Défendre Jésus-Christ


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Catégorie : Réflexions et méditations diverses

Auteur : Mark Mallett

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Deux événements particuliers cette année ont attisé un feu brûlant dans mon âme, tel une fournaise. C'est un feu de justice né du désir de défendre Jésus-Christ de Nazareth.

Image : Jésus chasse les marchands du Temple, vitrail du XIXème siècle, de l'atelier LORIN, Eglise de Saint Aignan à Chartes (Juin 2014). P.Razzo/CIRIC

1ère étincelle : Israël

La première fois fut lors de mon voyage en Israël et en Terre Sainte. J'ai passé plusieurs jours à contempler l'incroyable humilité de Dieu qui consista à venir en cet endroit reculé de la terre et à marcher parmi nous, revêtu de notre humanité. De la naissance du Christ à Sa Passion, j'ai suivi le sentier de chacun de Ses miracles, chacun de Ses enseignements et chacune de Ses larmes. Un jour à Bethléem, nous avons célébré la messe. Au cours de l'homélie, j'ai entendu le prêtre nous dire : « Nous n'avons pas besoin de convertir les musulmans, les juifs ou autres non-chrétiens. Convertissez-vous et laissez Dieu les convertir. » A ces mots, je m'assis, abasourdi, essayant de digérer ce que je venais d'entendre. C'est alors que les paroles de Saint Paul inondèrent mon âme :

Mais comment l'invoquer, si on n'a pas mis sa foi en lui ? Comment mettre sa foi en lui, si on ne l'a pas entendu ? Comment entendre si personne ne proclame ? Comment proclamer sans être envoyé ? Il est écrit : Comme ils sont beaux, les pas des messagers qui annoncent [la Bonne Nouvelle] !

Rm 10: 14-15

Depuis lors, un instinct protecteur s'est réveillé dans mon âme. Jésus-Christ n'a pas souffert, n'est pas mort et n'a pas envoyé le Saint-Esprit sur Son Église pour que nous tenions la main des non-croyants sans ressentir le besoin d'aller plus loin. C'est notre devoir et, vraiment, notre privilège d'annoncer l'Évangile aux nations qui attendent, recherchent et même aspirent à entendre la Bonne Nouvelle :

[L'Église] s'adresse aussi à d'immenses portions d'humanité qui pratiquent des religions non chrétiennes que l'Église respecte et estime, car elles sont l'expression vivante de l'âme de vastes groupes humains. Elles portent en elles l'écho de millénaires de recherche de Dieu, recherche incomplète mais réalisée souvent avec sincérité et droiture de cœur. Elles possèdent un patrimoine impressionnant de textes profondément religieux. Elles ont appris à des générations de personnes à prier. Elles sont toutes parsemées d'innombrables « semences du Verbe » et peuvent constituer une authentique « préparation évangélique » ... [Mais] ni le respect et l'estime envers ces religions, ni la complexité des questions soulevées ne sont pour l'Église une invitation à taire devant les non chrétiens l'annonce de Jésus-Christ. Au contraire, elle pense que ces multitudes ont le droit de connaître la richesse du mystère du Christ dans laquelle nous croyons que toute l'humanité peut trouver, dans une plénitude insoupçonnable, tout ce qu'elle cherche à tâtons au sujet de Dieu, de l'homme et de son destin, de la vie et de la mort, de la vérité.

— PAPE SAINT PAUL VI, Evangelii Nuntiandi, n° 53 ; vatican.va

Je considère ce jour à Bethléem comme une grande grâce, car depuis lors, un feu brûle en moi pour défendre Jésus...

2ème étincelle : Rome

La deuxième fois où ce feu s'est mis a tournoyer dans mon âme fut lorsque j'assistai à cette cérémonie de plantation d'un arbre dans les jardins du Vatican et aux rituels et prosternations qui l'accompagnèrent, devant des statuettes indigènes en bois sculpté. J'ai attendu plusieurs jours avant de commenter ; je voulais savoir ce que ces gens faisaient et vers qui ils se prosternaient. Puis les réponses ont commencé à arriver. Alors que l'on entend une femme dans une vidéo appeler l'une des figurines « Notre-Dame de l'Amazonie », laquelle fut bénie par le Pape François, trois porte-parole du Vatican ont vigoureusement rejeté l'idée que ces sculptures représentaient Notre Dame.

« Ce n'est pas la Vierge Marie, qui a dit que c'était la Vierge Marie ? [...] C'est une femme indigène qui représente la vie »... et qui n'est « ni païenne ni sacrée. »

— Père Giacomo Costa, responsable des communications pour le Synode sur l'Amazonie ; California Catholic Daily, 16 octobre 2019

[C'est] une effigie de la maternité et du caractère sacré de la vie...

— Andrea Tornielli, directeur de la rédaction du Dicastère du Vatican pour les communications ; reuters.com

[Cela] représentait la vie, la fertilité, notre mère la terre.

— Dr Paolo Ruffini, préfet du dicastère aux communications, vaticannews.va

Ensuite, le Pape lui-même a fait référence à la statuette sous le titre sud-américain de « pachamama », qui signifie « Terre-Mère ». En effet, la branche italienne de [Missio, l'organisation pontificale de soutien aux missions à l'étranger, contrôlée par les évêques italiens] a publié [en avril 2019] une brochure à l'occasion du Synode sur l'Amazonie, qui comprenait une « prière des peuples Inca adressée à la Terre-Mère. » En voici un extrait :

Pachamama de ces lieux, bois et mange cette offrande à volonté, afin que cette terre soit féconde.

gloria.tv, 30 octobre 2019

Robert Moynihan, journaliste à Inside the Vatican a noté que, lors de la messe finale du Synode, une femme amazonienne a présenté un pot de fleurs, qui fut ensuite placé sur l'autel où il est resté pendant et après la Consécration. Moynihan fait remarquer qu '« un bol de terre contenant des plantes est souvent lié à des cérémonies rituelles impliquant la Pachamama », dans lequel « sont versées de la nourriture et de la boisson pour le plaisir de Pachamama, » le tout étant ensuite recouvert « de terre et de fleurs. » Il est recommandé, indique le rituel, de « le faire avec vos mains pour vous connecter à l'énergie du rituel. » [1]

Que faisons-nous là ?

J'ai pris soin de ne pas mettre en doute les motivations ou les intentions de qui que ce soit, qu'il s'agisse du Pape ou des participants. La raison en est que les motivations à ce stade ne sont pas pertinentes. Ce qui s'est passé dans les jardins du Vatican, selon toutes apparences extérieures, est un scandale. Que ce soit le cas ou non, cela avait tout l'air d'un rituel païen. Certains ont tenté de minimiser l'incident en affirmant (à l'encontre de la réponse officielle du Vatican) que les statuettes étaient celles « Notre-Dame de l'Amazonie ». Encore une fois, le problème est tout autre. Les catholiques ne se prosternent pas, visage contre le sol, devant des statues, qu'il s'agisse de Notre Dame ou des saints, encore moins d'artéfacts et de symboles indigènes. De plus, le Pape n'a pas lui-même vénéré ces figurines et, lors de la messe finale du Synode, il a semblé avoir apporté et vénéré de façon appropriée une image habituelle de Notre Dame (ce qui en dit long). Néanmoins, le mal est fait. Quelqu'un m'a raconté comment l'un de ses amis épiscopaliens accuse désormais les catholiques d'adorer Marie et/ou des statues.

D'autres personnes avec qui j'ai parlé insistent sur le fait que les prosternations devant ces objets étaient en définitive dirigées vers Dieu — et quiconque suggère le contraire est raciste, intolérant, sans cœur et ennemi du Pape. Cependant, même si telle était l'intention des personnes s'étant prêté à cet acte de vénération / adoration, ce dont le monde a été témoin ne ressemblait en rien à un service de prière catholique, mais à une cérémonie païenne. En effet, plusieurs membres du clergé ont déclaré ceci :

Il est incompréhensible pour un observateur que la vénération publique de la Pachamama lors du Synode sur l'Amazonie ne soit pas un acte d'idolâtrie.

— Mgr Marian Eleganti, évêque de Coire, Suisse; 26 octobre 2019; lifesitenews.com

Après des semaines de silence, le Pape nous dit que ce n'était pas de l'idolâtrie et qu'il n'y avait aucune intention idolâtre. Mais alors pourquoi certaines personnes, y compris des [religieux], se sont-elles prosternées devant [ces figurines] ? Pourquoi la statuette a-t-elle été transportée en procession dans des églises comme à la Basilique Saint-Pierre et placée devant des autels à Santa Maria in Traspontina ? Et si ce n'est pas une idole Pachamama (une déesse représentant la Terre-Mère pour les peuples des Andes), pourquoi le Pape a-t-il appelé la figurine « Pachamama » ? Que dois-je en penser ?

— Mgr Charles Pope, le 28 octobre 2019 ; National Catholic Register

Le syncrétisme évident dans le rituel célébré autour d'une grande couverture posée au sol [représentant la planète terre], dirigé par une Amazonienne, et devant plusieurs images ambiguës et non identifiées dans les jardins du Vatican le 4 octobre dernier, devrait être évité... la raison de la critique est précisément liée à la nature primitive et l'apparence païenne de la cérémonie et l'absence de symboles, de gestes et de prières explicitement catholiques lors des divers gestes, danses et prosternations de cet étonnant rituel.

— Cardinal Jorge Urosa Savino, archevêque émérite de Caracas, Venezuela ; 21 octobre 2019 ; lifesitenews.com

C'est là que couve ce feu qui brûle désormais dans mon âme : où est notre zèle à défendre Jésus-Christ et à respecter le Premier Commandement qui interdit tous « dieux étrangers » parmi nous ? Pourquoi certains catholiques essaient-ils de couper les cheveux en quatre en cherchant à faire passer pour acceptable un acte manifestement compromettant ?

Considérez les choses sous cet angle. Imaginez mon épouse entrer dans notre chambre, accompagnée de nos enfants, et me trouvant avec une autre femme dans notre lit conjugal. L'autre femme et moi-même sortons alors du lit avec précipitation tandis que j'essaie de leur expliquer : « Il n'y avait aucune intention adultère ici. Je la tenais simplement contre moi parce qu'elle ne connaît pas le Christ et a besoin de savoir qu'elle est aimée, accueillie et que nous sommes prêts à l'accompagner dans sa foi. » Bien sûr, mon épouse et nos enfants seraient en colère et scandalisés, même si je devais insister en leur disant que je les trouve tout simplement intolérants et sans cœur.

Le fait est que notre témoignage, l'exemple que nous donnons aux autres, est essentiel, en particulier envers les « petits ».

Celui qui est un scandale, une occasion de chute, pour un seul de ces petits qui croient en moi, il est préférable pour lui qu'on lui accroche au cou une de ces meules que tournent les ânes, et qu'il soit englouti en pleine mer.

Mt 18: 6

L'invocation des statuettes devant lesquelles même certains religieux s'inclinèrent au Vatican... correspond à l'invocation d'une puissance mythique, celle de la Terre-Mère, à qui ils demandent des bénédictions ou offrent des gestes de gratitude. Ce sont là des sacrilèges démoniaques et scandaleux, en particulier pour les petits qui ne sont pas capables de discerner.

— Mgr José Luis Azcona Hermoso, évêque émérite de Marajó, Brésil ; 30 octobre 2019, lifesitenews.com

Ces paroles, au moins, sont celles d'un prélat particulièrement familier du culte païen de la Terre-Mère dans ces régions. Le point essentiel, cependant, est que ce que nous disons, ce que nous faisons, comment nous nous comportons doit toujours conduire les autres au Christ. Saint Paul est allé jusqu'à dire que « ce qui est bien, c'est de ne pas manger de viande, de ne pas boire de vin, ni quoi que ce soit d'autre qui fasse tomber ton frère. » [2] Combien plus, dès lors, devons-nous veiller à ne jamais donner en témoignage aux autres que l'argent, les biens matériels, le pouvoir, notre carrière, notre image — encore moins les images profanes ou païennes — sont l'objet de notre amour.

La Pachamama n'est pas et ne sera jamais la Vierge Marie. Dire que cette statue représente la Sainte Vierge est un mensonge. Elle n'est pas Notre-Dame de l'Amazonie, parce que la seule Dame de l'Amazonie est Marie de Nazareth. Ne créons pas de mélanges syncrétistes. Tout cela est impossible : la Mère de Dieu est la Reine du Ciel et de la terre.

— Mgr José Luis Azcona Hermoso, évêque émérite de Marajó, Brésil ; 30 octobre 2019, lifesitenews.com

Fidélité à Jésus

Avant de me rendre en Israël, j'ai senti le Seigneur me dire qu'il nous faut « marcher sur les pas de Saint Jean », l'apôtre bien-aimé. Je n'avais pas bien compris pourquoi, jusqu'à maintenant.

Comme je l'ai écrit récemment dans mon article On Vatican Funkiness, même si un pape devait renier Jésus-Christ (comme le fit Pierre après que Jésus lui ait promis de lui confier les Clés du Royaume et lui ait déclaré qu'il serait « la pierre » sur laquelle Il bâtirait Son Église), nous devons nous attacher fermement à la Sainte Tradition et rester fidèles à Jésus jusqu'à la mort. Saint Jean n'a pas "suivi aveuglément" le premier pape dans son reniement, mais a fait demi-tour, s'est rendu au Golgotha, ​​et est resté inébranlable sous la Croix au péril de sa vie. Je ne suggère en aucune manière que le Pape François ait renié le Christ. Je tiens plutôt à souligner que nos bergers sont des êtres humains, y compris le successeur de Pierre, et nous ne sommes pas obligés de défendre leurs erreurs personnelles. Être fidèle envers eux revient à être obéissant envers leur ministère authentique, qui leur fut accordé par le Christ en ce qui concerne [l'enseignement de] « la foi et de la morale ». Quand ils s'en écartent, soit par des déclarations non contraignantes (ne touchant pas la foi et la morale), soit par leurs péchés personnels, il n'y a aucune obligation de soutenir leurs paroles ou comportements. Mais nous avons, cependant, l'obligation de défendre la vérité — de défendre Jésus-Christ, qui est la Vérité. Et cela doit être fait dans la charité.

N'acceptez aucune vérité qui serait privée d'amour, et n'acceptez aucun amour qui serait privé de vérité. L'un sans l'autre devient un mensonge destructeur.

— Sainte Teresa Benedicta (Edith Stein), citée lors de sa canonisation par Saint Jean-Paul II, le 11 octobre 1998 ; Vatican.va

Nous avons complètement perdu de vue le récit évangélique, la raison pour laquelle l'Église existe, la raison de notre mission. Que sommes-nous encore si nous échouons à aimer Dieu plus que tout, et notre prochain comme nous-mêmes ?

Toute la finalité de la doctrine et de l'enseignement doit être placée dans l'amour qui ne finit pas. Car on peut bien exposer ce qu'il faut croire, espérer ou faire ; mais surtout on doit toujours faire apparaître l'Amour de Notre Seigneur afin que chacun comprenne que tout acte de vertu parfaitement chrétien n'a pas d'autre origine que l'Amour et pas d'autre terme que l'Amour.

Catéchisme de l'Église catholique (CEC), n° 25

Il est absolument horrible de voir comment les chrétiens ont commencé à s'entredéchirer ces derniers jours, en particulier les chrétiens "conservateurs". Ici, l'exemple de Saint Jean est particulièrement puissant.

À la dernière Cène, tandis que les apôtres étaient en train d'essayer de blâmer celui qui s'apprêtait à trahir le Christ, et que Judas trempait calmement ses doigts dans le même plat que Jésus... Saint Jean s'est contenté de reposer sa tête contre la poitrine du Christ. Il contempla silencieusement Son Seigneur. Il l'aima. Il s'accrocha à Lui. Il l'adora. C'est là que réside le secret quant à la manière de passer à travers la grande Épreuve qui est à présent sur nous. Il s'agit d'être fidèle au Christ, de façon absolue. Il s'agit de s'abandonner au Père céleste. Il s'agit d'avoir une foi invincible en Jésus. Il s'agit de ne pas compromettre nos croyances par crainte des conflits ou de ne pas être politiquement correct. Il s'agit de ne pas se concentrer sur la tempête et les vagues mais sur le Maître à bord de la barque. Tout se résume à la prière. Comme notre Dame le répète à l'Église depuis près de quarante ans maintenant : priez, priez, priez. Jeûnez et priez. Ce n'est qu'ainsi que nous aurons la grâce et la force nécessaires pour ne pas céder à la faiblesse de la chair et aux principautés et puissances qui, en cette heure, ont reçu l'ordre de mettre l'Église à l'épreuve.

[La prière chrétienne] pourvoit à notre besoin de la grâce pour les actions méritoires.

— CEC, n° 2010

Veillez et priez, pour ne pas entrer en tentation ; l'esprit est ardent, mais la chair est faible.

Mc 14: 38

A quoi devons-nous être attentifs ? Nous devons être attentifs aux signes des temps, mais prier pour recevoir la sagesse qui nous permet de les interpréter. C'est là que se trouve la clé pour comprendre ce qui a conduit Saint Jean, et lui seul entre tous les apôtres, à se tenir fermement au pied de la Croix et à rester fidèle à Jésus, en dépit de la tempête qui faisait rage autour de lui. Ses yeux observaient les signes autour de lui, mais il ne s'est pas laissé ébranler ni paralyser par la terreur. Au contraire, son cœur était fixé sur Jésus, même quand tout semblait complètement perdu.

Frères et soeurs, les épreuves qui nous entourent n'en sont qu'à leur début. Nous avons à peine commencé à entrer dans les douleurs de l'enfantement. Ces jours-ci, j'entends souvent dans mon cœur cette parole des Écritures : « Le Fils de l'homme, quand il viendra, trouvera-t-il la foi sur la terre ? » [3]

La réponse est oui : chez ceux qui marchent dans les pas de Saint Jean.

Mark Mallett
Defending Jesus Christ


[1] The Moynihan Letters, Lettre n ° 59, 30 octobre 2019
[2] cf. Rm 14: 21
[3] Lc 18: 8

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