La mise à l'épreuve - Partie 1


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Catégorie : Foi, doctrine & morale catholiques

Auteur : Mark Mallett

Nombre de consultations : 1.302

Ce que je trouve le plus remarquable dans le pontificat du Pape François, c'est la façon dont il révèle, d'une manière ou d'une autre, nos peurs, nos loyautés et la profondeur de notre foi. C'est-à-dire que nous sommes dans une période d'épreuve, ou comme le dit Saint Paul, c'est un temps qui a pour but de « vérifier l'authenticité de votre charité. » (2 Co 8: 8)

Traduction d'un article de Mark Mallett du 22 octobre 2014, peu de temps après le Synode sur la famille. Titre original : « The Testing (Part I) »

Peu nombreux sont ceux qui ont compris ce qui s'était passé au cours du Synode sur la famille qui s'est déroulé à Rome du 5 au 19 octobre 2014. Ce n'était pas seulement un rassemblement d'évêques ; pas seulement une discussion sur les problèmes pastoraux : c'était un test. Une sorte de tri. C'était le Nouveau Gédéon, Notre Sainte Mère est en train de préparer son armée ...

Un mot d'avertissement

Ce que je suis sur le point d'écrire va contrarier certains de mes lecteurs. Déjà, quelques-uns sont fâchés contre moi, m'accusant d'être aveuglé, d'avoir été trompé, de ne pas prendre conscience que le Pape François est, disent-ils, un "antipape", un "faux prophète", un "exterminateur" (cf. prophétie de Saint François - voir extrait en bas de page). J'ai placé au bas de cet article différents liens vers tous mes écrits concernant le Pape François ; la façon dont les médias et même les Catholiques ont déformé ses paroles (qui ont certes besoin de contextualisation et d'explication) ; la façon dont certaines prophéties contemporaines concernant la papauté sont hérétiques ; et enfin, la manière dont le Saint-Esprit protège l'Église par le biais de l'infaillibilité et de la grâce accordées à « Pierre », le rocher. J'ai également posté un texte du théologien Joseph Iannuzzi qui a répondu à ma question de savoir si un pape peut être hérétique ou non. (cf. Can a Pope Become a Heretic ?)

Pape François Je ne veux plus perdre davantage de temps à débattre avec ceux qui se considèrent comme de « petits papes », qui refusent d'examiner humblement et soigneusement les faits et ce que notre Sainte Tradition nous enseigne ; ces lâches qui se tiennent à distance et jettent des pierres par-dessus les murs du Vatican sur le Saint-Père ; ces théologiens de divan qui jugent et condamnent comme s'ils étaient assis sur des trônes (ces « super-apôtres » comme saint Paul les appelait - cf. 2 Co 11: 5) ; ceux qui, se cachant derrière des avatars et des noms anonymes, trahissent le Christ et la famille de Dieu en attaquant le rocher qu'Il a établi ; ceux qui obéissent de façon passive-agressive au Saint-Père tout en jetant sur lui une profonde suspicion, (cf. The Spirit of Suspicion) blessant la foi des humbles et divisant les familles en suscitant la peur.

Ne me faites pas dire ce que je n'ai pas dit — je parle depuis huit ans de la crise dans l'Église, de la dégradation de la Liturgie, de la crise de la catéchèse, d'un risque de schisme, d'une imposture imminente (lire The Coming Counterfeit), de l'apostasie et de bien d'autres épreuves. Pendant toute la durée du Synode, j'ai fait remarquer de quelle manière les lectures de la Messe faisaient référence aux compromis de certains cardinaux (qui selon moi n'auraient pas dû être rendus publics). Si vous pensez que nous sommes en pleine confusion, attendez de voir ce qui va suivre. Les ennemis du Christ sont passé à la vitesse supérieure ; la désinformation et les déformations médiatiques de ce que le Pape dit réellement et défend sont incroyables, et attirent malheureusement les crédules. L'Archevêque argentin Hector Aguer de La Plata a souligné les mensonges des médias en ce qui concerne l'Église :

« Nous ne parlons pas d'incidents isolés », a-t-il dit, mais plutôt d'une série d'événements simultanés qui portent les « marques d'une conspiration. »

Catholic News Agency , 12 avril 2006

Bien sûr, il y a ces cardinaux et ces évêques qui ont clairement indiqué qu'ils prenaient leurs distances par rapport à la Sainte Tradition. En lisant la première ébauche du rapport du Synode, ces mots me vinrent directement à l'esprit : ils sont en train de nous préparer la Grande Apostasie. En fait, ce document dans sa première version est précisément ce à quoi ressemble et ce que sent la « fumée de Satan ». Ça sent le doux parfum de l'encens parce que ce document se veut "miséricordieux", mais il est d'une épaisseur et d'une noirceur qui obscurcissent la vérité.

J'ai été très perturbé par ce qui s'est passé. Je pense que la confusion vient du diable, et je pense que l'image publique qui en a été donnée était celle de la confusion.

Archevêque Charles Chaput, religionnews.com , 21 octobre 2014

Mais pourquoi devrions-nous être tous tellement surpris ? Dès le début de l'Église, il y a eu des Judas parmi les disciples de Jésus. Même Saint Paul avertissait :

Je sais qu'après mon départ, des loups redoutables s'introduiront chez vous et n'épargneront pas le troupeau.

Actes 20:29

Oui, c'est le même Saint Paul qui écrivait :

Faites confiance à ceux qui vous dirigent et soyez-leur soumis ; en effet, ils sont là pour veiller sur vos âmes, ce dont ils auront à rendre compte. Ainsi, ils accompliront leur tâche avec joie, sans avoir à se plaindre, ce qui ne vous serait d'aucun profit.

Héb 13: 17

Vous voyez, frères et soeurs, ce qui s'est passé à Rome n'était pas un test pour évaluer votre loyauté envers le Pape, mais pour apprécier la qualité de votre foi en Jésus-Christ qui a promis que les portes de l'enfer ne prévaudront pas contre Son Eglise.

L'armée réduite de Gédéon

Dans l'un de mes écrits, intitulé The New Gideon, j'explique comment Notre Dame est en train de préparer une petite armée pour lancer un assaut frontal contre Satan par le biais de sa Flamme d'Amour. (cf. The Convergence and the Blessing et The Rising Morning Star)

Cet article de mon blog se base sur l'histoire de Gédéon dans l'Ancien Testament à qui le Seigneur demande de réduire son armée, qui était de 32.000 hommes. Le premier test vint quand le Seigneur instruisit Gédéon, en disant :

Ceux qui ont peur et tremblent, qu'ils s'en retournent et partent par le mont Galaad ! Vingt-deux mille hommes s'en retournèrent, et il en resta dix mille.

Juges 7: 3

Mais ce n'était pas encore assez, le Seigneur voulait que l'armée soit plus petite pour que cela paraisse être une victoire presque impossible à remporter. Et ainsi le Seigneur dit encore,

Ce peuple est encore trop nombreux. Fais-les descendre au bord de l'eau et là, pour toi, je les éprouverai. ... Tous ceux qui laperont l'eau avec la langue comme lape le chien, tu les mettras d'un côté. Et tous ceux qui s'agenouilleront pour boire, tu les mettras de l'autre. Le nombre de ceux qui lapèrent l'eau avec leurs mains à leur bouche fut de trois cents. Tout le reste du peuple s'était agenouillé pour boire. Alors Yahvé dit à Gédéon : « C'est avec les trois cents hommes qui ont lapé l'eau que je vous sauverai et que je livrerai Madiân entre tes mains. »

Juges 7: 4 - 7

Oui, ceux qui étaient comme de petits enfants, mettant de côté leurs peurs, leur fierté, leur conscience de soi et leurs hésitations, allèrent directement à l'eau et burent face contre terre. C'est le genre d'armée dont la Vierge a besoin à cette heure de l'histoire. Un petit reste de fidèles qui sont prêts à quitter leurs maisons, leurs biens, leurs doutes, leurs peurs, et à marcher dans une confiance et une foi absolues en Jésus-Christ, à accueillir humblement Ses promesses — et cela inclut la foi qu'Il n'abandonnera pas Son Église comme Il l'a promis :

Et moi, je suis avec vous tous les jours jusqu'à la fin du monde. (Mt 28: 20)

Le Synode de Rome fut un test : il a permis de dévoiler les pensées qui viennent du coeur d'un grand nombre (Lc 2: 35) — ceux qui furent tentés, comme le disait François, de négliger le « dépôt de la foi » et de devenir ses maîtres plutôt que ses gardiens. (cf. Les cinq corrections) Mais aussi ceux qui étaient « craintifs et tremblants » et qui « retournèrent chez eux. » C'est-à-dire, ceux qui étaient prêts à fuir l'Église, et à abandonner le Saint-Père ... ce qui, en quelque sorte, revient à abandonner le Christ, parce que Jésus est un avec Son Église, qui est Son Corps Mystique. Et ce sont Ses promesses de la protéger, de la conduire dans la vérité tout entière, de la nourrir, et de rester avec elle jusqu'à la fin qui ont finalement été mises en doute.

Et qui continuent de l'être...

Comme je l'ai déjà dit, le Pape n'est pas infaillible à titre personnel ; il n'est pas à l'abri de faire des erreurs, même des erreurs graves dans sa gouvernance de l'Eglise. Que vous aimiez ou n'aimiez pas le style du Pape ne change pas le fait qu'il est le Vicaire du Christ, canoniquement et validement élu, et donc celui chargé par Jésus de « paître [Ses] brebis. » Il détient les clefs du royaume. Je vous l'assure, lorsque le pape a prononcé son dernier discours lors du Synode, j'ai pu entendre le Christ parler clairement à travers lui, Jésus nous assurant qu'Il est là avec nous. (cf. My Sheep Will Know My Voice in the Storm) Même si le Pape François s'avérait être enclin aux vues libérales ou modernistes, comme beaucoup le prétendent, il a rendu sa position absolument claire et sans ambiguïté :

Le Pape ... est le garant de l'obéissance et de la conformité de l'Eglise à la volonté de Dieu, à l'Evangile du Christ et à la Tradition de l'Eglise, en mettant de côté tout arbitraire personnel ...

PAPE FRANCOIS, remarques de clôture sur le Synode ; 18 octobre 2014

Ces mots, écrits noir sur blanc, constituent le premier test. Malheureusement, j'ai des lecteurs qui me disent que selon eux il ment. (Que ferait Sainte Catherine de Sienne si le Pape renonçait à ses devoirs ? Elle prierait pour lui, et ensuite lui parlerait respectueusement et en vérité — elle ne le calomnierait pas comme beaucoup le font gravement) Même si François a clairement remis à leur place le Cardinal Kasper et ses amis progressistes, soulignant la tentation de négliger le "dépôt de la foi" (« de se considérer non pas des gardiens mais des propriétaires et des maîtres  ») et de « descendre de la Croix pour faire plaisir aux gens, et ne pas y rester, pour accomplir la volonté du Père  » (cf. Discours du Pape François à la 15è Congrégation Générale, 18 octobre 2014), ces mots sont entrés par une oreille et ressortis par l'autre chez ceux qui pensent qu'ils sont plus à même que le Saint Père de diriger l'Église.

En essayant d'attaquer les modernistes, les Francs-maçons, les Communistes et d'autres qui ont entrepris de détruire l'Église, ils lancent imprudemment leurs flèches contre le seul qui venait de promettre de la défendre.

Et ainsi, l'armée de Notre-Dame se rétrécit. La Sainte Vierge recherche des âmes humbles ...

L'épreuve finale

Dans mon article intitulé Apocalypse Illumination, j'ai expliqué comment ce que certains appellent « l'illumination des consciences » a déjà commencé et finira par aboutir à un événement mondial. Ce qui s'est passé lors du dernier Synode était, comme je l'ai écrit dans le Synode et l'Esprit, une action du Saint-Esprit pour révéler les pensées de nos coeurs à cette heure de l'histoire du monde. Le jugement commence dans la maison de Dieu. Le Ciel est en train de nous préparer pour une grande bataille spirituelle, et ce sera un tout petit reste qui la mènera. Comme il est dit dans l'évangile de Saint Luc,

À qui l'on a beaucoup donné, on demandera beaucoup ; à qui l'on a beaucoup confié, on réclamera davantage.

Luc 12:48

Je ne dis pas que ce petit reste est spécial dans le sens où ils seraient nécessairement « meilleurs » que les autres. Ils sont simplement choisis parce qu'ils sont demeurés fidèles. (lire Hope is Dawning) Ce sont ceux qui ressemblent le plus à Marie, qui donnent constamment leur fiat, tels les hommes de Gédéon. Ils mènent le premier assaut. Mais remarquez que dans l'histoire de Gédéon, ceux qui s'en étaient retournés chez eux furent finalement rappelés dans la bataille après la première victoire décisive.

Cela me rappelle le songe de Saint Jean Bosco, qui est en quelque sorte une illustration de la bataille de Gédéon. Dans sa vision, Saint Jean Bosco a vu le grand Navire de l'Eglise sur une mer orageuse avec le Saint-Père se tenant debout à la proue. C'était une grande bataille. Mais il y avait aussi d'autres navires qui appartenaient à l'armada du Pape :

« Mais voici, soudain, que la tempête se déchaîne, plus violente que jamais. Les colonnes (de l'Eucharistie et de la Sainte Vierge Marie) sont toujours là, dressées immobiles sur la mer en furie. Et le Pape, tenant ferme la barre, s'efforce de maintenir la Nef entre elles deux. Or, le Navire est assailli de toutes parts et de toutes les manières. Les vaisseaux ennemis vomissent le feu de toutes les gueules de leurs canons, ou foncent sur lui, le frappant de leurs étraves cuirassées.

Pourtant, quelque acharnement qu'ils mettent en leurs assauts, et quelques très grands dommages qu'ils infligent, les efforts des ennemis ne peuvent venir à bout de la grande Nef. D'un formidable coup de sa proue, un vaisseau des assaillants ouvre une large blessure dans le flanc de la Nef de l'Église. Mais un souffle mystérieux, venu des Colonnes, referma la brèche par où allait s'engouffrer la mer. La confusion se met alors dans la flotte ennemie. Dans le vacarme énorme du combat, ses propres vaisseaux se heurtent entre eux, se brisent et coulent. L'ennemi entreprend alors sur les ponts un corps à corps furieux ; les mains et les poings se tordent dans la mêlée, pendant que pleuvent blasphèmes et malédictions.

Tout à coup LE PAPE est frappé. Il tombe, ses sujets le relèvent ; mais un deuxième coup l'abat ; il est frappé à mort. Un cri de victoire retentit. Sur les vaisseaux ennemis on exulte et on danse.

La mort du Pape est à peine connue que le successeur est élu. Les adversaires perdent courage. Le nouveau Pontife passe à travers tous les obstacles et conduit le Vaisseau entre les deux Colonnes, où il amarre solidement la proue à la Colonne de l'Eucharistie et la poupe à celle de Marie.

Alors, panique générale, désordre indescriptible. Tous les ennemis se dispersent. Leurs navires se heurtent et se brisent. Ceux qui coulent tâchent de faire couler les autres.

Quelques vaisseaux qui avaient lutté vaillamment, pour le pape viennent, eux aussi, s'attacher aux colonnes. D'autres qui, loin du danger, avaient attendu prudemment la victoire, suivent leur exemple.

Sur la mer règne maintenant un grand calme. »

- Récit du songe de Saint Jean Bosco

Tout comme les 300 hommes de l'armée de Gédéon, il y a ces navires fidèles, loyaux et courageux qui combattent aux côtés du Saint-Père. Mais il y a de l'autre côté ces navires qui "pris de peur, ont fait machine arrière" ... mais qui finalement se hâtent vers le refuge des Deux Coeurs de Jésus et Marie (les deux colonnes du songe, qui avec le Saint Père forment les 3 blancheurs, ndt).

Frères et soeurs, il est temps de choisir : à bord de quel navire souhaitez-vous embarquer : le Navire de la Foi ? (cf. The Spirit of Trust) Le Navire de la Peur ? (cf. Belle, and Training for Courage) Les navires de ceux qui attaquent la Barque du Pape ? (lire A Tale of Five Popes and a Great Ship).

Le temps est court. Il est temps de faire un choix. Notre Sainte Mère attend votre "fiat".

L'assistance divine est encore donnée aux successeurs des apôtres, enseignant en communion avec le successeur de Pierre, et, d'une manière particulière, à l'évêque de Rome, Pasteur de toute l'Église, lorsque, sans arriver à une définition infaillible et sans se prononcer d'une « manière définitive », ils proposent dans l'exercice du Magistère ordinaire un enseignement qui conduit à une meilleure intelligence de la Révélation en matière de foi et de moeurs. A cet enseignement ordinaire les fidèles doivent « [adhérer avec un assentiment religieux] » ...

Catéchisme de l'Église catholique, n° 892

Lectures connexes

Alors le Seigneur sera le refuge des affligés et il les sauvera parce qu'ils auront espéré en lui. Et alors pour se conformer à leur Chef, ils agiront selon la Foi et ils choisiront d'obéir à Dieu plutôt qu'aux hommes, gagnant par la mort la vie éternelle. Ne voulant pas consentir à l'erreur et à la perfidie, ils ne craindront absolument pas la mort. Alors la vérité sera tenue dans le silence par certains prédicateurs alors que d'autres la foulant aux pieds la nieront. La sainteté de vie sera tenue en dérision par ceux qui la professent extérieurement, c'est pourquoi Notre Seigneur Jésus-Christ leur enverra non pas un digne pasteur, mais un exterminateur ».

Mark Mallett

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Commentaire laissé par Peyo brebis le

La guerre contrer le Christ, le Pape et l'Église se déroule principalement à coups de mensonges, caricatures, calomnies et propagandes. Armes redoutables, car les catholiques eux-mêmes ne peuvent s'en servir. Mentir, c'est détruire la vérité, et détruire est plus facile et rapide que de construire patiemment la vérité. Et ces armes sont actionnées à partir des multiples vaisseaux aux mains de l'adversaire : la presse, l'école, la littérature, le théâtre, le cinéma, l'internet, la justice.

Cette stratégie de corruption des idées et des esprits a été peaufinée depuis des siècles. La barbarie de 1789 fut préparée au 18ème siècle, par la propagande anti catholique de Voltaire et de ses complices. Or, elle se faisait alors dans une semi clandestinité. Alors qu'aujourd'hui, tous les pouvoirs en place y participent. Ce sont les auteurs en faveur des catholiques qui sont censurés ou étouffés, alors que les auteurs anti catholiques sont richement subsidiés et largement diffusés.

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