La Contre-Révolution


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Catégorie : Réflexions sur les signes des temps

Auteur : Mark Mallett

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Le Ciel nous prépare aujourd'hui pour une nouvelle évangélisation. C'est la seule chose dont nous devrions nous préoccuper — non pas construire des bunkers ni stocker de la nourriture. Une “restauration” (du monde et de l'Église) est en cours. La Sainte Vierge en parle, ainsi que nos papes (lire The Popes, and the Dawning Era). Aussi, ne nous attardons pas trop sur les douleurs de l'enfantement, mais bien plutôt sur la naissance qui suivra. La purification du monde n'est qu'une petite partie du plan divin qui, déjà, est en train de s'accomplir, même si c'est du sang des martyrs qu'elle aura à émerger...

Image : Saint Maximilien Kolbe

L'heure est à la contre-révolution. Le temps où chacun d'entre nous, selon les grâces, la foi et les dons que le Saint-Esprit nous accorde, est appelé à avancer dans les ténèbres de notre siècle, telles d'éclatantes flammes d'amour. Car, comme le disait un jour le Pape Benoît XVI :

Nous ne pouvons accepter calmement que le reste de l'humanité retombe dans le paganisme.

—Cardinal Ratzinger (Pape Benoît XVI), La nouvelle évangélisation, Construire la civilisation de l'amour ; Conférence lors du Jubilé des catéchistes, 12 décembre 2000 ; cf. Vatican.va

... Tu ne res­te­ras pas in­ac­tif en voyant la vie de ton pro­chain me­na­cée.

levangile.com ; Talmud ; note sur Lev 19: 16 ; cf. Ex 23: 1-7

L'heure est venue de prendre notre courage à deux mains et d'accomplir notre part dans la restauration de toute chose dans le Christ.

L'Église est constamment appelée à faire ce que [Dieu a demandé à Abraham] : veiller à ce qu'il y ait suffisamment de justes pour contenir le mal et la destruction. J'ai compris [mes paroles comme une prière pour] que les forces du bien [puissent reprendre de leur vigueur]. Dans ce sens, [le triomphe] de Dieu, [le triomphe] de Marie, sont discrets mais réels.

Lumière du monde, p. 217, Conversation avec Peter Seewald (Bayard) ; entre crochets : traduction depuis l'édition anglaise (Ignatius Press)

L'heure est venue où, plus que toute autre chose, la beauté de notre foi doit resplendir d'une nouvelle clarté...

La cape sombre

Les ténèbres actuelles peuvent être qualifiées très pertinemment de laideur. C'est une laideur qui a tout recouvert à l'image d'une sombre cape maculée de boue, depuis l'art et la littérature, en passant par la musique et le théâtre, jusqu'à la façon dont nous nous parlons sur les forums, dans les débats, à la télévision et sur les réseaux sociaux. L'art est devenu abstrait et bizarre (voire même blasphématoire) ; les meilleures ventes en librairie ont, de façon obsessionnelle, pour sujet de prédilection le crime et l'occulte ; le cinéma se fascine pour la luxure, la violence et les scénarios de type apocalyptique ; la télévision ne passe que des émissions de télé-"réalité" absurdes et superficielles ; notre façon de communiquer est devenue insolente et dégradante ; la musique populaire a souvent des sonorités dures et agressives, électroniques et stressantes, allant jusqu'à idolâtrer la chair. Cette laideur est si omniprésente que même la liturgie a été corrompue par la perte du sens de l'émerveillement et de la transcendance, lesquels se résumaient autrefois dans les signes, les symboles et la musique qui ont, de nos jours et en de nombreux lieux, presque entièrement disparu. Enfin, c'est une laideur qui cherche à déformer la nature elle-même — la couleur naturelle des légumes et des fruits, la forme et l'aspect des animaux, la fonction des plantes et du sol — et même à mutiler l'image de Dieu à la ressemblance de Qui nous avons été créés, hommes et femmes. [1]

Beauté et espérance

C'est face à cette laideur omniprésente que nous sommes appelés à restaurer la beauté et, par conséquent, l'espérance. Le Pape Benoît XVI avait parlé du « lien profond [qui unit] beauté et espérance ». [2] Dans un discours prophétique adressé aux artistes, Paul VI déclara :

Ce monde dans lequel nous vivons a besoin de beauté pour ne pas s'effondrer dans le désespoir. La beauté, comme la vérité, est ce qui met la joie au coeur des hommes, c'est ce fruit précieux qui résiste à l'usure du temps, qui unit les générations et les fait communier dans l'admiration.

—Pape Paul VI, clôture du concile oecuménique Vatican II, le 8 décembre 1965 ; ZENIT.org

Le philosophe russe Fiodor Dostoïevski a dit un jour : « La beauté sauvera le monde ». [3] Comment ? En suscitant à nouveau chez l'homme l'aspiration et le désir ardent pour Celui qui est la Beauté même. Peut-être pensons-nous qu'une apologétique raffinée, des discours orthodoxes et des paroles audacieuses suffiront à mettre un terme à l'érosion actuelle des valeurs morales et de la paix. Aussi nécessaires soient-ils, nous devons nous poser la question suivante : qui écoute encore ? Ce dont l'humanité a bien plus besoin, c'est le reflet éblouissant de la beauté qui n'a point besoin de paroles pour s'exprimer. [4]

Un de mes amis me racontait comment, après le décès de son père, aucune parole ne pouvait le réconforter devant ces profonds tourments et émotions qui le consumaient. Mais un jour, il s'acheta un bouquet de fleurs, le posa devant lui et se mit à en admirer la beauté. C'est [dans la contemplation de] cette beauté, m'a-t-il dit, qu'il trouva petit à petit la guérison.

Un autre de mes amis, pas vraiment catholique pratiquant, entra il y a quelques années dans la cathédrale Notre-Dame de Paris. Il m'expliqua que lorsqu'il observa la beauté de cet édifice, tout ce qui lui vint à l'esprit fut cette pensée : « Quelque chose se passe ici... » C'est à travers les rayons de la beauté qu'il rencontra le Seigneur, ou du moins, une réfraction de la lumière divine... un rayon d'espérance qui nous pousse à croire qu'il y a quelque chose, ou plutôt Quelqu'un de plus grand que nous.

La Belle et la Bête

Ce que le monde nous présente aujourd'hui est souvent une beauté artificielle. Il nous est demandé lors de nos voeux de baptême : « Rejetez-vous ce qui conduit au mal ? » (« Do you reject the glamour of evil ? » en anglais, lit. « Rejetez-vous la séduction du mal ? », ndt) Le mal est aujourd'hui glamour (séduisant), mais il est rarement beau.

Trop souvent, toutefois, la beauté qui est vantée est illusoire et trompeuse, superficielle et éblouissante jusqu'à l'étourdissement. Au lieu de faire sortir les hommes d'eux-mêmes et de les ouvrir à des horizons de vraie liberté en les attirant vers le haut, elle les emprisonne en eux-mêmes et les rend encore plus esclaves, privés d'espérance et de joie... Au contraire, la vraie beauté ouvre le coeur humain à la nostalgie, au désir profond de connaître, d'aimer, d'aller vers l'Autre, vers l'Au-delà de soi. Si nous acceptons que la beauté nous touche intimement, nous blesse, nous ouvre les yeux, alors nous redécouvrons la joie de la vision, de l'aptitude à percevoir le sens profond de notre existence.

—PAPE BENOÎT XVI, Discours aux artistes, 22 novembre 2009 ; chiesa.espresso.repubblica.it

La beauté nous blesse. Qu'est-ce que cela signifie ? Lorsque nous rencontrons la vraie beauté, c'est toujours un signe de la présence de Dieu. Et parce que nous avons été créés pour Lui, cela nous touche au plus profond de notre être, cet être qui pendant le cours de notre existence terrestre, se trouve séparé de notre Créateur par le voile du temps. Ainsi, la beauté possède son propre langage, transcendant toutes les cultures, les peuples et même les religions. C'est essentiellement la raison pour laquelle l'humanité des temps anciens a toujours eu tendance à se tourner vers la religion, percevant dans la beauté de la création la beauté du Créateur, ce qui suscitait le désir de l'adorer — lorsque la création elle-même ne devenait pas l'objet de cette adoration. [5] Et cela, par conséquent, suscita chez l'homme le désir de participer à la créativité divine.

Les musées du Vatican constituent un trésor pour le monde, parce qu'ils contiennent très souvent l'expression de la beauté, le reflet de Dieu, qui resplendit sur l'âme de tant d'artistes aux quatre coins du monde. Le Vatican ne conserve pas ces oeuvres d'art à la façon d'un Hitler amassant et confisquant. Au contraire, elle protège ces trésors de l'humanité en tant que célébration de l'esprit humain, ce qui explique pourquoi le Pape François avait déclaré que cela ne pourrait jamais être vendu.

Ce ne sont pas les trésors de l'Église mais les trésors de l'humanité.

—PAPE FRANCOIS, Entretien , 6 novembre 2015; cath.ch

Dans la mesure où la beauté authentique s'unit à la vérité et à la bonté, elle retrouve sa capacité à nous orienter vers l'Origine de toutes les cultures et de tous les peuples. Comme le soulignait le Pape Benoît XVI, « La voie de la beauté nous conduit donc à trouver le Tout dans le fragment, l'Infini dans le fini, Dieu dans l'histoire de l'humanité. » [6]

Mais aujourd'hui, la beauté de l'art a été sacrifiée à la bête de l'abstrait ; la beauté de l'architecture à la bête des budgets ; la beauté du corps à la bête de la convoitise ; la beauté de la liturgie à la bête de la modernité ; la beauté de la musique à la bête de l'idolâtrie ; la beauté de la nature à la bête de l'avidité ; la beauté des arts de la scène à la bête du narcissisme et de la vaine gloire.

Le monde dans lequel nous vivons risque de changer de visage à cause de l'action parfois déraisonnable de l'homme. Celui-ci, au lieu d'en cultiver la beauté, exploite avec inconscience les ressources de la planète au profit d'un petit nombre et en détériore souvent les merveilles naturelles... « L'humanité peut vivre sans la science, [elle peut vivre] sans pain ; [mais] sans la beauté elle ne pourrait plus vivre... » (citant Dostoïevski dans le roman Les Démons).

—PAPE BENOÎT XVI, Discours aux artistes, 22 novembre 2009 ; chiesa.espresso.repubblica.it

… L'Église n'a pas besoin de critiques mais d'artistes… Lorsque la poésie est en crise, l'on ne doit pas pointer du doigt les mauvais poètes mais écrire soi-même de beaux poèmes, libérant ainsi les sources sacrées.

—Georges Bernanos, écrivain français ; Bernanos: An Ecclesial Existence, Ignatius Press

Retrouver la vraie beauté

Dieu veut restaurer non seulement Son épouse, l'Église, dans un état de beauté et de sainteté, mais également toute la création. Chacun de nous a, aujourd'hui, un rôle à jouer dans la « restauration de toute chose en Jésus Christ », autant que chaque spectre de lumière est nécessaire pour produire l'arc-en-ciel : votre rôle est unique et par conséquent indispensable.

Ce dont le monde a besoin, c'est de retrouver la vraie beauté, non pas tant dans ce que nous proclamons — même si la vérité est intrinsèquement liée à la beauté — que dans la manière dont nous le faisons. Nous devons retrouver cette beauté non seulement dans notre tenue vestimentaire mais, plus encore, dans notre façon de nous tenir en public ; non seulement dans ce que nous vendons, mais aussi dans la manière dont nous présentons nos produits ; non seulement dans ce que nous chantons, mais dans la façon dont nous le chantons. C'est la renaissance de la beauté dans l'art, la musique et la littérature qui permet la transcendance du médium lui-même. Un renouvellement de la beauté de la sexualité est également nécessaire, ce merveilleux don qui a été recouvert par la honte, la perversion et la luxure, ces nouvelles feuilles de figuiers de l'homme moderne. La vertu est par essence la beauté qui transparaît d'une âme pure.

Tout cela nous dit combien la vérité elle-même est animée par la beauté. Car « la grandeur et la beauté des créatures font, par analogie, contempler leur Auteur. » [7]

Avant même de Se révéler à l'homme en paroles de vérité, Dieu Se révèle à lui par le langage universel de la Création, oeuvre de Sa Parole, de Sa Sagesse : l'ordre et l'harmonie du cosmos – que découvre et l'enfant et l'homme de science – "la grandeur et la beauté des créatures font, par analogie, contempler leur Auteur", "car c'est la Source même de la beauté qui les a créées."

—Catéchisme de l'Église catholique, n° 2500

La beauté est non confessionnelle. C'est-à-dire que toute la création est intrinsèquement "bonne". [8] Mais notre nature déchue et les conséquences du péché ont obscurci et déformé cette bonté. Devenir chrétien signifie bien plus que simplement « être sauvé ». Cela consiste à devenir en plénitude ce pour quoi vous avez été créé ; cela signifie devenir un miroir de vérité, de beauté et de bonté. Car « Dieu a créé le monde pour manifester et pour communiquer sa gloire. Que ses créatures aient part à Sa vérité, à Sa bonté et à Sa beauté, voilà la gloire pour laquelle Dieu les a créées. » [9]

La pratique du bien s'accompagne [spontanément d'une joie spirituelle et d'une] beauté morale. De même, la vérité comporte la joie et la splendeur de la beauté spirituelle... mais la vérité peut aussi trouver d'autres formes d'expression humaine, complémentaires, surtout quand il s'agit d'évoquer ce qu'elle comporte d'indicible, les profondeurs du coeur humain, les élévations de l'âme, le Mystère de Dieu.

—Ibid.

Incarner la vraie beauté

Simone Weil écrivait : « Dans tout ce qui suscite en nous le sentiment pur et authentique du beau, il y a vraiment la présence de Dieu. Il y a presque une sorte d'incarnation de Dieu dans le monde, dont la beauté est le signe. » [10], Chacun de nous est appelé à incarner Dieu dans les événements et la trame de son existence, en permettant ainsi à la « joie spirituelle et la beauté morale » de la bonté divine de remonter « spontanément » à la surface depuis le tréfonds de notre être. Ainsi, la beauté la plus authentique jaillit de notre relation avec Celui qui est la Beauté même. Comme le disait Jésus :

Si quelqu'un a soif, qu'il vienne à moi, et qu'il boive, celui qui croit en moi ! Comme dit l'Écriture : "De son coeur couleront des fleuves d'eau vive."

Jean 7: 37-38

Plus nous contemplons le Seigneur, plus nous Lui ressemblons ; plus nous contemplons la Beauté, plus nous devenons beaux. La prière, et plus spécifiquement la prière contemplative, devient alors le moyen par lequel nous puisons à la Source d'Eau Vive. Et ainsi, je souhaite [aujourd'hui] écrire davantage sur la nécessité de s'abîmer dans la prière afin que vous et moi puissions être transformés de plus en plus à Sa ressemblance à mesure que nous contemplons, « le visage non voilé, la gloire du Seigneur. » [11]

Vous êtes appelés à participer à cette Contre-Révolution face à la Révolution Mondiale qui cherche à corrompre la beauté — la beauté de la véritable religion, de la diversité culturelle, de nos différences réelles et uniques. Mais comment ? Je ne peux pas répondre à cette question à votre place. Il vous faut vous tourner vers le Christ et Lui demander quoi faire et comment le faire. Car « si le Seigneur ne bâtit la maison, les bâtisseurs travaillent en vain » [12]

L'ère des ministères apostoliques touche à sa fin.

J'ai clairement entendu ces mots dans mon coeur en 2011, et je vous encourage à lire ce que j'ai écrit à ce sujet (lire ici). Ce qui touche à sa fin n'est pas le ministère apostolique en soi, mais une large partie des outils, méthodes et structures fabriqués et érigés par l'homme et devenus des idoles et des moyens qui ne servent plus le Royaume. Dieu doit purifier Son Église de sa mondanité dans le but de lui rendre sa beauté. Il est nécessaire de jeter nos vieilles outres pour nous préparer au Vin Nouveau qui renouvellera la face de la terre.

Et ainsi, demandez à Jésus et à Sa Sainte Mère de vous utiliser pour rendre au monde sa beauté. En temps de guerre, c'est souvent l'improvisation artistique, musicale, théâtrale ou humoristique qui ont soutenu et redonné l'espérance aux opprimés. Ces dons seront nécessaires dans les temps à venir. Comme il est néanmoins regrettable que tant de gens utilisent leurs talents pour se glorifier eux-mêmes ! Utilisez donc les dons que le Père vous a donnés pour faire renaître la beauté dans le monde. Car lorsque vos frères et soeurs sont attirés par votre beauté, ils voient également votre bonté, et c'est alors que la porte de la vérité s'ouvre à eux.

... la vraie beauté ouvre le coeur humain à la nostalgie, au désir profond de connaître, d'aimer, d'aller vers l'Autre, vers l'Au-delà de soi.

—PAPE BENOÎT XVI, Discours aux artistes, 22 novembre 2009 ; chiesa.espresso.repubblica.it

La beauté de l'amour

Enfin, il y a une beauté paradoxale que se manifeste chez celui qui meurt à lui-même. La Croix est à la fois un spectacle horrible... et cependant, quand l'on en médite le sens, une certaine beauté — la beauté de l'amour désintéressé — commence à pénétrer l'âme. C'est là que réside un autre mystère dans lequel l'Église est appelée à pénétrer : son martyre et sa propre Passion.

L'Eglise ne fait pas de prosélytisme. Elle se développe plutôt par "attraction": comme le Christ "attire chacun à lui" par la force de son amour, qui a culminé dans le sacrifice de la Croix, de même, l'Eglise accomplit sa mission dans la mesure où, associée au Christ, elle accomplit chacune de ses oeuvres en conformité spirituelle et concrète avec la charité de son Seigneur.

—BENOÎT XVI, Homélie d'ouverture de la cinquième Conférence générale des évêques d'Amérique latine et des Caraïbes, 13 mai 2007; vatican.va

Dieu est amour. Et par conséquent, l'amour est la couronne de la beauté. C'est précisément ce genre d'amour qui illumina les ténèbres d'Auschwitz lors du martyre de Saint Maximilien Kolbe, ce véritable révolutionnaire de la Seconde Guerre mondiale.

Alors que la pensée, la sensibilité et les mots se voyaient brutalisées, d'une manière telle qu'on ne l'avait jamais connue par le passé, l'homme devint réellement un loup vorace dans ses relations avec les autres hommes. Et dans cet état de choses survint le sacrifice héroïque du Père Kolbe.

—récit d'un survivant, Jozef Stemler ; auschwitz.dk

C'était comme un puissant rayon de lumière dans les ténèbres du camp.

—récit d'un survivant, Jerzy Bielecki, l'un des rares détenus du camp de concentration d'Auschwitz à avoir réussi à s'échapper ; Ibid. ; cf. yadvashem.org

Saint Maximilien Kolbe, reflet de la Beauté, priez pour nous.

Mark Mallett
The Counter-Revolution

Voici mon ode à la beauté... une chanson que j'ai écrite pour l'amour de ma vie, Lea. Joué avec l'orchestre Nashville String Machine.


[1] cf. Human Sexuality and Freedom
[2, 6, 10] PAPE BENOÎT XVI, Discours aux artistes, 22 novembre 2009 ; chiesa.espresso.repubblica.it
[3] extrait du roman L'idiot de Dostoïevski
[4] lire The Silent Answer
[5] Le Panthéisme est l'hérésie qui tend à faire égaler la création au Créateur, ce qui conduit à l'idolâtrie de la création.
[7] cf. Catéchisme de l'Église catholique, n° 41
[8] cf. Gen 1: 31
[9] Catéchisme de l'Église catholique, n° 319
[11] 2 Co 3: 18
[12] Ps 126 (127) : 1

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