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Je suis un disciple de Jésus-Christ

Le pape ne peut pas commettre d'hérésie
lorsqu'il parle ex cathedra,
c'est un dogme de foi.
Dans ses enseignements ne relevant pas
de ses déclarations ex cathedra, cependant,
il peut commettre des ambiguïtés doctrinales,
des erreurs et même des hérésies.
Et comme le pape n'est pas identique à l'Église tout entière,
l'Église est plus forte que les erreurs ou hérésies d'un seul pape.

— Mgr Athanasius Schneider, 19 septembre 2023, onepeterfive.com

Traduction d'un article de Mark Mallett du 21 octobre 2023, I am a Disciple of Jesus Christ

Cela fait un bon moment que j'évite de lire les commentaires sur les réseaux sociaux. La raison en est que les gens sont devenus méchants, toujours prompts à critiquer et incapables du moindre esprit de charité — et ce, souvent au nom de la « défense de la vérité ». Mais suite à notre dernière webcast, j'ai tenté de répondre à certaines personnes nous accusant, mon collègue Daniel O'Connor et moi-même, de « dénigrer » le Pape.

Mes lecteurs de longue date savent que j'ai défendu à plusieurs reprises le Pape François là où la justice l'exigeait (lire par ex. L'enseignement du Pape François...). J'en ai payé le prix — d'innombrables lettres désagréables m'accusant d'être aveugle, stupide, dupe — parmi tous les qualificatifs imaginables. Je n'ai absolument aucun regret. En tant que fils de l’Église (et conformément à une promesse que nous faisons en tant que membres des Chevaliers de Colomb), j’ai défendu la papauté comme il se doit. En fait, par le biais de mon blog, je mène un apostolat qui s’étend sur trois pontificats. À ce jour, je n’ai jamais, à ma connaissance, jugé le cœur de nos papes, leurs motivations ou leurs intentions. Et lorsque j’ai abordé la multitude de controverses liées au pontificat actuel, je n’ai jamais dénigré le Pape François par des sarcasmes mordants, ni ne l’ai jamais appelé avec condescendance par le nom de « Bergoglio » ou insinué qu’il avait de mauvaises intentions. De plus, j'ai défendu la légitimité de son élection et souligné la nécessité de rester en communion avec le Vicaire du Christ.

Mais comme presque tous les fidèles catholiques que je connais, nous sommes exaspérés et las de devoir justifier, nuancer, recontextualiser, excuser, recadrer, reformuler et défendre la longue suite de remarques spontanées, d'interviews étranges, de remarques ambiguës, et de nominations ahurissantes qui ont accompagné ce pontificat. Comme l'a observé une personne, nous sommes comme ces hommes armés de pelles et de seaux qui suivent l'éléphant du cirque pour nettoyer ses dégâts. Néanmoins, je l’ai fait parce que les enjeux sont élevés : le témoignage et la crédibilité de l'Église du Christ. À l’exception d'une poignée de cardinaux et évêques, et toujours les mêmes, un silence complet pèse sur le clergé quant aux questions controversées et bien d’autres. Les brebis se retrouvant aujourd'hui privées de la moindre guidance spirituelle. Des laïcs tels que moi se sont retrouvés obligés de rassurer les fidèles, d'en sortir d'autres du désespoir et de réaffirmer les enseignements constants de notre foi.

En désaccord avec le Pape

... ce n'est pas de la déloyauté, ou un manque de romanità (ndtr, esprit de soumission envers l'autorité du Pape) que de désapprouver certaines paroles prononcées lors de certains entretiens improvisés. Naturellement, si nous sommes en désaccord avec le Saint Père, nous le faisons avec le plus profond respect et la plus grande humilité, conscients qu'il se peut que nous ayons nous-mêmes besoin d'être corrigés.

— Père Tim Finigan, professeur de théologie sacramentelle au Séminaire de St John, Wonersh; extrait de The Hermeneutic of Community, “Assent and Papal Magisterium”, 6 octobre 2013 ; http://the-hermeneutic-of-continuity.blogspot.co.uk

Les catholiques ne sont pas moralement tenus d'être d'accord avec les opinions d'un pape sur des questions ne relevant pas de la foi et de la morale, comme lorsqu'il adopte des positions techniques au sujet de la météo, du sport, de l'économie ou de la médecine. En fait, nous pouvons même avoir le devoir de nous opposer respectueusement et publiquement à ces opinions s’il s’agit de dégonfler un scandale (voir note de bas de page). [1]

Par exemple, le Pape François a déclaré il y a trois ans à propos des « vaccins » contre la COVID qu' « il existe un déni suicidaire… [et que] les gens doivent se faire vacciner ». [2] Cette déclaration, contrairement à ses enseignements antérieurs, a conduit d’innombrables catholiques à être licenciés de leur emploi, à quitter leurs études supérieures ou à devoir choisir entre nourrir leur famille ou suivre une thérapie génique expérimentale. Croyez-moi, j'ai lu les lettres de ceux qui se trouvaient dans ces situations difficiles ; Daniel O'Connor lui-même a été renvoyé de son programme de doctorat parce qu'ils lui ont dit que le Pape avait dit qu'il devait se faire vacciner. Ironiquement, et c'est le plus tragique de tout, il était littéralement suicidaire pour beaucoup d'accepter l'injection, sachant que les données post-injection évaluent désormais le nombre de blessures et de décès à travers le monde à plusieurs millions [4], quelque chose que le Vatican n’a pas encore reconnu. De plus, il s’agissait de thérapies géniques développées et testées à partir de cellules de fœtus avortés, ce qui ne fait qu’aggraver le scandale grandissant.

Le fait est qu’un pape n’est pas mon médecin. Il s’agit d’une décision personnelle en matière de santé qui ne peut moralement être dictée par qui que ce soit. [5]

J’ai commencé à écrire au sujet de l’idéologie communiste et de l'énorme tromperie derrière l’alarmisme climatique au cours du pontificat de Benoît XVI. [6] J'ai donc été abasourdi de voir le Pape François non seulement soutenir les affirmations controversées d'un réchauffement climatique d'origine humaine, mais de le voir déclarer en substance dans sa dernière exhortation apostolique que ce n'est plus une question ouverte. Pourtant, plus de 1600 climatologues, météorologues et chercheurs sur le climat, dont le lauréat du prix Nobel, le Pr John Clauser, physicien américain, et Ivar Giaever, physicien norvégien, ont récemment signé la « Déclaration mondiale sur le climat » qui affirme sans équivoque : « Il n’y a pas d’urgence climatique. » [7] C'est un débat scientifique et non pas religieux. Même la Société Radio-Canada, très libérale, en a pris note :

Le document, intitulé Louez Dieu [Laudate Deum], est inhabituel pour une exhortation papale et ressemble davantage à un rapport scientifique de l'ONU. Le ton est vif et ses notes de bas de page font bien plus référence aux rapports climatiques de l'ONU, à la NASA et aux encycliques précédentes de François qu'aux Écritures.

CBC News, 4 octobre, 2023

Par ailleurs, François cite fréquemment le GIEC (Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat) qui a été pris à plusieurs reprises en flagrant déli de falsification de données dans le but d'accélérer leur agenda, notamment l'Accord de Paris sur le climat (que François soutient explicitement). [8]

L’idéologie du changement climatique, qui est au cœur de la « Grande Réinitialisation » [9], constitue un grave danger pour la liberté humaine. En étant fidèle du mieux que je peux à l'appel de Jean-Paul II, qui nous exhortait à être des veilleurs [10], je me retrouve soudain en totale opposition avec son successeur qui soutient un programme qui pourrait bien conduire l’humanité vers les formes mêmes d’esclavage contre lesquelles Benoît XVI nous avait mis en garde.

... sans l'orientation de l'amour dans la vérité, cet élan planétaire risque de provoquer des dommages inconnus jusqu'alors ainsi que de nouvelles fractures au sein de la famille humaine... l'humanité court de nouveaux périls d'asservissement et de manipulation.

Caritas in Veritate, n ° 33, 26

Mais là encore, la position scientifique du pape n'engage pas les fidèles. François ne dit d'ailleurs pas autre chose :

Dans certaines discussions sur des questions liées à l’environnement, il est difficile de parvenir à un consensus. Encore une fois je répète que l’Église n’a pas la prétention de juger des questions scientifiques ni de se substituer à la politique, mais j’invite à un débat honnête et transparent, pour que les besoins particuliers ou les idéologies n’affectent pas le bien commun.

Laudato si ', n° 188

Les scandales

Le plus troublant, ce sont les récentes déclarations controversées de François concernant les unions homosexuelles et les nominations de personnes aux postes les plus élevés de l’Église qui obscurcissent ouvertement cette question. [11] Le problème est le suivant : si nous devons débattre de ce que le Pape voulait réellement dire dans telle ou telle déclaration ambiguë, alors que les gros titres des journaux à travers la planète entière déclarent que « Les bénédictions des unions homosexuelles sont désormais possibles dans l'Eglise catholique », alors il est clair que la Vérité s'est vu asséner un nouveau coup dur et que d'innombrables âmes se retrouvent en danger de mort. Et il ne s’agit là d’un incident ni ponctuel ni rare. Il y a trois ans, les déclarations de François sur les unions civiles en ont choqué beaucoup, tandis que ses proches collaborateurs (tels que le Père James Martin) n'ont fait qu'aggraver la confusion en suggérant, sans aucune correction de la part du Saint-Siège, que François proposait effectivement une nouvelle doctrine. [12]

Ce n'est pas simplement que [François] tolère [les unions civiles], il les défend... Il a peut-être, en un sens, comme on dit dans l'Église, développé sa propre doctrine... Nous devons tenir compte du fait que le chef de l'Église a aujourd'hui déclaré qu'il pense que les unions civiles sont une bonne chose. Et nous ne pouvons pas rejeter cela... Les évêques et les fidèles ne peuvent pas rejeter cela aussi facilement qu'ils le voudraient. C'est en un sens, c'est une sorte d'enseignement qu'il nous donne.

— Père James Martin, CNN.com

Une fois de plus, les fidèles catholiques tels que moi-même se sont retrouvés à tenir le sac — ou plutôt le seau.

Et que faisaient ces personnes dans les jardins du Vatican, prosternées devant la « Terre Mère » ? [13]

... la raison de la critique est précisément en raison de la nature primitive et de l'apparence païenne de la cérémonie et de l'absence de symboles, de gestes et de prières ouvertement catholiques lors des divers gestes, danses et les prosternations de ce rituel surprenant.

— Cardinal Jorge Urosa Savino, archevêque émérite de Caracas, Venezuela ; 21 octobre 2019 ; Catholic News Agency

Ceux-ci sont des scandales — indépendamment des éventuelles bonnes intentions — et ni le Pape ni le bureau de presse du Vatican ne semblent soucieux d’y remédier. À quel moment la défense de la réputation de Jésus l’emporte-t-elle sur celle d’un pape ?

C'est le Roi que je suis

Je suis un disciple de Jésus-Christ — pas du Pape François, ni d’aucun autre homme. Mais précisément parce que je suis Jésus, qui a fait de Pierre le rocher de Son Église, je reste soumis au véritable magistère de l'ensemble des papes, y compris François, puisqu'ils sont les successeurs vivants des Apôtres. Car le commandement de Notre Seigneur est clair :

Celui qui vous écoute m’écoute ; celui qui vous rejette me rejette ; et celui qui me rejette rejette celui qui m’a envoyé.

Luc 10: 16

Mais lorsqu’il s’agit de déclarations de plus en plus imprudentes, de casuistiques et de sophismes qui émergent de plusieurs quartiers du Vatican ; lorsqu’il s’agit des relations publiques désastreuses et de l’échec colossal du discernement aux plus hauts niveaux (et j’ai à peine évoqué le dernier Synode), l’enjeu le plus important aujourd'hui, ce sont les âmes. Les âmes !

En fin de compte, mon allégeance — notre allégeance — est à Jésus-Christ et à Son Évangile !

Pourtant, si nous-mêmes, ou si un ange du ciel vous annonçait un Évangile différent de celui que nous vous avons annoncé, qu’il soit anathème ! Nous l’avons déjà dit, et je le répète encore : si quelqu’un vous annonce un Évangile différent de celui que vous avez reçu, qu’il soit anathème ! Maintenant, est-ce par des hommes ou par Dieu que je veux me faire approuver ? Est-ce donc à des hommes que je cherche à plaire ? Si j’en étais encore à plaire à des hommes, je ne serais pas serviteur du Christ.

Ga 1: 8-10

Quelle voie devons-nous suivre ? Celle de la totale fidélité à la Parole du Christ conservée dans la Sainte Tradition tout en restant en communion et demeurant soumis à l'authentique magistère du Vicaire du Christ. Et vraiment, sincèrement, prions pour nos bergers. Je peux dire en toute sincérité que, chaque jour, je prie pour le Pape, avec un esprit droit. Je demande simplement au Seigneur de le bénir et de le protéger, de le remplir de sagesse et de l'aider, ainsi que tous nos évêques, à être de bons bergers.

Et ensuite, je me lance dans la proclamation de la Parole infaillible de Dieu.

Le Synode sur la synodalité éloigne les âmes de la vérité du Christ et de Son Église. Il est inquiétant de constater certains signes de bienveillance de Rome à l'égard de l'Agenda 2030 de l'ONU. Au contraire, l'Église devrait annoncer prophétiquement l'opposition de ce programme à l'anthropologie chrétienne et à l'ordre naturel. Je m'attarde sur cette question qui est de la plus haute importance. L’Agenda 2030 est un projet mondialiste des Nations Unies et des agences associées, qui fait pression sur les États pour qu’ils adoptent des politiques en matière d’avortement et une « éducation sexuelle intégrale. » … Le progressisme du pontificat actuel réapparaît au milieu des ruines qu'il a produites.

— Mgr Héctor Aguer, archevêque émérite de Buenos Aires, Argentine, LifeSiteNews, 21 septembre 2023

Les faux prophètes qui se présentent comme progressistes ont annoncé qu'ils transformeraient l'Église catholique en une organisation de soutien à l'Agenda 2030... Apparemment, il y a même des évêques qui ne croient plus en Dieu comme origine et fin de l'homme et sauveur du monde, mais qui, de manière pannaturelle ou panthéiste, considèrent la prétendue Terre-Mère comme le début de l'existence et la neutralité climatique comme l'objectif de la planète Terre.

— Cardinal Gerhard Müller, InfoVaticana, 12 septembre 2023

Mark Mallett
I am a Disciple of Jesus Christ

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Livre à découvrir : A Church in Crisis: Pathways Forward, par le professeur Ralph Martin

Traduction automatique du quatrième de couverture (DeepL) :

Il y a près de quarante ans, le best-seller de Ralph Martin, Une crise de la vérité, exposait les tendances néfastes de l'enseignement et de la prédication catholiques qui, combinées aux attaques de la société séculière, menaçaient la mission et la vie de l'Église catholique. Si beaucoup a été fait pour contrer les faux enseignements au cours des quarante dernières années, l'Église est aujourd'hui confrontée à des menaces encore plus insidieuses, de l'extérieur comme de l'intérieur.

    Dans A Church in Crisis : Pathways Forward, Martin offre un regard détaillé sur l'hostilité croissante à l'égard de l'Église catholique et de son enseignement. En s'appuyant sur des preuves abondantes, Martin découvre les forces qui travaillent à miner le corps du Christ et offre de l'espoir à ceux qui cherchent la clarté.

    A Church in Crisis traite des sujets suivants

    - la polarisation de l'Église causée par des enseignements ambigus

    - les initiatives qui s'adaptent à la culture sans appeler à la conversion

    - les partenariats parrainés par le Vatican avec des organisations qui contredisent activement l'enseignement de l'Église catholique

    et le recyclage d'erreurs théologiques réglées depuis longtemps par Vatican II, le pape saint Jean-Paul II et le pape Benoît XVI.

    Puissamment écrit, A Church in Crisis rappelle à tous les lecteurs qu'il faut tenir compte du commandement exprès de Jésus de ne pas égarer ses enfants. Avec de nombreuses ressources pour encourager les lecteurs, Ralph Martin fournit le fondement solide de l'enseignement catholique - à la fois l'Écriture et la Tradition - pour fortifier les catholiques contre les erreurs qui nous menacent de toutes parts.

Le Pr. Ralph Martin est celui à qui Notre Seigneur a donné le message suivant en 1975 :

« Parce que Je vous aime, Je veux vous montrer ce que Je suis en train de faire dans le monde aujourd'hui. Je veux vous préparer pour ce qui va venir. Des jours de ténèbres arrivent pour votre monde, des jours de tribulations…
Les bâtiments que vous voyez encore debout actuellement ne le seront bientôt plus. Mon peuple ne pourra plus compter sur l'aide et le soutien auxquels il a recours aujourd'hui. Je veux vous préparer, mon peuple, à ne connaître que Moi, à ne compter que sur Moi, à M'avoir en vous d'une façon plus profonde qu'elle ne l'a jamais été.
Je vais vous conduire au désert… Je vais vous dépouiller de tout ce dont vous dépendez actuellement,
pour que vous ne dépendiez plus que de Moi.
Un temps de ténèbres arrive sur le monde, mais un temps de gloire arrive pour mon Eglise, un temps de gloire arrive pour mon peuple. Je vais déverser sur vous tous les dons de Mon Esprit. Je vais vous préparer pour un combat spirituel ; Je vais vous préparer pour un temps d'évangélisation que le monde n'a jamais vu…

Et lorsque vous n'aurez plus rien à part Moi, vous aurez tout : des terres, des champs, des foyers, et des frères et soeurs et de l'amour et une joie et une paix plus que vous n'en aurez jamais eus auparavant. Soyez prêts mon peuple, Je veux vous préparer… »

— Notre Seigneur à Ralph Martin, lu sur la Place Saint Pierre à Rome, Italie, le lundi de Pentecôte 1975 ; cf. La Prophétie à Rome

Suivre la chaîne Youtube de Ralph Martin : https://www.youtube.com/@RenewalMinistries/videos


[1] Le Code de droit canonique, Canon 212, section 3 : « Ils [les laïcs] ont le droit et même parfois le devoir de donner aux Pasteurs sacrés leur opinion sur ce qui touche le bien de l'Église et de la faire connaître aux autres fidèles, restant sauves l'intégrité de la foi et des moeurs et la révérence due aux pasteurs, et en tenant compte de l'utilité commune et de la dignité des personnes. »

[2] Entretien pour le programme d'information italien TG5, 19 janvier 2021 ; ncronline.com

[3] cf. Aucune obligation morale

[4] cf. The Tolls

[5] cf. Lettre ouverte aux évêques catholiques

[6] cf. Le grand mensonge du changement climatique et Contrôle ! Contrôle !

[7] Lire ici pour savoir pourquoi

[8] Le GIEC a été surpris en train d'exagérer les données sur Fonte des glaciers himalayens ; ils ont ignoré qu'il y avait en effet un 'pause' dans le réchauffement climatique : les meilleurs climatologues ont été chargés de 'Couvrir' le fait que la température de la Terre n'avait pas augmenté depuis 15 ans. L'Université de l'Alabama à Huntsville, considérée comme la plus fiable pour la collecte d'ensembles de données sur la température mondiale développés à partir de satellites, a montré, en date du mois de janvier 2022, qu'il n'y a pas eu de réchauffement climatique du tout au cours des sept dernières années. Les climatologues, John Christy et Richard McNider, ont découvert qu'en supprimant les effets climatiques des éruptions volcaniques dès le début lors de l'enregistrement de la température par satellite, on ne constate pratiquement aucun changement dans le taux de réchauffement depuis le début des années 1990.

[9] cf. The Great Theft

[10] cf. Dear Holy Father… He is Coming!

[11] cf. Church On a Precipice – Part II

[12] cf. The Body, Breaking

[13] lire The New Paganism – Part III et Putting the Branch to God’s Nose