Le nouveau paganisme - partie 3


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Catégorie : Le nouveau paganisme

Auteur : Mark Mallett

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[Le feu, le vent, la brise légère, la ronde des étoiles,
la violence des flots, les luminaires du ciel],
s'ils les ont pris pour des dieux, sous le charme de leur beauté,
ils doivent savoir combien le Maître de ces choses
leur est supérieur, car l'Auteur même de la beauté est leur créateur...
Plongés au milieu de ses œuvres,
ils poursuivent leur recherche et se laissent prendre aux apparences :
ce qui s'offre à leurs yeux est si beau !

Et pourtant eux non plus ne sont point pardonnables.
S'ils ont été capables d'acquérir assez de science
pour pouvoir scruter le monde,
comment n'en ont-ils pas plus tôt découvert le Maître !

(Sagesse 13: 1-9)

Première partie : « Le nouveau paganisme - partie 1 »

Remarques préalables de Pierre et les Loups :

Cet article contient de nombreuses informations qu'il est essentiel de connaître. Néanmoins, je vous encourage à le lire en plusieurs fois afin de ne pas saturer et de bien comprendre tous les enjeux qui y sont décrits.

Je vous invite également à lire ces autres articles en parallèle : Veiller et prier... pour le don de la Sagesse et Jésus est l'événement majeur.

En effet, il existe de nombreux sites sur Internet qui s'autoproclament « sites de réinformation ». Ils regorgent d'informations (certaines sûres, d'autres beaucoup moins) pour nous avertir des véritables intentions de nos élites et des dangers qui menacent le monde ; mais aucun n'invite ses lecteurs à la prière, à l'espérance et à se tourner vers Dieu pour traverser les temps difficiles qui sont devant nous. La connaissance ne sert à rien si l'on ne prie pas, si ce n'est à nous effrayer inutilement et nous pousser à rechercher des moyens humains d'y faire face.

Voici néanmoins deux citations de l'Écriture que je souhaite vous partager en préambule :

Mon peuple périt, faute de connaissance.

Osée 4: 6

Vous connaîtrez la vérité, et la vérité vous rendra libres.

Jean 8 : 32

Au début du Synode sur l'Amazonie qui s'est tenu récemment à Rome, une cérémonie dans les Jardins du Vatican en a surpris beaucoup dans le monde catholique. Ayant déjà couvert ce sujet plus en détail ici, je vais vous faire un bref résumé incluant quelques informations complémentaires particulièrement importantes.

Une couverture de cérémonie fut donc posée au sol et divers artéfacts amazoniens, des statues de femmes enceintes et nues, de la nourriture et d'autres objets y furent disposés. Une fois que le Pape François fut arrivé et eut pris place, un groupe hétérogène composé d'autochtones, d'un moine et d'autres organisateurs s'avancèrent dans le jardin. Catholic World Report décrit ce qui suivit :

Les participants chantèrent et se tinrent la main en dansant en cercle autour des images, dans une danse ressemblant au « pago a la tierra », une offrande traditionnelle à la Terre Mère commune chez les peuples indigènes de certaines régions d'Amérique du Sud.

The Catholic World Report, 4 octobre 2019

Ensuite, le groupe s'agenouilla et se prosterna tout autour du cercle. Plus tard, de grands bols contenant de la terre (provenant probablement d'Amazonie) furent déversés sur l'herbe. Une fois encore, une femme indigène leva les bras en l'air et se prosterna au sol, cette fois devant le tas de terre.


(Vous pouvez regarder la vidéo de l'événement ici.)

Une controverse éclata ensuite, en particulier au sujet de l'identité des statuettes féminines placées au centre du cercle qui semblèrent focaliser toute l'attention. Bien qu'on entende une femme dans la vidéo expliquer que la statuette est celle de « Notre-Dame de l'Amazonie », trois porte-parole du Vatican ont rapidement réfuté cette idée.

[Elle] représentait la vie, la fertilité, la terre "mère".

— Dr Paolo Ruffini, préfet du dicastère aux communications, vaticannews.va

Le Pape François lui-même fit référence par la suite aux statuettes comme étant celles de la « pachamama ».

Le fait que le Pape, les responsables du Vatican et les organisateurs du REPAM (Réseau Ecclésiastique Pan-Amazonien) aient tous identifié les statues comme des représentations de la « Terre Mère » ou « Pachamama » constitue, à notre avis, de solides motifs légitimant cette identification.

— Dom Cornélius, Abbaye de Sainte-Cyran, "The Pachamama Primer", 27 octobre 2019

Qui est la Pachamama ?

Pachamama [représente l'esprit de la] « Terre Mère » (pacha signifiant univers, monde, temps et espace ; mama signifiant maman). Comme expliqué dans la seconde partie, la Terre Mère fait son grand retour, y compris dans les milieux féministes où elle est devenue « une alternative à Dieu le Père, dont l'image est trop entachée d'une conception patriarcale de domination de l'homme sur la femme. » [1] La Bolivie, qui comprend le bassin amazonien, est profondément immergée dans de tels rituels païens adressés à la Pachamama (lire ici, ici et ici).

Pachamama est la déesse suprême honorée par les peuples indigènes des Andes, incluant le Pérou, l'Argentine et la Bolivie... Elle est en fait la déesse de tout ce qui existe depuis toute éternité.

— Lila, orderwhitemoon.org

La cérémonie du « pago a la tierra », qui sembla s'être tenue dans les Jardins du Vatican, est le rituel traditionnel de la Pachamama, qui signifie « paiement à la Terre ». Il est recommandé de l'accomplir dans un jardin ou dans la nature ; une « couverture de cérémonie » est utilisée à cet effet ; et les participants forment, dans le but de faire leur offrande, ce que l'on appelle dans les « traditions anciennes et contemporaines de la sagesse chamaniques et de la nature » un « cercle sacré », « cercle magique », « cercle de vie » ou « roue de médecine ». [2] Comme le rapporte le National Geographic, l'idée est que :

La Pachamama, ou Terre Mère... est apaisée à travers des rituels de paiements... Ces types d'offrandes — pour obtenir la santé et la sécurité — sont classés dans la catégorie de la magie blanche.

National Geographic, le 26 février 2018

Mais est-ce cela qu'accomplissaient ces catholiques à l'occasion de la cérémonie de plantation d'un arbre dans le Jardin du Vatican ? Voici la déclaration de [Ednamar de Oliveira Viana, une femme d'origine indigène ayant dirigé la cérémonie] :

Planter, c'est avoir de l'espérance. C'est croire en une vie qui s'épanouit et qui est féconde pour satisfaire la faim de la création de notre Mère la Terre. Cela nous ramène à notre origine en nous reconnectant à l'énergie divine et en nous enseignant le chemin du retour vers le Père Créateur.

Le Synode a pour vocation de planter cet arbre, de l'arroser et de le cultiver, de manière à ce que les peuples d'Amazonie soient entendus et respectés dans leurs coutumes et leurs traditions, en faisant l'expérience du mystère de la divinité présente dans le sol amazonien.

L'acte de planter dans le Jardin du Vatican est un symbole qui invite l'Église à s'engager davantage encore envers les peuples de la forêt et toute l'humanité. Mais il s'agit aussi de dénoncer ceux qui détruisent notre maison commune par cupidité, en recherchant leur propre profit.

— Déclaration de Ednamar de Oliveira Viana, 4 octobre 2019

Loin de dissiper les inquiétudes ressenties par de nombreuses personnes suite aux événements s'étant tenus dans les Jardins du Vatican devant un public international (ce qui a conduit quatre exorcistes à réclamer une journée de réparation), cette déclaration ne fit que renforcer ce que certains évêques d'Amérique du Sud qualifièrent clairement de syncrétisme : la fusion de croyances ou symboles religieux différents sans une authentique inculturation — dans ce cas-ci, un mélange de concepts païens, chrétiens et New Age.

... la raison de la critique est précisément liée à la nature primitive et l'apparence païenne de la cérémonie et à l'absence de symboles, de gestes et de prières explicitement catholiques lors des divers gestes, danses et prosternations de cet étonnant rituel.

— Cardinal Jorge Urosa Savino, archevêque émérite de Caracas, Venezuela ; 21 octobre 2019 ; lifesitenews.com

Le Pape François a déclaré qu'il n'y avait pas « d'intention idolâtre » dans le fait d'avoir exposé des « pachamamas » dans l'église de Santa Maria del Traspontina. [3] Mais depuis cet événement, les catholiques spéculent au sujet de ces actes de prosternation, dans les Jardins du Vatican, qui furent dirigés vers ce que Rome Report appelle « des répliques de la Terre Mère d'Amazonie ». En fait, alors que j'écrivais ce paragraphe, mon fils de quinze ans est entré dans mon bureau, a regardé les photos et m'a demandé : « Papa, est-elle en train d'adorer ce tas de terre ? »

Peut-être que la BBC avait déjà donné la réponse il y a douze ans :

Les croyances indigènes et chrétiennes ont fusionné ici. Dieu est adoré mais, mise au même niveau, la Pachamama ou Terre Mère l'est également.

— Documentaire sur l'Amazonie, 28 octobre 2007 ; news.bbc.co.uk

Tu n'auras pas d'autres dieux en face de moi. Tu ne feras aucune idole, aucune image de ce qui est là-haut dans les cieux, ou en bas sur la terre, ou dans les eaux par-dessous la terre. Tu ne te prosterneras pas devant ces dieux, pour leur rendre un culte. Car moi, le Seigneur ton Dieu, je suis un Dieu jaloux...

Ex 20: 3-5 (ajout de Pierre et les Loups)

Est-ce une coïncidence ?

Jusqu'à cet incident dans les Jardins du Vatican, la plupart des catholiques en Occident n'avaient jamais entendu le mot Pachamama. On ne peut pas en dire autant de l'ONU.

Le vaticaniste anglais Edward Pentin a partagé sur son blog un manuel pour enfants (ainsi qu'un manuel pour les enseignants, ndtr) édité en 2002 par le Programme des Nations unies pour l'environnement (PNUE) et intitulé Pachamama - Guide PédagogiquePachamama - Notre Terre, notre futur. Son objectif déclaré est de réfléchir sur « les raisons pour lesquelles l'environnement est en train de se dégrader à l'échelle planétaire et comment se porte notre Mère Nature aujourd'hui » [4], Cela paraît assez bénin — jusqu'à ce qu'on en arrive à la partie consacrée à la « croissance démographique, » dans laquelle les enfants apprennent que les populations croissent « plus lentement » lorsque chaque couple de parents « n'a qu'un seul enfant ». En effet, il suffit de poser la question à la Chine. Pentin continue :

... le lien avec la « Pachamama » et le PNUE nous montre que son apparition au Synode n'est pas le fruit du hasard et constitue, à sa manière, une indication supplémentaire quant à "l'inculturation" toujours croissante de l'ONU et à la présence du mouvement environnementaliste mondial au cœur même du Vatican.

edwardpentin.co.uk , 8 novembre 2019

Note de Pierre et les Loups :

Vous remarquerez qu'il n'y a aucun symbole chrétien sur la couverture de ce guide... mais qu'un croissant de lune et un minaret y sont représentés. Cela démontre l'essence anti-chrétienne du programme de l'ONU.

J'y reviendrai dans un instant.

Comme j'en parlais dans la seconde partie de cet article, la coalition entre l'écologie, la Terre Mère, les pratiques New Age et un mouvement politique mondial n'est pas fortuite.

Le Nouvel Âge partage avec un certain nombre de groupes influents au plan international l'objectif de supplanter ou de dépasser les religions particulières pour faire place à une religion universelle capable d'unifier l'humanité. Dans cette même perspective, il faut signaler l'effort très concerté, de la part de certaines institutions, pour formuler une éthique globale.

Jésus-Christ le porteur d'eau vive, n°2.5, Conseil pontifical de la culture et pour le dialogue interreligieux, 2003

En fin de compte, les Nations Unies et leurs organisations sœurs sont à l'avant-garde d'un programme utilisant la Terre Mère et l'environnement comme catalyseur en faveur de l'instauration d'une gouvernance mondiale, de connivence avec d'influents mondialistes et des banquiers internationaux.

La nouvelle religion : l'environnementalisme

Leur « éthique globale » est devenue la Charte de la Terre, adoptée par l'Organisation des Nations Unies pour l'éducation, la science et la culture (UNESCO). Elle fut pour la première fois proposée à l'ONU en 1991 par le dissident catholique Hans Küng, puis formulée par la suite par l'ancien président russe Mikhaïl Gorbatchev et par le gourou canadien de la Conférence des Nations unies sur l'environnement, Maurice Strong. Bien que la Charte se présente comme une sorte de "déclaration des droits" ou de credo de l'environnementalisme, ses fondateurs lui ont clairement rattaché une dimension religieuse. Maurice Strong et Mikhaïl Gorbatchev ont tous deux déclaré publiquement qu'ils espéraient que cela ferait office de « Dix commandements » pour guider les comportements humains. Ironiquement, la Charte de la Terre a parcouru le monde dans une « Arche de l'espoir » — similaire à l'Arche de l'Alliance dans laquelle furent conservées les tablettes de pierre sur lesquelles Moïse avait retranscrit les Dix Commandements originaux. Les panneaux de chaque côté de l'Arche de l'espoir sont recouverts d'œuvres artistiques représentant la Terre, le Feu, l'Eau, l'Air et l'Esprit (ah, voyez le passage de l'Écriture en exergue de cet article — Sagesse 13: 1-9 !).

Maurice Strong, connu comme le « Saint Paul » du mouvement environnementaliste mondial, possédait un ranch au Canada appelé le New Age Manitou Centre, dont la vocation était d'étudier « l'esprit humain, la conscience et la durabilité ». Jacqueline Kasun souligne dans son livre The War Against Population: The Economics and Ideology of World Population Control ("La guerre contre la population : la dimension économique et idéologique du contrôle de la population mondiale") que l'agenda de Maurice Strong incluait « l'avortement, l'ouverture à l'occulte, et l'adoration païenne de la nature. » [5]

Quant à Gorbatchev, il fonda la Green Cross International pour promouvoir les initiatives des Nations Unies et reste à ce jour un athée déclaré — du moins, en ce qui concerne le christianisme. Lors du Charlie Rose Talk Show de la chaîne télévisée américaine PBS, Gorbatchev déclara :

Nous faisons partie du Cosmos... Le Cosmos est mon Dieu. La Nature est mon Dieu... Je pense que le 21ème siècle sera le siècle de l'environnement, le siècle où chacun d'entre nous devra trouver une solution pour harmoniser les relations entre l'homme et le reste de la Nature... Nous faisons partie de la Nature...

— 23 octobre 1996, Canada Free Press

La « solution » est l'Agenda 2030 des Nations Unies.

Les paroles sont une chose...

L'Agenda 2030 comprend 17 « objectifs de développement durable » (ODD) définis par les Nations Unies et approuvés par les pays membres. Bien qu'en surface, ces objectifs soient peu susceptibles de rencontre la moindre objection, leur intention sous-jacente est obscure. Celle-ci devient évidente lorsque le rideau est levé et que l'on observe de plus près l'agenda des mondialistes, des banquiers internationaux et des philanthropes qui créent, financent et promeuvent ces objectifs. Des milliers d'articles ont été écrits pour avertir les gens quant au sens donné par les élites à l'expression « développement durable » que l'on entend désormais partout autour de nous. Aussi, pour me limiter au sujet de cet article, je vais me contenter de résumer ce qui peut être aisément vérifié par le biais de nombreuses sources crédibles.

Les objectifs de « développement durable » de l'ONU consistent à freiner la croissance démographique et à réduire l'humanité à une population « durable ». Cela comprend notamment la promotion de « l'égalité des genres » et de « l'inclusion » (telles que le féminisme et l'idéologie du genre), de « l'accès universel à la santé sexuelle et reproductive et aux droits en matière de procréation » (ce qui est le langage codé de l'ONU pour « droit à l'avortement et à la contraception ») et de « l'éducation » dans le domaine de la « santé sexuelle et reproductive » (l'Organisation mondiale de la santé des Nations unies a publié les « Standards pour l'éducation sexuelle en Europe », qui constituent un parfait exemple de leurs objectifs, tels que l'éducation des enfants dès l'âge de quatre ans au « plaisir et à la satisfaction liés au toucher de son propre corps, à la masturbation enfantine précoce, et au droit d'explorer les identités sexuelles. ») [6]

Revenons à l'affirmation d'Edward Pentin selon laquelle l'ONU et le mouvement environnementaliste ont pénétré « au cœur même du Vatican ». Cela peut sembler une hyperbole. Cependant, alors que se déroulait le Synode sur l'Amazonie, l'Académie pontificale des sciences du Vatican organisait un symposium (colloque) pour la branche jeunesse du Réseau de solutions pour le développement durable (SDSN) des Nations Unies. Ce réseau est dirigé par le mondialiste et pro-avortement Jeffrey Sachs et financé par « la Fondation Bill et Melinda Gates, une fondation active dans la promotion de l'avortement et de la théorie du genre. L'un des plus grands soutiens de Jeffrey Sachs est le bailleur de fonds [milliardaire] George Soros. » [7]

Le colloque, qui s'est tenue au Vatican pour la quatrième année consécutive, avait pour but de discuter de la promotion des objectifs de développement durable des Nations Unies (ODD), dont l'objectif n°3.7 et l'objectif n°5.6 qui incluent les « services de soins de santé sexuelle et procréative », lesquels sont un euphémisme utilisé par les Nations Unies pour faire référence à l'avortement et à la contraception.

lifesitenews.com, 8 novembre 2019 ; cf. Le Vatican organise une conférence de jeunes avec des activistes de l'ONU favorables à l'avortement (traduction Google)

L'écologie et le Nouvel Ordre Mondial

Mais les objectifs de l'ONU ne s'arrêtent pas là. L'Agenda 2030 absorbe les objectifs fixés par son prédécesseur, l'Agenda 21 (21 faisant référence au 21ème siècle), que Maurice Strong avait mis en avant de façon agressive lors du Sommet de la Terre de l'ONU à Rio de Janeiro, au Brésil, en 1992 (Strong devint par la suite l'assistant du Secrétaire général de l'ONU). [8] Encore une fois, certains ont essayé de rejeter les inquiétudes relatives à l'Agenda 21 (lire aussi) en les qualifiant de théories du complot. Le problème avec cette affirmation est que les déclarations insolentes des mondialistes qui soutiennent les objectifs de « développement durable » sont tout sauf de la théorie. Parmi les principes radicaux que l'on retrouve dans les menus détails de l'Agenda 21, mis en avant par Maurice Strong et signé par 178 pays membres, figurent l'abolition de la « souveraineté nationale » et la dissolution des droits de propriété.

Écouter : La fin de la propriété privée au nom de l'écologie :
« la position de l'Agenda 21 sur la propriété privée est comparable à celle de l'Union Soviétique, où la propriété privée
était remplacée par la propriété collective »

Action 21 : « Les terres... ne peuvent pas être traitées comme un actif ordinaire, contrôlé par des individus et soumis aux pressions et à l'inefficiences du marché. La propriété foncière privée est également le principal instrument d'accumulation et de concentration de la richesse et contribue donc à l'injustice sociale ; si elle n'est pas maîtrisée, elle pourrait devenir un obstacle majeur à la planification et à la mise en œuvre des programmes de développement. »

— « Alabama refuse le renoncement à sa souveraineté imposé par l'Agenda 21 des Nations Unies », 7 juin 2012 ; investors.com

Maurice Strong a également insisté sur le fait que « les modes de vie et les tendances de consommation actuels de la classe moyenne aisée... impliquant une consommation élevée de viande et de grandes quantités d'aliments surgelés et de "plats préparés", la possession de véhicules à moteur et de nombreux appareils électriques (*), l'utilisation de climatiseurs domestiques et professionnels... les habitations de banlieue... ne favorisent pas le développement durable ». [9] Quel type de propriété possédons-nous, de quelle façon cultivons-nous notre terrain, quel type d'énergie peut-il en être extrait, ou encore quel genre de maison veut-on construire, ... tout cela se trouve dans la ligne de mire de la gouvernance mondiale sous des prétexte tels que « agriculture durables » et « villes durables ». [10]

(*) D'où la multiplication dans nos villes des tout-sauf-écologiques trottinettes, vélos, scooters électriques, et même voitures partagés — la mise en commun et la propriété collective étant un principe proprement communiste. (note du traducteur)

Comme l'indiquait le rapport d'évaluation mondiale sur la biodiversité rédigé par le Programme des Nations Unies pour l'environnement (PNUE) :

« ... les causes profondes de la perte de biodiversité trouvent leurs racines dans la manière dont les ressources sont utilisées dans nos sociétés. Cette vision du monde est caractéristique des sociétés à grande échelle, fortement tributaires de ressources importées de pays très éloignés. C'est une vision du monde qui se caractérise par la négation des attributs sacrés de la nature, une vision qui s'est fermement établie il y a environ 2000 ans avec les traditions religieuses judéo-chrétiennes... »

— p. 863 du rapport ; cité sur green-agenda.com/agenda21 ; cf. towahkon.org

Précisions de Pierre et les Loups : En d'autres termes, les chrétiens sont à blâmer pour le triste état du monde, parce que leur religion n'implique pas l'adoration de « la nature » considérée comme sacrée par l'ONU. Le principal responsable est la société d'héritage judéo-chrétien dont la vision du monde se base sur les saintes Écritures. Nous savions déjà que pour certains tribunaux aujourd'hui, « la croyance en Genèse 1:27 [est] incompatible avec la dignité humaine et en conflit avec les droits fondamentaux d'autrui. » (evangeliques.info)

La solution, alors ?

... le christianisme doit disparaître pour faire place à une religion globale et à un nouvel ordre mondial.

Jésus-Christ le porteur d'eau vive, n°4, Conseil pontifical de la culture et pour le dialogue interreligieux

Le catalyseur

Comprenez-moi bien. Bon nombre des objectifs de l'ONU sont nobles et, en apparence, parfaitement acceptables. Je parlerai de cela, ainsi que de la raison pour laquelle l'Église dialogue avec l'ONU, dans la suite de cette série. Mais mon but ici est d'informer le lecteur du fait que depuis des siècles, un plan impie est mis en place, visant à renverser l'ordre actuel des choses — à fomenter une Révolution mondiale. Mais comment une révolution d'une telle ampleur peut-elle éclater ? De la même manière que pour toute autre révolution : en créant une crise, réelle ou perçue — cette fois à l'échelle planétaire — puis en endoctrinant la jeunesse.

Nous sommes à la veille d'une transformation globale. Tout ce dont nous avons besoin, c'est d'une crise majeure appropriée et les nations accepteront le Nouvel Ordre Mondial.

— David Rockefeller, éminent membre de sociétés secrètes comprenant les Illuminati, les Skull and Bones et le groupe Bilderberg ; prenant la parole à l'ONU le 14 septembre 1994

La « crise » utilisée pour faire avancer l'Agenda 2030 et la dissolution de l'ordre actuel est le « changement climatique » ou « réchauffement climatique ». Cependant, le climat évolue depuis l'aube de la création et, en fait, la Terre fut bien plus chaude par le passé qu'elle ne l'est aujourd'hui. [11] Je traite des racines historiques du « réchauffement climatique » ici et de la science climatique controversée ici et ici.

En fin de compte, la réelle menace, qui est sous-entendue de façon bien peu subtile, est l'homme lui-même (d'où l'« extrême urgence » de réduire la population mondiale). Là encore, il s'agit du récit mis en place par ceux à l'origine du programme de "développement durable", incluant Maurice Strong, qui fut également membre du Club de Rome, un groupe de réflexion mondialiste :

En cherchant un nouvel ennemi pour nous unir, nous en sommes arrivés à l'idée selon laquelle la pollution, la menace du réchauffement planétaire, les pénuries d'eau, la famine, etc. seraient des candidats de choix. Tous ces dangers sont causés par une intervention humaine, et ce n'est que par un changement d'attitudes et de comportements que l'on peut les surmonter. Le véritable ennemi est donc l'humanité elle-même.

— Alexander King et Bertrand Schneider. The First Global Revolution, p. 75, 1993

Strong devait être une sorte de prophète car des scientifiques réclament aujourd'hui une réduction de la population à cause du « réchauffement climatique » — quand bien même de nombreux pays, y compris les États-Unis, affichent un taux de natalité inférieur au taux de remplacement. Ceci, alors que d'autres scientifiques avertissent que « manger de la viande » aurait de graves conséquences pour la planète. Tout à coup cela devient une « urgence ». En 1996, Mikhail Gorbatchev déclarait :

La menace d'une crise environnementale sera la clé qui, au nom d'une catastrophe internationale, permettra de déverrouiller le Nouvel Ordre Mondial.

Forbes , le 5 février 2013

Ainsi, l'enjeu n'est pas réellement le climat

De façon remarquable, les hauts responsables à la tête du programme climatique des Nations Unies ont reconnu que le « réchauffement de la planète » n'est pas vraiment une question d'environnement, mais constitue un outil pour restructurer complètement l'économie mondiale. Christine Figueres, ancienne secrétaire exécutive de la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques, a admis :

C'est la première fois dans l'histoire de l'humanité que nous nous donnons pour mission de changer intentionnellement, dans un délai déterminé, le modèle de développement économique qui règne depuis au moins 150 ans — depuis la révolution industrielle.

— 30 novembre 2015 ; unric.org ; citée sur skyfall.fr

« L'application effective d'Action 21 nécessitera une réorientation profonde de toute la société humaine, telle que le monde n'en a jamais connue ; un changement majeur dans les priorités aussi bien des gouvernements que des individus, et un redéploiement sans précédent des ressources humaines et financières. »

— extrait de l'Agenda 21 de l'ONU ; green-agenda.com (ajout de Pierre et les Loups)

Ottmar Edenhofer, membre du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat de l'ONU, a déclaré :

… Il faut se débar­rasser de l'illusion selon laquelle la politique climatique inter­nationale est une politique environ­nementale. Mais il faut dire clairement que, grâce à la politique climatique, nous redistribuons de facto la richesse planétaire...

— Ottmar Edenhofer au sujet du GIEC de l'ONU, fdesouche.com, 19 novembre 2011

En d'autres termes, c'est le modèle économique dominant actuel qui, selon eux, est à la base de l'injustice et de l'exploitation de la planète. Christine Stewart, ancienne ministre canadienne de l'Environnement, est sans doute celle ayant le mieux résumé cette idée :

Peu importe que la science du réchauffement climatique soit inventée de toutes pièces… le changement climatique [fournit] la plus grande opportunité pour faire advenir la justice et l'égalité dans le monde.

cité par Terence Corcoran, “Global Warming: The Real Agenda”, Financial Post, 26 décembre 1998 ; lu dans le Calgary Herald, 14 décembre 1998

Encore une fois, le problème ici n'est pas de savoir s'il y a ou pas de la corruption dans le modèle économique actuel (et il y en a), mais ce que les mondialistes entendent y substituer sous couvert de l'amour envers la « Terre Mère ». Nous arrivons à présent au cœur de ce que l'on entend par « politique verte » : une restructuration de l'économie, ou plus exactement, la destruction du système économique occidental pour le remplacer par un système socialiste, capitaliste et marxiste. Exagération ?

Alexandria Ocasio-Cortez [a été élue le 6 novembre 2018 représentante du 14e district de New York à la Chambre des représentants des États-Unis, devenant la plus jeune candidate jamais élue au Congrès américain. Elle se revendique du « socialisme démocratique » dans la lignée de Bernie Sanders, qu'elle soutient pour les primaires présidentielles du Parti démocrate de 2020.] À l'instar de l'ONU, elle a dissimulé son agenda sous des termes environnementaux et écologiques. Son chef de cabinet, Saikat Chakrabarti, a déclaré plus tôt cette année lors d'une réunion avec Sam Ricketts, directeur de la politique climatique pour le gouverneur de Washington, Jay Inslee :

La chose intéressante à propos du Green New Deal (Nouvelle donne écologique) est que cela n'était pas du tout à l'origine une question de climat. Est-ce que vous voyez cela comme une question de climat ? Parce que nous le voyons réellement comme une façon de transformer l'ensemble de l'économie.

nationalreview.com

A quoi Ricketts répondit :

Je pense qu'il y a ... un double enjeu, qui consiste à la fois à relever le défi existentiel lié au climat et à bâtir une économie plus prospère. Plus de durabilité dans cette prospérité — et une prospérité plus largement partagée, profondément équitable et juste.

— 10 juillet 2019, washingtonexaminer.com

C'est le langage utilisé aussi bien par les Nations Unies que par l'ancien président de l'URSS, Mikhail Gorbatchev. Dans son livre Perestroika: Vues neuves sur notre pays et [sur] le monde, il déclarait :

Le socialisme ... réunit toutes les conditions pour résoudre les problèmes de nationalité sur la base de l'égalité et de la coopération... Je suis convaincu que le genre humain a franchi une étape où nous nous retrouvons tous dépendants les uns des autres. Aucun autre pays ou nation ne devrait être considéré comme totalement séparé d'un autre, encore moins opposé à un autre. C'est ce que notre vocabulaire communiste appelle l'internationalisme et cela signifie promouvoir des valeurs humaines universelles.

Perestroika: New Thinking for Our Country and the World, 1988, p. 119, 187-188 (c'est moi qui souligne)

Trois ans plus tard, le 31 décembre 1991, après une série d'événements tumultueux incluant la chute du mur de Berlin, l'Union soviétique se dissout. Des acclamations pouvaient s'entendre à travers l'ensemble du monde occidental, proclamant que le communisme était mort. Mais ils avaient tort. Il s'agissait d'une démolition planifiée.

Messieurs, camarades, ne vous inquiétez pas de tout ce que vous entendrez sur la Glasnost, la Perestroïka et la démocratie dans les années à venir. Elles sont principalement destinées aux nations extérieures. Il n'y aura pas de changements internes significatifs en Union soviétique, sauf à des fins cosmétiques. Notre but est de désarmer les Américains et de les laisser s'endormir.

— Mikhaïl Gorbatchev, discours devant le Politburo soviétique, 1987 ; extrait de "Agenda: the Grinding Down of America", documentaire de Curtis Bowers, législateur de l'Idaho ; www.vimeo.com

En effet, Gorbatchev et ses camarades du monde entier s'étaient simplement tournés vers un nouveau vecteur pour promouvoir leur vision d'un communisme mondial, les Nations Unies et le capitalisme.

À SUIVRE... « The New Paganism – Part IV »

Mark Mallett
The New Paganism – Part III


[1] Jésus-Christ le porteur d'eau vive, n° 2.3.4.2
[2] circlesanctuary.org ; cf. inrees.com ; klerviyoga.com
[3] cf. fr.zenit.org
[4] cf. un.org ; un guide pour enseignants fut également édité, s'intitulant Pachamama - Guide Pédagogique
[5] cf. lifesitenews.com
[6] cf. OMS Bureau régional pour l'Europe et BZgA, Standards pour l'éducation sexuelle en Europe : Un cadre de référence pour les décideurs politiques, les autorités compétentes en matière d'éducation et de santé et les spécialistes [Cologne, 2010].
[7] cf. lifesitenews.com
[8] cf. comite21.org ; wikipedia.org
[9] green-agenda.com/agenda21 ; cf. newamerican.com
[10] Objectif n°2 et Objectif n°11 de l'Agenda 2030
[11] « Si nous reculons jusqu'à l'âge du bronze il ya 4 000 à 3 500 ans, il faisait au moins trois degrés de plus qu'aujourd'hui, dans l'hémisphère nord... Nous avons connu un nouveau pic de chaleur en 2002 après une activité solaire maximale. A présent, la température redescend. Nous nous dirigeons donc vers une période de refroidissement. » — Dr. Fred Goldberg, le 22 avril 2010 ; en.people.cn

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Commentaire laissé par Simon le

Bonjour,

Il n'y a pas eu d'intention idolâtre dans l'église de Santa Maria del Traspontina, cependant le Pape n'a rien dit, à ma connaissance, au sujet de la cérémonie dans les Jardins du Vatican. Le fait que le Pape François se soit contenté d'un Notre Père en guise de discours est tout de même assez révélateur. Il a clairement voulu montrer, face à cette cérémonie païenne et au mieux syncrétiste, que nos prières et notre adoration doit être uniquement adressée à notre Père du Ciel.

Quant au fait que la Pachamama représenterait la Vierge Marie, cela a été démenti par de nombreuses sources. De plus même si cela représentait la Saint Vierge... on ne se prosterne pas en adoration devant Marie.

Simon

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Commentaire laissé par Jean Paul Bontemps le

Bonjour et merci,
Je dis pas que ce n'est qu'un symbole, je dis que c'était un symbole pour ces indigènes là, car pachamama a plusieurs sens dans la culture indigène et que le contexte est important (d'ailleurs une indigène disait que c'était une représentation de Marie), mais c'est long à expliquer:
https://saintcyran.wordpress.com/2019/10/27/the-pachamama-primer/
https://wherepeteris.com/pachamama-the-missing-piece-of-the-puzzle/
S'agenouiller avec des d'icones devant prouve pas que c'était les icones qu'ils priaient comme des dieux, pas plus que quand on prie devant des autels avec des plantes et des statues... Le Pape a dit qu'il n'y avait pas d'intention idolatrique et le Vatican a confirmé que "pachamama" était cité pour réutiliser le nom donné à ces statues dans les medias, mais pas pour dire qu'elles étaient la "déesse" https://nationalpost.com/pmn/environment-pmn/pope-asks-forgiveness-for-theft-of-controversial-amazon-statues je préfère faire confiance au Vatican sur la question...

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Commentaire laissé par Simon le

Bonjour Jean-Paul, je n'ai malheureusement pas le temps de traduire tous ces articles ! Mais je vous remercie de les partager. La section Commentaires permet justement à mes lecteurs de partager leurs propres sources et leurs propres avis qui, même si divergents, si fait respectueusement et courtoisement, sera toujours approuvé.

Tous ce qui est écrits dans les articles de ce blog ne l'est pas sans en donner les sources, et se veut toujours le plus objectif possible. Quant à ceux ayant jeté les figurines dans le Tibre je n'en fait nullement la "promotion", j'en ai de plus donné divers échos, favorables comme défavorables. Je ne suis personnellement pas pour ce genre d'acte que j'estime trop radical. Même s'il vaut toujours mieux pour un chrétien de détruire une idole que de se prosterner devant elle

"Pachamama n'était pour les indigènes présents qu'une représentation symbolique et non une idole païenne (déesse)?"

Pachamama est l'esprit de la Terre Mère, ce n'est pas qu'un symbole, elle est adorée par les indigènes d'Amérique du Sud en tant que Déesse à l'origine de tout ce qui se trouve sur terre. Ce n'est pas qu'un symbole. J'ai donné plusieurs sources pour étayer les propos de l'auteur de cet article.

Ensuite si ce n'est pas une idole expliquez moi pourquoi toutes ces prosternations dans le Jardins du Vatican ? Par définition on se prosterne devant Dieu ou devant des idoles, et ce n'était clairement pas devant Dieu que ces personnes se prosternèrent mais devant des statuettes de la Pachamama et devant des monticules de terre (donc devant la déesse de la Terre). Donc il s'agissait bien d'idoles.

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Commentaire laissé par Jean Paul Bontemps le

Pourquoi ne pas traduire les articles qui expliquent que la statue de Pachamama n'était pour les indigènes présents qu'une représentation symbolique et on une idole païenne (déesse)? Histoire de rester un peu objectif:

https://ericsgiunta.wordpress.com/2019/11/07/my-last-word-on-the-fake-vatican-pachamama-idols-controversy/

https://catholicinbrooklyn.blogspot.com/2019/11/pachamama-is-it-gotcha-mama-for-enemies.html

https://www.patheos.com/blogs/davearmstrong/2019/11/vatican-ii-alleged-pachamama-idolatry-sez-fanatics.html

https://www.commonwealmagazine.org/hermeneutic-suspicion

https://www.ncronline.org/news/opinion/distinctly-catholic/amazon-synods-critics-distort-catholic-tradition-their-convenience

J'ajouterai que faire la promotion du jeune qui l'a jetée dans le Tibre alors qu'il est ouvertement anti-concile est assez maladroit venant de ce blog.

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