'aucun homme ne peut le faire parce que son amour n'est pas infini ; alors Dieu Lui-même, avec son amour infini vient à notre aide par amour et se faisant homme, expie pour nous, sur le bois de la Croix, les fautes de nos âmes.

Le pénitent qui sort du confessionnal se voit affranchi de sa faute, mais sa peine ne lui est remise qu'en proportion de son repentir. Et il lui faudra purger le reste, ici-bas par des oeuvres de pénitences volontaires, ou au purgatoire.

Note de Pierre et les Loups

Le purgatoire ne doit pas être vu comme un lieu de torture mais comme le Coeur Sacré de Jésus tout brûlant d'amour qui, embrassant l'âme, la purifie de ses souillures et de ses attachements terrestres (de tout ce qui n'a pas été bâtit sur Jésus Christ) et la rend capable de la Béatitude éternelle, car seul celui qui est « parfait comme votre Père céleste est parfait » peut voir Dieu face à face. (Mt 5: 48)

La pierre de fondation, personne ne peut en poser d'autre que celle qui s'y trouve : Jésus Christ. Que l'on construise sur la pierre de fondation avec de l'or, de l'argent, des pierres précieuses, ou avec du bois, du foin ou du chaume, l'ouvrage de chacun sera mis en pleine lumière. En effet, le jour du jugement le manifestera, car cette révélation se fera par le feu, et c'est le feu qui permettra d'apprécier la qualité de l'ouvrage de chacun. Si quelqu'un a construit un ouvrage qui résiste, il recevra un salaire ; si l'ouvrage est entièrement brûlé, il en subira le préjudice. (cf. Mt 7: 24-27 ; Mt 6: 19-21) Lui-même sera sauvé, mais comme au travers du feu.

1 Corinthiens 3: 11-15

L'évangile selon saint Luc est celui qui met le mieux en lumière la Divine Miséricorde. Cet évangéliste est le seul à nous rapporter comment Jésus a offert son pardon à l'un des deux larrons, compagnons de son supplice (Luc 23) :

« Lorsqu'ils furent arrivés au lieu appelé Calvaire, ils y crucifièrent Jésus, ainsi que les malfaiteurs, l'un à droite, l'autre à gauche. (...) Or, l'un des malfaiteurs, mis en croix l'injuriait, disant : “N'es-tu pas le Christ ? Sauve-toi toi-même et nous avec !” Mais l'autre le reprenait, disant : “Tu n'as pas même la crainte de Dieu, toi qui subis la même condamnation ! Pour nous, c'est justice, car nous recevons ce que méritent les choses que nous avons faites ; mais lui n'a rien fait de mal.” Et il dit : “Jésus, souviens-toi de moi, quand tu reviendras inaugurer ton règne”. Jésus lui répondit : “Je te le dis en vérité, aujourd'hui tu seras avec moi dans le paradis”. Il était alors environ la sixième heure (...) ».

A cette heure-là, à l'heure suprême, on ne peut mentir. Les masques tombent et chacun prend conscience des ombres de sa vie. C'est le cas de Dysmas, car tel est le prénom que la tradition assigne à l'interlocuteur du Seigneur crucifié. Dysmas, donc, a mal au coeur en entendant les sarcasmes dont on abreuve Jésus. Il semble pourtant qu'il ait lui-même, dans un premier temps, participé à ces insultes. C'est ainsi que saint Matthieu et saint Marc présentent les faits : « Même les brigands crucifiés avec lui l'outrageaient ». Mais, rentrant en lui-même, et impressionné par le silence plein de patience que lui oppose Jésus, il se ravise. Et si ces souffrances endurées par Jésus, au lieu d'être le signe de sa défaite, étaient celui de sa victoire ? Et s'Il était vraiment le Fils de Dieu, capable par conséquent de descendre de la croix, mais s'en abstenant volontairement pour nous sauver de la mort et du péché ? Alors la noblesse et l'héroïsme du Coeur de Jésus éclairent, par contraste, les ténèbres du sien. Et son coeur est brisé de regret. Et il exprime ce regret en prenant la défense de Jésus auprès de celui qui est le plus susceptible d'y être sensible, le deuxième larron : « Tu n'as pas même la crainte de Dieu, toi qui subis la même condamnation ! »

Entendez-vous combien ces paroles sonnent à l'unisson de l'Acte de Contrition ? « Mon Dieu, j'ai un très grand regret de Vous avoir offensé, parce que Vous êtes infiniment bon et que le péché Vous déplaît ».
De fait, la contrition, le regret des péchés, est le premier élément que le pénitent doit apporter avec lui lorsqu'il demande le sacrement de réconciliation.

Le Catéchisme de l'église Catholique le dit (1451 à 1453) :

« Parmi les actes du pénitent, la contrition vient en premier lieu. Elle est une douleur de l'âme et une détestation du péché commis, avec la résolution de ne plus pécher à l'avenir... Quand elle provient de l'amour de Dieu aimé plus que tout, la contrition est appelée "parfaite"... La contrition dite "imparfaite" (ou "attrition") est, elle aussi, un don de Dieu, une impulsion de l'Esprit Saint. Elle naît de la considération de la laideur du péché ou de la crainte de la damnation éternelle et des autres peines dont est menacé le pécheur ».

Supposons un pénitent qui se présente à son confesseur avec une contrition motivée par la crainte. Au moment où il reçoit l'absolution, il fait l'expérience de la miséricorde de Dieu. Face à cette manifestation de l'amour divin, et parce que l'amour appelle l'amour, le pénitent passe à une contrition motivée par la charité et il reçoit le pardon de ses péchés. Et si cette contrition, en plus de son changement qualitatif, atteint une certaine quantité, une certaine intensité de douleur, alors la peine temporelle est aussi épongée. Sinon, la Divine Miséricorde, qui décidément ne se lasse jamais et en rajoute toujours, a encore inventé un moyen supplémentaire de nous exempter des peines de la terre ou de celles du purgatoire : l'indulgence plénière. Avec, en plus, la possibilité de la gagner pour autrui, de telle sorte que la charité et la patience des uns puisse venir au secours de l'endurcissement des autres.

Cet itinéraire spirituel, le coeur du Bon Larron l'a parcouru. Mais la contrition n'en est que la première étape. Le numéro 1450 du Catéchisme en ajoute deux : « 

Le pécheur [doit avoir] : dans son coeur, la contrition ; dans sa bouche, la confession ; dans son comportement, une totale humilité ou une fructueuse satisfaction ».

Après sa déclaration de repentir, Dysmas passe aux aveux : « Pour nous, c'est justice... ». Il n'entre pas beaucoup dans le détail et l'on réclame d'ordinaire plus de précision au pénitent. Mais Dysmas n'avait pas à s'étendre sur la nature de sa faute ; elle était étalée aux yeux de tous. Les Romains avaient en effet pour coutume de crucifier les malfaiteurs en les chargeant de l'objet de leur délit. Jésus ayant été condamné pour tentative de révolte politique, sa tête était surmontée d'un écriteau indiquant : « Celui-ci est le roi des Juifs ». La tradition dit qu'un des malfaiteurs porte au cou une bourse, et l'autre un vase en or, objets probables de leur larcin. Toujours est-il que, pour nous, l'aveu doit être plus détaillé. Aussi le numéro 1454 du Catéchisme nous prévient-il :

Il convient de préparer la réception de ce sacrement par un examen de conscience fait à la lumière de la Parole de Dieu.

Comment bien se préparer au sacrement

En général, deux méthodes sont proposées. La première, la plus complète, consiste à relire les dix commandements de Dieu, augmentés des cinq préceptes de l'église et des sept péchés capitaux. En se demandant, à chaque fois, ai-je enfreins ce commandement ou ce précepte ? Ai-je fait preuve de ce vice ? La seconde méthode offre l'alternative de grouper les péchés en fonction de la personne envers qui ils ont été commis : contre Dieu, contre le prochain, contre soi-même. J'invite chacun à user de ces méthodes, surtout s'il ne se confesse pas fréquemment. Pour ceux qui sont plus familiarisés avec le sacrement, l'examen peut être plus libre, parce que les fautes sont mieux connues et leur dépistage plus affiné.

Après le regret et l'aveu, reste la pénitence. Elle est imposée par le confesseur avant l'octroi du pardon. Elle consiste habituellement en une prière à réciter. C'est peu de chose, aussi la formule liturgique nous avertit-elle que nous avons quelque chose à y ajouter. « Que la Passion de Notre-Seigneur Jésus-Christ, l'intercession de la Bienheureuse Vierge Marie et de tous les Saints, tout ce que vous ferez de bien et supporterez de pénible, vous obtiennent la guérison de vos péchés, un accroissement de grâce et la récompense de la vie éternelle ».

Tout ce que vous ferez de bien et supporterez de pénible : voilà dessiné l'esprit de pénitence qui consiste, non pas tant à inventer des mortifications extraordinaires qu'à prendre avec joie et docilité celles que nous imposent notre devoir d'état et les circonstances de la vie quotidienne. C'est dans cet esprit de pénitence que Dysmas, acceptant son sort et la mort qui ne saurait tarder, se tourne avec confiance vers le Seigneur et lui dit : « Jésus, souviens-toi de moi, quand tu reviendras inaugurer ton règne ».

Fête de la Miséricorde Divine

Le Seigneur Jésus a voulu qu'elle soit, chaque année, préparée par une neuvaine commençant le Vendredi Saint.

"Je désire que, durant ces neuf jours, tu amènes les âmes à la source de ma miséricorde, afin qu'elles puisent force et fraîcheur, ainsi que toutes les grâces dont elles ont besoin dans les difficultés de la vie et particulièrement à l'heure de la mort. Chaque jour tu amèneras jusqu'à mon coeur un groupe d'âmes différent et tu les plongeras dans l'océan de ma miséricorde. Et moi je ferai entrer toutes ces âmes dans la demeure de mon Père". Ces groupes d'âmes sont, le premier jour, l'humanité entière, le second, les âmes sacerdotales et religieuses, puis les âmes pieuses et fidèles, les païens, les âmes des hérétiques et des apostats, les âmes douces et humbles, celles qui honorent et glorifient particulièrement la miséricorde, les âmes du purgatoire, et enfin les âmes froides. »

On voit tout de suite l'analogie, sans décalque cependant, avec les neuf intentions des grandes Oraisons du Vendredi Saint :

  1. pour la Sainte Église,
  2. pour le Souverain Pontife,
  3. pour tous les degrés du clergé et des fidèles,
  4. pour les pouvoirs publics,
  5. pour les catéchumènes,
  6. pour les besoins des fidèles,
  7. pour l'unité de l'Église,
  8. pour la conversion des Juifs,
  9. pour la conversion des infidèles.

Cette neuvaine consiste dans la récitation quotidienne du chapelet à la divine Miséricorde, lequel chapelet emprunte lui aussi à la liturgie du Vendredi Saint : l'invocation finale de chaque dizaine « Dieu Saint, Dieu Fort, Dieu éternel, prends pitié de nous et du monde entier » reprend mot pour mot le refrain des impropères :

"Hagios o Theos / Deus Sanctus / Hagios Ischyros / sanctus Fortis / Hagios Athanatos, eleison hymas / Sanctus Immortalis, miserere nobis".

Ces impropères sont chantés alors que la Croix vient d'être dévoilée, révélant le cadavre crucifié.
Les reproches (improperies) que le seigneur y adresse à son peuple sont faits pour exciter la contrition :

« Mon Peuple, que t'ai-je fait, réponds-moi ? Je t'ai fait sortir de la terre d'Egypte et tu as préparé une Croix pour ton Sauveur ; je t'ai conduit pendant quarante ans dans le désert, je t'ai nourri de la manne et je t'ai fait entrer dans une terre regorgeant de biens, et tu as préparé une Croix à ton Sauveur ; que pouvais-je faire de plus pour toi que je n'ai pas fait ? Je t'ai planté comme une vigne choisie et plantureuse et tu es devenue pour moi très amère ; dans ma soif tu m'as abreuvé de vinaigre et tu as percé d'une lance le côté de ton Sauveur ; pour toi j'ai flagellé l'Egypte et ses premiers nés, et toi tu m'as livré à la flagellation. »

Regardons maintenant du côté des textes évangéliques lus le Vendredi Saint et le dimanche après Pâques. D'une part c'est le récit de la Passion, et d'autre part, celui de l'apparition du Ressuscité aux Apôtres le jour de Pâques et le dimanche suivant, ces deux récits étant empruntés à l'évangéliste saint Jean. Ces deux textes nous parlent de façon très significative de la miséricorde de Dieu. Sur la Croix, alors qu'il est la victime innocente de la violence, du mensonge, de la lâcheté et de la cupidité des hommes, Notre-Seigneur répond à toute cette sauvagerie par une parole d'une extrême douceur : « Voici ta mère ». L'image de la tendresse et de la miséricorde (Mater misericordiæ) opposée au péché et à l'ingratitude de l'humanité. Neuf jours plus tard, la liturgie dominicale nous fait méditer les paroles du Christ instituant le Sacrement de pénitence, instrument privilégié de sa miséricorde : « Recevez l'esprit Saint. Ceux à qui vous remettrez leurs péchés, ils leur seront remis ; ceux à qui vous les retiendrez, ils leur seront retenus ». Au tribunal de la pénitence on est certain d'être toujours acquitté à moins que l'on ne mette un obstacle au pardon divin. Cet obstacle peut être un refus de quitter une situation qui nous maintient dans le péché, un manque de contrition ou un aveu volontairement incomplet de nos fautes.

Si ces obstacles n'existent pas alors se réalise la belle description faite par Jésus à Sainte Faustine :

« Ma fille, quand tu t'approches de la Sainte Confession, de cette source de ma Miséricorde, le Sang et l'Eau qui sont sortis de mon Coeur se déversent sur ton âme et l'ennoblissent. Chaque fois que tu te confesses, plonge-toi tout entière dans ma Miséricorde avec grande confiance, pour que je puisse répandre en ton âme toutes les largesses de ma grâce ; quand tu vas te confesser, sache que c'est moi-même qui t'attends dans le confessionnal. Ici la misère de l'âme rencontre le Dieu de miséricorde. Dis aux âmes qu'à cette source de miséricorde elles ne puisent qu'avec le vase de la confiance. Lorsque leur confiance est grande, il n'y a pas de bornes à mes largesses. Les torrents de ma grâce inondent les âmes humbles. »

Confions la préparation de nos confessions à l'intercession de Notre Bienheureux Père Saint Benoît qui fait de cette franche ouverture d'âme le cinquième degré d'humilité : Ne rien cacher à son Abbé des pensées mauvaises qui se présentent à l'esprit, ni des fautes commises dans le secret. L'Écriture nous exhorte à pratiquer cette humble confession quand elle nous dit : « Expose devant Dieu ta conduite et espère en Lui, » ou encore : « Confessez-vous au Seigneur, car il est bon, et sa miséricorde est éternelle. »

Père Vidal, abbaye notre-Dame de Triors.

Prière à Saint Dismas, le bon Larron, avant de se confesser

Ô bienheureux Larron ! Tu reçus la grâce de partager les souffrances de mon Sauveur.
A côté de Jésus sur sa croix, tu étais là où j'aurai voulu être moi-même : le pécheur repentant et compatissant.
Ta tête penchée vers le divin Crucifié ; elle est aussi le penchant de la mienne.
La plupart des hommes ont aimé le Christ dans ses miracles et dans sa gloire.
Mais toi, tu l'as aimé dans son abandon, dans ses douleurs et dans son agonie.
Je t'en supplie, saint Dismas, intercède auprès de Jésus mon Sauveur,
de faire tomber sur moi ce même regard de miséricorde, qui fera plonger mes yeux dans les siens,
pour en recevoir le pardon et la sainteté, dans ce sacrement de l'amour et de la joie.
Ainsi, envahi par le feu de l'Amour Divin consumant et transformant, je pourrai entendre à mon tour la promesse que Jésus t'a faite :
« Aujourd'hui même tu seras avec moi dans le Paradis. »
Obtiens-moi, qui suis un larron aussi, qu'à l'heure de ma mort je reçoive de la pitié,
de la tendresse et que le dernier battement de mon pauvre coeur soit, comme le tien,
en union d'amour avec celui du Christ Jésus mourant pour nous.
Amen.


Extrait d'une prière de la Fraternité du Bon Larron et d'une prière au Bon Larron.

Source : etoilenotredame.org

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