La papauté ne se réduit pas à un seul Pape


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Catégorie : Église et papauté

Auteur : Mark Mallett

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Au cours du week-end du 1er au 3 décembre 2017, le Pape François a ajouté à l' Acta Apostolicae Sedis (Actes du Siège apostolique) une lettre qu'il a envoyée aux évêques de Buenos Aires l'année dernière, approuvant leurs directives concernant le discernement sur l'accès à la Communion pour les divorcés remariés, se basant sur le document post-synodal, Amoris Laetitia. Mais cela n'a servi qu'à remuer davantage les eaux boueuses sur la question de savoir si le pape François ouvre ou non la porte de la Communion aux Catholiques qui se trouvent dans une situation objectivement adultère.

La raison en est que le paragraphe 6 des directives des évêques suggère que, lorsque des couples se sont remariés (sans qu'il n'y ait annulation) et ne s'abstiennent pas de relations sexuelles, la possibilité de recourir aux sacrements peut toujours être possible quand "il y a des limitations qui atténuent la responsabilité et la culpabilité. Le problème réside précisément dans la façon dont une personne, qui sait qu'elle se trouve dans un état objectif de péché mortel, sans intention de changer cet état, peut toujours avoir recours aux sacrements de la Réconciliation et de l'Eucharistie. Les directives des évêques ne fournissent aucun exemple concret d'une situation aussi "complexe".

Compte tenu de la nature de cet "acte officiel" de François et de l'ambiguïté des directives et d'Amoris Laetitia, Thomas Pink, professeur de philosophie au King's College de Londres déclare qu'étant donné que le document des évêques ...

... n'est pas tout à fait clair, ne remplit pas les conditions d'infaillibilité et n'est accompagné d'aucune explication quant à son lien avec un précédent enseignement, "il peut difficilement" obliger les Catholiques à croire quelque chose qui soit en contradiction avec ce que l'Église a enseigné jusqu'à ce jour et qu'ils ont déjà l'obligation de croire." - Catholic Herald , 4 décembre 2017

Comme le souligne Dan Hitchens du Catholic Herald dans un article rafraîchissant et respectueux :

L'Église à travers les âges a enseigné que les divorcés remariés qui se retrouvent dans une relation sexuelle, ne peuvent pas recevoir la Communion. Vous le trouverez chez les Pères de l'Eglise ; dans l'enseignement des papes St Innocent I (405) et St Zacharie (747) ; dans les documents récents des Papes Jean-Paul II, Benoît XVI et la Congrégation pour la Doctrine de la Foi. L'intégralité de l'enseignement de l'Église sur le péché, le mariage et l'Eucharistie aurait été comprise par ceux qui l'ont promulguée comme ayant exclu les divorcés remariés sexuellement actifs de la Communion. Cela fait aussi partie de l'esprit catholique: l'interdiction est désignée par certaines personnes telles que GK Chesterton et Ronald Knox comme faisant partie de la doctrine catholique, et il ne peut y avoir de doute que si vous choisissez un Saint au hasard dans l'histoire de l'Église et lui demandez ce que l'Église enseigne, il vous dirait la même chose. - Ibid.

Cet enseignement a été rendu explicite une fois encore par le pape Jean-Paul II dans son Exhortation Apostolique Familiaris Consortio :

L'Eglise, cependant, réaffirme sa discipline, fondée sur l'Ecriture Sainte, selon laquelle elle ne peut admettre à la communion eucharistique les divorcés remariés. Ils se sont rendus eux-mêmes incapables d'y être admis car leur état et leur condition de vie est en contradiction objective avec la communion d'amour entre le Christ et l'Eglise, telle qu'elle s'exprime et est rendue présente dans l'Eucharistie. Il y a par ailleurs un autre motif pastoral particulier: si l'on admettait ces personnes à l'Eucharistie, les fidèles seraient induits en erreur et comprendraient mal la doctrine de l'Eglise concernant l'indissolubilité du mariage.

La réconciliation par le sacrement de pénitence - qui ouvrirait la voie au sacrement de l'Eucharistie - ne peut être accordée qu'à ceux qui se sont repentis d'avoir violé le signe de l'Alliance et de la fidélité au Christ, et sont sincèrement disposés à une forme de vie qui ne soit plus en contradiction avec l'indissolubilité du mariage. Cela implique concrètement que, lorsque l'homme et la femme ne peuvent pas, pour de graves motifs - par l'exemple l'éducation des enfants -, remplir l'obligation de la séparation, « ils prennent l'engagement de vivre en complète continence, c'est-à-dire en s'abstenant des actes réservés aux époux ». -Familiaris Consortio, "Sur les tâches de la famille chrétienne dans le monde d'aujourd'hui", n. 84; vatican.va

Tout cela pour dire que la papauté ne se réduit pas à un seul pape ...

Ce qui suit a été publié le 2 février 2017:

Le ministère pontifical du pape François a été suivi avec obstination depuis quasiment le début et fait l'objet de multiples controverses. Le monde catholique - en fait, le monde en général - n'est pas habitué au style de l'homme qui détient actuellement les clefs du Royaume. Le pape Jean-Paul II n'était pas différent dans son désir d'être avec et parmi les gens, de les toucher, de partager leurs repas et de s'attarder en leur présence. Mais le saint pontife était aussi très précis quand il abordait les questions relatives à « la foi et la morale », comme l'était Benoît XVI.

Leur successeur, le pape François, ne l'est pas autant, lui qui ne craint pas de répondre aux questions des médias, y compris ceux qui sont en dehors du mandat de l'Église en matière de « foi et de morale », et de les aborder dans les termes les plus familiers et parfois sans aucun filtre. Cela a forcé beaucoup d'auditeurs, moi-même (Mark Mallett) compris, à s'assurer que le contexte de ses pensées soit pleinement pris en considération. Parfois, cela signifie ne pas se contenter de lire une seule interview, homélie, ou un seul document papal. Mais il y a nécessairement plus. Tout enseignement du Saint-Père doit être filtré et compris dans le contexte de l'ensemble de l'enseignement catholique appelé la Sainte Tradition, qui dérive du "dépôt de la foi".

Car le ministère pétrinien ne se résume pas un pape. C'est la voix de Pierre à travers les siècles.

La voix de Pierre

La primauté du Pape est enracinée dans la Sainte Écriture quand Jésus déclare à Pierre seul qu'il est le "rocher" sur lequel Il construirait Son Église. Et à Pierre seul, Jésus a donné les "clefs du Royaume".

Mais Pierre est mort, tandis que le Royaume perdure. Et ainsi, la "charge" de Pierre fut confiée à un autre, tout comme le furent celles de chacun des 12 apôtres après leur mort.

Qu'un autre prenne sa charge. (Actes 1:20)

Ce dont ces successeurs furent chargés était de transmettre la "foi apostolique", l'entièreté de ce que Jésus a confié aux apôtres, et de ...

... [tenir] bon, et [garder] ferme les traditions [qui leur a été enseignée], soit de vive voix, soit par lettre. (2 Thess. 2:15, cf. Mat 28:20)

Au cours des siècles, l'Église primitive a grandi avec une compréhension inébranlable qu'elle était la gardienne de la foi, et non pas sa source. Et avec cette conviction, il y eut aussi une compréhension de plus en plus profonde du rôle indispensable du successeur de Pierre. En fait, ce que nous voyons dans l'Église primitive n'est pas une exaltation de l'homme individuel, mais de la "charge" ou de la "chaire de Pierre". À la fin du deuxième siècle, l'évêque de Lyon a déclaré :

... l'Église très grande, très ancienne et connue de tous, que les deux très glorieux apôtres Pierre et Paul fondèrent et établirent à Rome ; en montrant que la Tradition qu'elle tient des apôtres et la foi qu'elle annonce aux hommes sont parvenues jusqu'à nous par des successions d'évêques,... Avec cette Église [à Rome], en raison de son origine plus excellente, doit nécessairement s'accorder toute Église, c'est-à-dire les fidèles de partout. - Mgr Irénée de Lyon, Contre les hérésies, livre III

Evoquant ce premier et éminent apôtre, saint Cyprien, évêque de Carthage, écrivait :

C'est sur [Pierre] qu'Il bâtit Son Église, et à [Pierre] qu'Il confie ses brebis avec pour mission de les nourrir. Et bien qu'Il ait donné pouvoir à tous les apôtres, Il a cependant établi un seul chef. Par l'autorité de Sa parole, le Seigneur a établi la source et le sceau de l'unité des églises... une primauté est accordée à Pierre et il est ainsi clairement établi qu'il n'y a qu'une Église et une chaire... Celui qui ne reste pas attaché à cette unité de Pierre, s'imagine-t-il qu'il détient encore la foi ? S'il abandonne la Chair de Pierre sur laquelle l'Église a été bâtie, a-t-il encore la certitude d'être dans l'Église ?

— "De l'unité de l'Église catholique", n. 4; La foi des Pères, vol. 1, pp. 220-221

Cette compréhension commune de la primauté de la charge de Pierre conduisit saint Ambroise à déclarer: "Là où est Pierre, là se trouve l'Eglise", et saint Jérôme - le grand érudit biblique et traducteur - de déclarer au pape Damase : « Je ne crois en aucun autre primat que celui du Christ ; c'est pourquoi je me mets en communion avec (…) la chaire de Pierre. Je sais que l'Eglise est édifiée sur cette pierre. » (Les lettres I, 15, 1-2).

Pierre n'a qu'une seule voix

Encore une fois, les Pères de l'Église s'alignaient volontiers avec la chaire de Pierre, et donc, dans l'unité avec l'homme qui occupait cette charge. Et c'était pour cette raison :

Le Pape n'est pas un souverain absolu. Le ministère du Pape est la garantie de l'obéissance envers le Christ et envers Sa Parole. – PAPE BENOIT XVI, Homélie du 8 mai 2005; San Diego

C'est-à-dire que même un pape ne peut pas changer ce qui provient du "dépôt de la foi", révélé en Jésus Christ, et transmis à travers la succession apostolique jusqu'à ce jour.

Le Cardinal Gerhard Müller est Préfet de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi (note : depuis que cet article fut écrit, il a été démis de ses fonctions). Il est le chef doctrinal du Vatican, une sorte de gardien dont la charge est de veiller sur la bonne application de la doctrine de l'Église et d'aider ainsi les Églises individuelles à maintenir l'orthodoxie et l'unité de la foi. Dans une récente entrevue soulignant la nature immuable du sacrement du mariage et toutes ses implications, il a déclaré ....

... Aucun pouvoir dans le ciel ou sur terre, ni un ange, ni le pape, ni un concile, ni une loi des évêques n'a la faculté de le modifier. Famille chrétienne, 1er février 2017

Cela est conforme aux enseignements des Conciles Vatican I et Vatican II :

Le Pontife romain et les évêques s'appliquent avec zèle à scruter consciencieusement et à énoncer correctement cette Révélation, dans la conscience de leur devoir et de la gravité de la chose, en ayant recours aux moyens appropriés ; mais ils ne reçoivent, comme appartenant au dépôt divin de la foi, aucune nouvelle révélation publique - Concile Vatican I, pasteur aeternus, 4; Concile Vatican II, Lumen Gentium , n. 25

... si nous-mêmes, ou si un ange du ciel vous annonçait un Évangile différent de celui que nous vous avons annoncé, qu'il soit anathème ! (Galates 1: 8)

Le constat est évident. Toute interprétation d'une déclaration pontificale relative aux questions de foi et de la morale doit toujours être faite à travers le prisme de la Sainte Tradition - cette voix constante, universelle et infaillible du Christ entendue en union avec tous les successeurs de Pierre et du sensus fidei « qui est celui du peuple tout entier, lorsque, ‘des évêques jusqu'au dernier des fidèles laïcs', il apporte aux vérités concernant la foi et les moeurs un consentement universel » (CEC 92)

... le Pontife romain ne prononce pas une sentence en tant que personne privée, mais il expose et défend la doctrine de la foi catholique, en tant qu'il est, à l'égard de l'Église universelle, le maître suprême en qui réside, à titre singulier, le charisme d'infaillibilité qui est celui de l'Église elle-même... - Concile Vatican II, Lumen Gentium , n. 25

Avec les propres mots du pape François :

Le Pape, dans ce contexte, n'est pas le seigneur suprême mais plutôt le suprême serviteur — le « servus servorum Dei » ; le garant de l'obéissance et de la conformité de l'Eglise à la volonté de Dieu, à l'Evangile du Christ et à la Tradition de l'Eglise, en mettant de côté tout arbitraire personnel, tout en étant — par la volonté du Christ lui-même — le « Pasteur et Docteur suprême de tous les fidèles » (Can. 749) et bien que possédant « dans l'Eglise le pouvoir ordinaire, suprême, plénier, immédiat et universel » - PAPE FRANCOIS, Discours à la 15è Congrégation Générale, 18 octobre 2014

C'est pourquoi vous verrez, notamment dans les documents papaux des siècles précédents, les papes s'adresser aux fidèles sous le pronom personnel « nous » plutôt que « je ». Car ils parlent aussi au nom de leurs prédécesseurs.

Ainsi, poursuit le Cardinal Müller, en expliquant la récente Exhortation Apostolique du Pape François sur la famille et le mariage qui suscite la controverse sur la manière dont les différents évêques l'interprètent pour permettre aux divorcés remariés de recevoir la Communion :

« "Amoris Laetitia" doit être clairement interprété à la lumière de toute la doctrine de l'Église. [...] Je n'aime pas, il n'est pas juste que tant d'évêques interprètent "Amoris Laetitia" selon leur façon de comprendre l'enseignement du pape. Cela ne respecte pas la ligne de la doctrine catholique. »– Evangelium Vitae, 1er février 2017

Puisque l'interprétation ou la définition de la doctrine est intimement lié au dépôt de la foi, le Concile Vatican II a enseigné que, « parmi les charges principales des évêques, la prédication de l'Évangile est la première (…) ; prêchant au peuple qui leur est confié la foi qui doit régler leur pensée et leur conduite (Concile Vatican II, Lumen Gentium, n. 25) Ceci est vraiment un appel à l'attention de chaque Catholique à être un serviteur et un intendant fidèle de la Parole de Dieu. C'est un appel à l'humilité et à la soumission à Jésus qui est le « Prince des bergers » et la « pierre angulaire » de l'Église. (Ibid. n. 6) Et cela inclut également la soumission aux pratiques pastorales de l'Église qui sont intrinsèquement liées à la doctrine.

Tous les évêques, en effet, doivent promouvoir et servir l'unité de la foi et la discipline commune de l'ensemble de l'Église ... – Concile Vatican II, Lumen Gentium , n. 23

Alors que nous voyons des évêques dans différentes parties du monde commencer à interpréter Amoris Laetitia de manière contradictoire, on peut dire à juste titre que nous sommes confrontés à une « crise de vérité ». Le Cardinal Müller a mis en garde contre « l'entrée dans la casuistique qui peut facilement créer des malentendus » en ajoutant :

« Il s'agit de sophismes: la Parole de Dieu est très claire et l'Église n'accepte pas de séculariser le mariage. Le rôle des prêtres et des évêques n'est pas de créer de la confusion mais de faire la clarté. » LE CARDINAL MÜLLER RÉPOND AUX DUBIA, 1er février 2017

FRANCOIS VA DE L'AVANT

En conclusion, face à un pontificat qui n'est pas toujours aussi précis que certains le voudraient, l'erreur serait de paniquer comme si le « rocher » s'effondrait. C'est Jésus, non Pierre, qui bâtit l'Église. C'est Jésus, et non Pierre, qui a garanti que les « portes de l'Enfer » ne l'emporteront pas. C'est Jésus, et non Pierre, qui a garanti que le Saint-Esprit conduirait son Église « dans la vérité tout entière ». (Jn 16 :13)

Mais ce que Jésus n'a pas garanti c'est que le chemin serait facile. Qu'il serait dépourvu de "faux prophètes" (Mt 7 :15) et de loups en "habits de brebis" qui utiliseraient des sophismes pour en "égarer beaucoup". (Mt 24 :11)

... Mais il y eut aussi des prophètes de mensonge dans le peuple, comme il y aura parmi vous des maîtres de mensonge, qui introduiront des hérésies menant à la perdition et renieront le Maître souverain qui les a rachetés. Ils préparent pour bientôt leur perdition. (2 Pierre 2: 1)

Mais prenez garde aussi à ceux qui sèment la discorde envers le pape François. Il y a beaucoup de Catholiques "conservateurs" bien intentionnés qui ont presque pris comme position par défaut de voir tout ce que François dit ou fait sous une lentille de suspicion (voir L'esprit de suspicion). C'est dangereux, surtout quand ces positions sont rendues publiques sans aucune précaution. C'est une chose de soulever des préoccupations dans un esprit de charité avec le désir d'atteindre une compréhension et une clarté plus profondes. C'en est une autre de se contenter de critiquer sous un voile de sarcasme et de cynisme. Si le pape est en train de semer la confusion par ses paroles, comme le prétendent certains, beaucoup de gens sèment aussi la discorde par une constante approche négative envers le Saint-Père.

En dépit de toutes ses fautes ou péchés personnels, le pape François reste le Vicaire du Christ. Il détient les clefs du Royaume - et pas un seul Cardinal qui l'a élu n'a suggéré le contraire (que cette élection papale serait invalide). Si quelque chose qu'il dit vous semble incertain, ou même semble être contraire à l'enseignement de l'Église, ne supposez pas trop vite que c'est bien le cas (j'ai déjà fourni des exemples exhaustifs de la façon dont les médias traditionnels ont mal repris ou reformulé les mots du Pape). Aussi, rejetez la tentation de balancer immédiatement votre frustration sur Facebook, dans des commentaires, ou sur un forum. Au contraire, gardez le silence et demandez au Saint-Esprit de vous éclairer avant de parler.

Et priez pour le Saint-Père. Je pense qu'il est assez significatif qu'il n'y ait pas une seule prophétie crédible dans l'Écriture ou de la part de Notre Dame qui dit qu'un jour, on ne devrait pas faire confiance à l'office de Pierre. Au contraire, elle nous appelle à prier pour le pape et tous nos bergers et à rester dans une unité ferme, tout en soutenant et en défendant la vérité.

Et c'est relativement facile à faire puisque la vérité a été transmise, non pas par un seul pape, mais par le seul office de la papauté , la chaire de Pierre, et les évêques en communion avec lui ... en 2000 ans d'une tradition écrite et orale ininterrompue.

Le Pape, évêque de Rome et successeur de S. Pierre, "est principe perpétuel et visible et fondement de l'unité qui lie entre eux soit les évêques, soit la multitude des fidèles" - Catéchisme de l'Église catholique, n. 882

Mark Mallett
The Papacy is Not One Pope

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